Fonds Transatlantique Cogestion Siparex / Desjardins Capital

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Cogestion Siparex / Desjardins Capital

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Objectif Québec

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BACKPACK Spirit

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Investisseur et président de Standard, Thomas Gouttman investit activement au Canada, où il représente également un family office franco-suisse influent dans l'industrie de l'énergie.

Vous entretenez une relation affective et privilégiée avec le Canada ...

Depuis toujours, notamment avec le Québec, où j'ai vécu plusieurs années, et avec l'Alberta, où j'aime aller pratiquer la haute montagne. Cette affinité personnelle s'est conjuguée avec un intérêt professionnel prononcé puisque, depuis quelques années, mes partenaires et moi-même trouvons au Canada de remarquables opportunités d'investissement.

 

En particulier, vous êtes actif dans le domaine des énergies fossiles. Avec la transition énergétique, n'est -ce pas un thème dépassé pour les investisseurs ?

L'essor des renouvelables est une dynamique encourageante, mais les cycles sont longs et en l'état aucune alternative ne peut remplacer les hydrocarbures en termes de densité énergétique, de disponibilité et de coût. Dans un monde qui s'électrifie toujours davantage, le gaz naturel incarne un compromis idéal, car il est abondant, peu couteux à produire, et autrement plus écologique que le charbon, le nucléaire ou le pétrole. Le Canada possède des gisements extraordinaires, de qualité comparable à ceux du golfe Persique ou de Sibérie, le risque géopolitique en moins, des garanties très fortes de développement durable en plus. Le pays dispose aussi d'une industrie de pointe, bien intégrée, et, sur le terrain, d'un personnel formidablement qualifié. Tous les atouts sont réunis pour faire du Canada une super-puissance de l'énergie, or ce potentiel reste sous-exploité.

 

La conjoncture actuelle, très difficile pour les producteurs d'hydrocarbures, ainsi que les désaveux politiques n'y sont sans doute pas étrangers ?

Le contexte est tendu à travers toute l'Amérique du Nord, et au Canada de manière plus aigüe encore, puisque les Etats-Unis, en surcapacité depuis l'avènement des forages de schiste, demeurent le principal débouché à l'export. Cependant, de cette conjoncture défavorable découle un fertile terreau d'opportunités pour les investisseurs patients et concentrés sur les fondamentaux. Au sujet de la dimension politique, nous pensons qu'il faut distinguer l'écume des jours des tendances longues. Sur la durée, le pragmatisme l'emportera.

 

Dans quels autres domaines d'investissement vous impliquez-vous ?

Nous sommes actionnaires d'un groupe pharmaceutique panaméricain basé à Montréal dont nous connaissons-et admirons-la famille fondatrice depuis longtemps. Les partenaires que nous épaulons sont par ailleurs très réactifs dans l'immobilier commercial-locaux de bureaux et industriels- en Ontario et en Alberta, où les fondamentaux restent somme toute très solides. Là où d'autres désertaient, la récente crise a au contraire aiguisé leurs appétits.

 

Comment voyez-vous la coopération franco-canadienne en général ?

Comme naturelle, toujours très fluide et bienveillante, avec nos interlocuteurs des provinces anglophones aussi bien qu'au Québec. Canadiens et européens partagent de nombreuses valeurs communes, comme la tempérance, la rigueur technique et la transparence en affaires. Les passerelles sont d'autant plus faciles à établir.

 

 

CHAIS Elles

CHAIS Elles

Peut-on encore rêver du Canada ? Comment trouver du travail sur place ? Quels sont les secteurs qui recrutent ?
Louise Van Winkle et Olivier Jacques, de l’ambassade du Canada en France, ont répondu à nos questions lors du Forum Expat.

Le Canada n’est pas le premier pays d’expatriation des Français, mais il est celui qui les fait le plus rêver, sans doute car il permet de se projeter dans le rêve américain mais (en partie au moins) en VF. Aujourd’hui, environ 150 000 Français sont installés au Canada. Parmi eux, 103 967 Français étaient inscrits en 2017 au registre des services consulaires français. La grande majorité des résidents français est installée au Québec.

Louise Van Winkle, responsable promotion francophone, immigration à l’ambassade du Canada à Paris, et Olivier Jacques, ministre conseiller responsable du programme Migration à l’ambassade du Canada, ont répondu à nos questions sur leur pays et les possibilités pour aller s’y installer lors de l’édition 2020 du Forum expat.

lire la suite de l'article et voir la vidéo 

L’équipementier ferroviaire français a mené à bien l'acquisition de son concurrent canadien, qu’il doit maintenant s’attacher à intégrer.

Le groupe familial de services à l'environnement, premier recycleur français de métaux, est entré en négociations exclusives pour racheter son concurrent Ecore. Il ajouterait ainsi 1,2 milliard d'euros de chiffre d'affaires à ses 2,5 milliards réalisés au terme de son exercice 2019-2020.
 

A l'heure où Suez et Veolia , les deux géants français des services à l'environnement se regardent en chien de faïence, le premier refusant d'être racheté par le second, le groupe familial Derichebourg, un lointain challenger, va de l'avant. Il a annoncé dans un communiqué publié mercredi « entrer en négociations exclusives avec les actionnaires d'Ecore en vue de l'acquisition de l'intégralité du capital de groupe Ecore Holding ». Il s'agit de l'un de ses principaux concurrents dans le recyclage des métaux, métier historique de Derichebourg, né en 2007 de la fusion de la Compagnie Française des Ferrailles (CFF) et de Penauille PolyServices, tous les deux présidés à l'époque par Daniel Derichebourg.


« Soutien financier de premier plan »

Si cette opération aboutie, sous réserve de « la signature des accords définitifs entre les parties » et de « l'autorisation préalable de l'autorité compétente en matière de contrôle des concentrations », Derichebourg, qui a réalisé un chiffre d'affaires de 2,5 milliards d'euros au terme de son exercice 2019-2020 (clos fin septembre), ajouterait 1,2 milliard réalisé en 2019 par le groupe Ecore, au travers de 68 sites de collecte et de production dans l'Hexagone. Derichebourg « bénéficie d'un soutien financier de premier plan pour sécuriser les sujets de financement liés à ce projet d'acquisition », indique l'entreprise familiale, sans communiquer le montant de l'éventuelle transaction.

Cette perspective a été saluée par les investisseurs, le titre Derichebourg bondissant de 17,13 %, à 5,88 euros à la clôture de la dernière séance de l'année à la Bourse de Paris. La valeur de l'action du premier recycleur français de métaux a ainsi gagné 61 % sur douze mois, quand le CAC 40 en perdait, lui, 7 %, dans le contexte de crise sanitaire que l'on connaît. La société de Bourse Midcap Partners a même porté son objectif de cours de 9 euros à 15 euros, pulvérisant alors son plus haut historique, à 9,85 euros en octobre 2017. Il est vrai que, depuis, Derichebourg a vu son chiffre d'affaires perdre 400 millions d'euros, l'entreprise étant très sensible aux variations du cycle des ferrailles et des métaux non ferreux , dont le recyclage reste sa première activité.

Dynamique commerciale

Avec Ecore, non seulement Derichebourg se renforcera sur cinq principales familles de matériaux que sont les métaux ferreux (acier), métaux non ferreux (aluminium, cuivre…), batteries au plomb, papiers cartons et plastiques, mais bénéficiera encore de sa dynamique commerciale. A l'image de ce contrat avec Les Chantiers de l'Atlantique, qui prendra effet dès janvier 2021 et porte sur la collecte et le traitement de plus de 20.000 tonnes de déchets métalliques ferreux et non ferreux. La durée initiale de ce nouveau partenariat industriel avec le spécialiste de la construction navale est de trois ans, avec la possibilité de l'étendre pour deux années supplémentaires.

Antoine Boudet

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AIR CANADA

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Nous vous invitons à participer au salon du stage virtuel organisé par HEC Montréal du mardi 19 janvier 2021 au jeudi 21 janvier 2021.

Vous souhaitez développer les affaires en Amérique du Nord et bénéficier de profils experts sur les marchés québécois, canadiens et américains ?

Votre souhaitez proposer des nouvelles opportunités de stages accessibles à 100% en télétravail depuis le Canada en attendant l’évolution de la pandémie ?
Vous souhaitez faire découvrir votre entreprise aux étudiants de HEC Montréal qui sont formés aux multiples disciplines * dans un environnement multiculturel et international ?
N’hésitez pas à transmettre ce message aux personnes pertinentes et intéressées.

HEC Montréal est la grande école de commerce nord -américaine formant près de 14 000 étudiants chaque année,  membre de la CGE – Conférence des grandes écoles en France. Elle propose notamment 4 doubles-diplômes en Europe avec ESCP Europe, emlyon business school, Université Bocconi et Skema BusinessSchool.
 
Format de l’évènement : Conférence Recruteurs d’une heure réservée par entreprise.
Premier arrivé premier servi : Il reste encore quelques places !
En tant qu’ entreprise située en Europe, vous bénéficierez des meilleurs créneaux du matin de Montréal (de 8h à 12h) soit de 14 à 18h heures de Paris.
 
Les profils des étudiant-e-s lors de l’évènement :

  •  Étudiant-e-s de tous les programmes (+ de 100 programmes en gestion du 1er au 3e cycle) qui sont à la recherche d'un stage BBA ou M.SC pour mai 2021 ou septembre 2021
  •  Étudiant-e-s en fin d’études à la recherche d’un opportunité de stage démarrant entre février et septembre 2021 :
    ​*Issu-e-s des disciplines suivantes : Audit et contrôle -  Affaires internationales • Analytique d’affaires • Commerce électronique • Comptabilité • Culture • Développement organisationnel • Développement durable • Technologies de l’information • Économie appliquée – finance et mathématiques • Entrepreneuriat – intrapreneuriat – Innovation  • Expérience utilisateur dans un domaine d’affaires • Finance – ingénierie financière  • Gestion de projets • Innovation sociale • Intelligence d’affaires • Logistique • Management • Marketing et communication • Ressources humaines • Sciences des données • Stratégie • Transformation numérique des organisations
 
Les avantages :
  •  GRATUIT – mais nous comptons sur votre participation car les places sont limitées.
  •  Séance d’information exclusive de 60 minutes par entreprise sans concurrence sur le même créneau
  •  Affichage Premium pendant un mois de vos offres (stages et/ou projets) sur la plateforme carrières de HEC Montréal
  •  Contact direct avec la communauté étudiante de HEC Montréal
  •  Visibilité accrue des entreprises au sein de la communauté étudiante
  •  Accompagnement avant, pendant et après l’événement
  •  Aucun logiciel supplémentaire à installer, la plateforme Microsoft Teams sera utilisée.

Places très limitées !
Pré-inscription le plus tôt possible ( premier arrivé - premier attribué ) au plus tard le 18 janvier 2021 via le formulaire d’inscription.

La confirmation de pré-inscription proposant un créneau vous sera adressée - dans la limite des places disponibles.

Le Bureau International – Europe de HEC Montréal propose un service d’accompagnement des entreprises dans le recherche de talents et dans la formation de ses salariés.
Pour échanger sur une possible collaboration, contactez directement Elodie GUENEAU elodie.gueneau@hec.ca   

          

La province francophone canadienne manque de bras ! Le Québec vient de proposer plus d’un million et demi de postes à pourvoir, à des candidats locaux ou étrangers. Les Français sont les bienvenus, comme en témoigne cette Bretonne chargée de la promotion de la ville de Québec.

La Belle province n’en fait pas mystère : au Québec aussi, les baby-boomers partent à la retraite, l’économie ne cesse de croître, ce qui crée un grand besoin de main-d’œuvre, l’occasion rêver de s’y expatrier, affirme Emmanuelle Gélébart-Souilah, chargée du développement économique de la ville de Québec :

“Les technologies de l’information et les soins de santé n’ont jamais arrêté de recruter, l’industrie s’est réinventée : la construction, l’agroalimentaire, les jeux vidéo, le secteur maritime ou pharmaceutique.“

S’expatrier au Québec

En pleine crise sanitaire, on peut légitimement se demander s’il est sérieux d’envisager une installation au Québec. Oui, sans hésiter, répond la Française née à Brest, et diplômée d’une grande école de commerce à Nantes, pour qui cette période est à mettre à profit pour mûrir son projet :

C’est une décision de vie, ça se construit. C’est d’autant plus important en ce moment de se renseigner. Nous le faisons de façon totalement virtuelle depuis quatre ans, bien avant le Covid-19 ! On tend la main aux candidats français, travailleurs comme étudiants, dès qu’ils ont leur visa en poche, et on facilite la mise en contact. Emmanuelle Gélébart-Souilah

L’objectif de l’agence non-gouvernementale Québec International, pour laquelle travaille Emmanuelle Gélébart-Souilah est de faire rayonner les entreprises québécoises à l’étranger, via l’exportation ou le recrutement de talents.
 

Hiérarchie horizontale

Elle couvre une zone allant du Grand Québec à la frontière avec les États-Unis au sud du fleuve Saint-Laurent. Depuis 2008, l’agence a reçu plus de 5 000 travailleurs français et 14 000 personnes en comptant les familles :

Nous les rapprochons gratuitement de nos partenaires pour faciliter leur projet d’installation à chaque étape : banque, choix d’un logement et d’un quartier, école des enfants…

Et d’ajouter : “On propose à chaque nouvel arrivant un séjour d’intégration de deux jours sur la culture d’entreprise, les relations hiérarchiques horizontales ou encore le fameux tutoiement nord-américain.”

Et si l’un des deux conjoints n’a pas d’emploi, comme c’est souvent le cas, l’agence lui propose un an de coaching pour en trouver un. Quatre personnes sont dédiées à ce service à Québec International.

Il faut dire qu’à côté de grandes métropoles comme Vancouver, Toronto ou Montréal, Québec ne manque pas d’atouts, explique la Française :

“C’est une ville de 800 000 habitants, à taille humaine. Et quand je viens en France pour “vendre” Québec, j’ai intérêt d’être raccord entre ce que je dis et la réalité, ce qu’ils peuvent venir chercher, parce qu’il y a de grandes chances qu’un jour, je me retrouve assise sur un banc de piscine à côté d’un candidat qu’on aura fait venir parce que nos enfants auront un cours en commun !”

Revers de la médaille de cet engouement pour le Québec, beaucoup de candidats à l’immigration se plaignaient récemment de l’interminable attente dans le traitement des dossiers de résidence permanente, pendant parfois un an ou plus.

Lui écrire info@quebecentete.com

Aller plus loin :
Le site Québec International

Le site de Québec en tête pour découvrir les entreprises qui recherchent vos talents.

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L’équipementier ferroviaire français a mené à bien l'acquisition de son concurrent canadien, qu’il doit maintenant s’attacher à intégrer.

Moins d’un an après son annonce initiale, Alstom a finalisé l’acquisition de Bombardier Transport le 29 janvier, doublant de taille. Son chiffre d’affaires annuel approche ainsi des 16 milliards d’euros, avec un carnet de commandes de plus de 71 milliards et un effectif global de 75 000 salariés.

La Covid-19 n’a pas fait dérailler l’opération, au contraire puisque le prix initial, aux environs de 6 milliards d’euros, a été renégocié à 5,50 milliards, financés essentiellement par des augmentations de capital. Le «bouclage» de ce rachat stratégique est intervenu le mois même où l’État français s’est opposé à l’OPA d’un autre groupe canadien, Couche-Tard, sur Carrefour. Paradoxe dans le paradoxe, le premier actionnaire d’Alstom est la Caisse de dépôt et placement du Québec, investisseur de long terme à la tête de 17,5% des parts, devant Bouygues (6% environ) sur le départ.

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Destination Canada Forum Mobilité sera offert en ligne en 2021 !


Le forum devait avoir lieu à Paris et à Bruxelles en février et mars 2021. Celui-ci sera désormais présenté à la fin février.
Offert entièrement en ligne, et toutes les activités auront lieu sur une plateforme virtuelle. Des centaines d’exposants canadiens seront là virtuellement pour vous rencontrer et vous aider.

Ouverture des inscriptions : janvier 2021.
Pour d’autres mises à jour abonnez-vous à notre Infolettre.
Employeurs : Renseignez-vous sur l’embauche de travailleurs francophones à l’extérieur du Québec.
 
Destination Canada Forum Mobilité est un événement annuel organisé par le gouvernement du Canada. Il met en contact des employeurs et des institutions canadiennes avec des candidats francophones qualifiés dans divers domaines. Découvrez les communautés francophones qui correspondent le mieux à votre style de vie et à votre domaine de travail. La participation est gratuite, et possible uniquement sur invitation.

Candidats: Participer en tant que candidat 
Employeurs: Comment les candidats sont sélectionnés et comment vous pouvez les embaucher 
Institutions: Ce que vous devez savoir lorsque vous représentez une institution

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Missions de la Chambre de Commerce France-Canada

 

Fondée en 1956 à Paris par Jean Vinant, la Chambre de commerce France-Canada (CCFC) a pour vocation de favoriser les échanges économiques entre les deux pays en apportant les informations nécessaires sur l’environnement et les pratiques d’affaires en France et au Canada, et en mettant en relation, à travers les évènements qu’elle organise, entreprises françaises et canadiennes.

Ces évènements sont de trois types :

  1. Déjeuner-débat ou petit déjeuner autour d’une personnalité de premier plan : par exemple, en 2018, Michaëlle Jean, secrétaire générale de la Francophonie, Kareen Rispal, ambassadrice de France au Canada, Isabelle Hudon, ambassadrice du Canada en France, Guy Cormier, président et CEO du Mouvement Desjardins ;
     
  2. Petit-déjeuner thématique destiné plus particulièrement aux PME/PMI et TPE ;
     
  3. Trois réceptions par an, dont une à la résidence officielle de l’Ambassade du Canada.

La Chambre de commerce compte des membres réguliers ou participant à ses évènements, Français et Canadiens, représentant des entreprises de toutes tailles et de tous secteurs, mais aussi des fédérations professionnelles, associations, agences de développement économique.

La Chambre de Commerce France-Canada est une des huit chambres fondatrices, en 2007, de l’Association des Chambres de Commerce étrangères en France.

 

Ses présidents ont été successivement : 

 

Organigramme du comité exécutif de la Chambre

PRÉSIDENT
Daniel JOUANNEAU
Ancien Ambassadeur de France au Canada

 

PRÉSIDENTS D’HONNEUR
Alexander de TAKACSY
Président d'honneur
BANQUE ROYALE DU CANADA pour la France, l’Allemagne, la Suisse et la Belgique



Jean-Claude BROGNAUX
Président d’honneur
LES PAPIERS DE PRESSE



Pierre MEYNARD
​Ancien président
ALCAN France et RIO TINTO Europe

 

VICE-PRESIDENTS
Laurence Jaud de LA JOUSSELINIERE
Senior Advisor
LEYDERS ASSOCIATES



Jean-Baptiste GUILLOT
Associé
GINESTIE MAGELLAN PALEY-VINCENT

 

TRÉSORIÈRE
Lucia BALDINO, MBA
Dirigeante - Vice-présidente, Développement et Opérations
OPTIMUM GESTION FINANCIERE

 

Aïda COLLETTE-SENE
Directrice Générale
​GENERIX GROUP FRANCE

 

François CHOQUETTE
Directeur, Gestion du chiffre d'affaires- Routes Transatlantiques
AIR CANADA

 

Thomas DERICHEBOURG
Président-Directeur général
DERICHEBOURG POLYURBAINE

 

Didier HUCK
Vice-Président relations institutionnelles et RSE 
TECHNICOLOR

 

Fawzi OUARETH
Président
ADAMING

 

Josiane SIMON
Ministre-Conseillère (Affaires économiques et commerciales) et Déléguée commerciale principale
AMBASSADE DU CANADA en France

Xavier VAN OVERMEIRE 
Associé 
DENTONS CANADA

 

Marie-Sophie de WAUBERT
Directrice Générale 
​UBISOFT Paris

 

Marie-Françoise HERVIEU
Présidente
ZONE FRANCHE

 

Caroline GARNIER
Directrice
CHAMBRE DE COMMERCE FRANCE-CANADA

Daniel JOUANNEAU
Ancien Ambassadeur de France au Canada

Ancien Ambassadeur de France au Canada

Laurence Jaud de LA JOUSSELINIERE
Senior Advisor
LEYDERS ASSOCIATES

Pierre MEYNARD
​Ancien président
ALCAN France et RIO TINTO Europe

Jean-Baptiste GUILLOT
Associé
GINESTIE MAGELLAN PALEY-VINCENT

Lucia BALDINO, MBA
Dirigeante - Vice-présidente,
Développement et Opérations
OPTIMUM GESTION FINANCIERE

François CHOQUETTE
Directeur principal, Gestion des revenus,
Partenariats transatlantiques et interlignes 
AIR CANADA

Juliette DUFOURMANTELLE
Vice-présidente principale – Services aux Entreprises
SODEXO

Aïda COLLETTE-SENE
PDG et présidente du directoire
​GENERIX GROUP FRANCE

Thomas DERICHEBOURG
Président-Directeur général
DERICHEBOURG POLYURBAINE

Marie-Françoise HERVIEU
Présidente
ZONE FRANCHE

Didier HUCK
Vice-Président relations institutionnelles
et RSE 
TECHNICOLOR

Stéphane LAMBERT
Ministre-Conseiller
(Affaires économiques et commerciales) 
et Délégué commercial principal
AMBASSADE DU CANADA en France

Luc LANDRIAULT
Associé
BFL CPA, , s.e.n.c.r.l.

Marcel de PICCIOTTO
Président 
MDP INTERNATIONAL 

Alexander de TAKACSY
Président d'honneur
BANQUE ROYALE DU CANADA pour la France, l’Allemagne, la Suisse et la Belgique

Caroline GARNIER
Directrice
CHAMBRE DE COMMERCE FRANCE-CANADA

 

 

Organigramme du comité exécutif de la Chambre

La CCFC organise régulièrement des rencontres thématiques pour approfondir un secteur, découvrir l’attractivité économique d’une région ou d’une province, trouver des réponses à des interrogations sur des sujets d’actualité, sur l’évolution des échanges franco-canadiens.

Elles sont animées par des experts dans des domaines variés :

  •  Incitation fiscale à la recherche et au développement,
  •  Création d'entreprise,
  •  Management interculturel,
  •  Gouvernance d'entreprise,
  •  Expatriation économique,
  •  Investissement, etc.
Exemple de thèmes de séminaires d’information organisés par la CCFC :
  •  Opportunités d’investissement et enjeux patrimoniaux entre la France et le Canada
  •  L'innovation verte au Québec : opportunité d'affaires pour les entreprises françaises
  •  Rencontre avec les deux plus importants fonds d'investissement canadiens 
  •  Droit de l'emploi et clauses restrictives au Canada
  •  La mobilité des personnes et des capitaux
  •  Intelligence projective et pilotage prospectif
  •  L'investissement et les possibilités d'immigration en Colombie-Britannique
  •  Le droit du travail et de l'emploi au Canada, ce qu’il faut savoir avant de s’implanter
  •  Gouvernance d’entreprise : comment ça marche
  •  Secteur minier au Canada : marchés et opportunités d’investissement pour les investisseurs français
  •  Le choix des Administrateurs : nouveaux défis pour les entreprises
  •  De la multiculturalité à la transculturalité ou comment du multiculturalisme dans les entreprises peut naître un déterminant commun pour un savoir-faire collectif puissant ?
  •  S’implanter au Canada : du partenariat commercial à la création de filiale

 

Nous contacter

Une conférence de presse, une opération de communication, un forum financier… la CCFC organise votre manifestation à votre convenance :    

  •  Petit-déjeuner thématiques,
  •  Conférence-débat,
  •  Déjeuner-conférence,
  •  Journée de réseautage, etc

La CCFC prend en charge l’assistance logistique de vos évènements : location de salle, service traiteur, équipement audio-visuel, gestion des listes d’invités, etc.

 

Nous contacter

Pensez à consulter notre foire aux questions avant d'envoyer votre demande.

 

FOIRE AUX QUESTIONS

Ambassade du Canada en France

Ambassade de France au Canada

Délégation Générale du Québec à Paris

Bureau de l'Ontario en France

Représentation du Nouveau-Brunswick auprès de l’OIF et de l’Ambassade du Canada

Centre Culturel Canadien

Association France-Amériques – Cercle des Nations Américaines


HEC Montréal, bureau international Europe

Association française des diplômés de l'Université de Montréal et de l'École Polytechnique (AFDUM-POLY)

Association des Canadiennes à Paris

Association des Diplômés Du Groupe ESSEC (A.D.G.E)

Représentation du Nouveau-Brunswick auprès de l’OIF et de l’Ambassade du Canada

Pour les exportations vers le Canada, la preuve d'origine préférentielle sera la déclaration d'origine apposée par l'exportateur sur un document commercial.
Pour les envois dont la valeur excède 6 000 euros, l'opérateur devra posséder le statut d'Exportateur Enregistré et donc détenir un numéro « REX » (« Registered Exporter System » / Système des exportateurs enregistrés) qu'il indiquera sur la déclaration d'origine.

Informations complémentaires pour obtenir le statut d'Exportateur Enregistré

La Banque Nationale du Canada vous aide à mieux comprendre les démarches à accomplir avant de devenir résident permanent au Canada 

Comprendre les démarches avant de devenir résident permanent canadien
Nouveaux arrivants: les premières démarches à l’arrivé

Le guide Faire affaire au Canada, publication du cabinet d'avocats canadienne Blakes, spécialiste du droit des affaires, vise à fournir aux personnes souhaitant élargir leurs activités un aperçu des aspects du droit canadien pouvant influer sur le commerce et l’investissement.

Guide - Faire affaire au Canada
Guide - Doing business in Canada

www.blakes.com

Les sites officiels sur l'AECG qui donnent un bon aperçu de l'Accord de Libre Echange entre le Canada et E-U et de ses composantes.

Site de la Commission Européenne

Site du Ministère de l'économie et des finances (France)

Site du Gouvernement canadien
 
Mythes et réalités 

La Chambre de Commerce France-Canada n'a pas pour mission de trouver des emplois ou des stages.
Nous vous recommandons de visiter les sites suivants :

Guichet emploi

Jobboom

Stage-Canada

Emploi pour les jeunes et etudiants au Canada

Les accords entre nos deux pays simplifient les démarches cependant, il faut anticiper la préparation environ 6 mois à l'avance.

Ce qu'il faut savoir avant d'étudier ...au Canada

Le site de l'étudiant liste les démarches à effectuer (visa, assurance, test de langue...)
 
Le site du gouvernement canadien pour les démarches obligatoires: Etudier au Canada à titre d'étudiants étranger  permis d'etudes...

Des sessions d'informations sont régulièrement organisées par l'Ambassade du Canada en France : consulter les dates  Educanada 

Les autorités canadiennes souhaitent faire grossir la proportion des francophones parmi les immigrants économiques qui s'établissent en dehors du Québec.
Pour faciliter la procédure, il est possible de tester votre admissibilité. Elle tient compte notamment de six facteurs : compétences en Français et en Anglaiss, niveau d'études, expérience professionnelle, âges, emploi réservé, faculté d'adaptation.

Testez votre admissibilité

L'expatriation constitue un tremplin professionnel et une expérience personnelle enrichissante. Toutefois, elle place la famille dans un nouveau contexte de vie qui aura des conséquences. Afin de vous accompagner dans ces réflexions, voici quelques recommandations.

La Banque transatlantique donne quelques conseils pratiques pour préparer vore expatriation.

La nouvelle exigence d’entrée est maintenant en vigueur : les voyageurs étrangers dispensés de visa qui prennent un vol à destination du Canada ou qui transitent par le Canada doivent obtenir une autorisation de voyage électronique (AVE).

Une période de clémence est accordée juqu'au 9 novembre 2016

Demandez une AVE avant de réserver votre billet d’avion pour le Canada. La plupart des demandeurs voient leur demande acceptée en quelques minutes. Par contre, le traitement de certaines demandes peut prendre plusieurs jours. Donc, n’attendez pas à la dernière minute pour faire votre demande.

Faire une demande AVE

Le Canada met en place des solutions pour attirer les professionnels qualifiés et bilingues dans les régions francophones hors Québec (Ontario, Nova Scottia, Terre-Neuve, Labrador, New Brunswick). Les employeurs sont exemptés de l'étude d'impact sur le marché du travail (EIMT) pour faciliter l'embauche d'un travailleur francophone.

Afin de contribuer à la vitalité, au développement et à la prospérité des communautés francophones en situation minoritaire au Canada, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) offre aux employeurs des possibilités d’embauche de travailleurs qualifiés francophones ou bilingues dans des communautés à l’extérieur du Québec.
 

Immigration francophone (hors Québec)



 

Expérience internationale Canada (EIC) offre aux jeunes l’occasion de voyager et de travailler à l’étranger. EIC est offerte dans les pays avec lesquels le Canada a conclu un accord bilatéral sur la mobilité des jeunes. Si votre pays de citoyenneté n’a pas conclu d’accord avec le Canada, vous pouvez avoir recours à une organisation reconnue pour venir au Canada au titre d’EIC.

Retrouver toutes les formalités pour aller au Canada au titre d'EIC

L'enregistrement d'une marque de commerce protège votre l'image de marque de votre entreprise (logos, noms des produits et services, slogans) et vous donne le droit exclusif de l'employer partout au Canada pendant une période de 15 ans (renouvelable). La procédure s'effectue auprès Bureau des marques de commerce en remplissant un formulaire en ligne ou en l’imprimant à partir du site www.ic.gc.ca.

Après examen de la demande d'enregistrement, lorsqu'elle est acceptée, la marque est publiée dans la Journal des Marques de Commerce. Si aucune opposition n'est déclarée, il est alors nécessaire de s'acquitter des droits d'enregistrements. Si le dépôt de la demande d’enregistrement de la marque au Canada a lieu dans les 6 mois de l’enregistrement de la marque en France, alors la date de l’enregistrement au Canada rétroagit au jour de la demande d’enregistrement en France en vertu de la  Convention de Paris.

Le dépôt d’un brevet en France n’entraîne qu’une protection sur le territoire français. Pour déposer une demande de brevet au Canada, il faut s'adresser au Bureau des Brevets de l'Office de la Propriété Intellectuelle du Canada (OPIC). Si le dépôt de la demande de brevet au Canada a lieu dans un délai d’1 an à la suite du dépôt initial en France, alors la date du dépôt au Canada rétroagit au jour du dépôt de la demande en France en vertu de la Convention de Paris. La protection du brevet s'étend à une période maximale de 20 ans après la date de dépôt de la demande. Pour maintenir le brevet en état de protection, il est nécessaire de s'acquitter de taxes périodiques.

Pour plus de détail : www.ic.gc.ca

Bon nombre d’étrangers peuvent être admis au Canada sans permis de travail afin d’y travailler temporairement (habituellement pendant 90 jours ou moins) s’ils sont des employés permanents de sociétés établies hors du Canada qui exercent des activités au Canada, soit directement ou par l’entremise d’une société mère ou d’une filiale.

Ces employés peuvent séjourner au Canada uniquement pour y rencontrer et consulter d’autres employés, y vendre des produits à des parties (sauf au grand public) ou y acheter des produits ou des services canadiens. Ils ne peuvent pas s’introduire directement dans le marché du travail canadien et leur principale source de rémunération pour l’activité commerciale doit provenir de l’extérieur du Canada.

Il existe un nouveau système de gestion des demandes d'immigration au Canada présentées par des personnes ayant de l'expérience de travail qualifié. Ce système s'appelle Entrée express.

Pour en savoir plus : www.cic.gc.ca

À compter du 15 mars 2016, les voyageurs étrangers dispensés de visa qui prennent un vol à destination du Canada ou qui transitent par le Canada vers leur destination finale devront obtenir une autorisation de voyage électronique (AVE). Cette exigence ne s’applique pas aux voyageurs qui possèdent un visa valide.

Pour en savoir plus : www.cic.gc.ca

La formule V.I.E exonère l’entreprise française de tout lien contractuel direct avec le volontaire et de toutes charges sociales en France. En effet, Business France gère les aspects contractuels, de rémunération et de la protection sociale.

L’entreprise prend en charge le montant de l’indemnité mensuelle versée au volontaire, les frais de gestion et de protection sociale du V.I.E, les frais de voyage et de transport de bagages aller-retour. Le coût est fonction du pays d’affectation et du chiffre d’affaire de l’entreprise.

Un vivier actif de candidats motivés, présentant toutes les compétences professionnelles et linguistiques et les aptitudes à l’expatriation est également consultables sur le site www.businessfrance.fr.

« Destination Canada » organise un grand forum regroupant employeurs canadiens de divers secteurs d’activités (l'ingénierie, la santé, l'éducation, l'hôtellerie et la restauration, l'informatique, le multimédia, la construction ....) et des représentants des provinces et territoires du Canada pour vous informer sur les possibilités d’emploi et les services d’aide à l’intégration. Plusieurs sessions à Paris et en régions sont organisées dans le courant de l’année.

Pour en savoir plus : www.destination-canada-forum-emploi.ca

Le Canada est une destination très prisée par les étudiants en recherche de stage. Cependant il faut remplir quelques conditions pour obtenir un visa de stage : www.stage-canada.fr/visa-canada

La France et le Canada ont signé un accord pour faciliter les échanges d’étudiants et jeunes entre les deux pays. Le programme EIC (Expérience Internationale Canada) est valable pour les stages, jeunes professionnels et jobs d'été.Les formalités administratives pour faire une demande d’EIC : www.cic.gc.ca

Le Guide des affaires Franco-Canadienne répertorie la liste des sociétés françaises implantées au Canada et canadiennes implantées en France.

Il existe de nombreux sites de recherche d’emploi, nous avons sélectionné quelques sites généralistes et spécialisés par secteurs d’activités. Le site officiel de recherche d’emploi au Canada www.guichetemplois.gc.ca

Pour importer des marchandises commerciales au Canada, vous devez être en possession d'un numéro d'entreprise (NE) émis par l'Agence de revenu du Canada (ARC) pour un compte d’importation-exportation. Cette démarche est sans frais et rapide auprès du Guichet des entreprises de l’ARC au 1-800-959-7775 ou sur www.cra-arc.gc.ca

Toutes les étapes administratives pour importer des marchandises au Canada www.cbsa-asfc.gc.ca

Toutes les étapes administratives pour exporter des marchandises du Canada www.cbsa-asfc.gc.ca

Assurez-vous que votre marchandise est autorisée au Canada www.cbsa-asfc.gc.ca

Pour importer ou exporter des marchandises, vous devez faire une demande d'octroi de numéro EORI (Economics registration and indentification) en remplissant une demande d'immatriculation spécifique avec le formulaire Cerfa 13930*. Vous devrez obligatoirement réaliser une déclaration d'importation. Cette déclaration, dénommée DAU (Document administratif unique), est totalement informatisée. Elle est effectuée en ligne sur l'application Delt@, accessible depuis pro.douane.gouv.fr

Toutes les informations sur complémentaire sur les droits et taxes sur : www.douane.gouv.fr
Assurez-vous que votre marchandise est autorisée au Canada www.cbsa-asfc.gc.ca

https://www.canada.ca/fr/services/entreprises/recherche/repertoiresentreprisescanadiennes.html
Ce site permet de rechercher, par secteur d'activité, une entreprise au Canada, une association professionnelle, une liste d'exportateurs canadiens

Le ministère de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion organise des séances d'information sur la vie, le travail, les études et les procédures d'immigration au Québec. Ces séances sont gratuites et s'adressent aux personnes qui envisagent d'immigrer ou de séjourner au Québec. Elles sont données en plusieurs langues par un conseiller ou une conseillère du Ministère. Elles sont offertes en ligne et en personne dans certains pays.

Plus d'informations sur les démarches, dates...

Merci d'avoir pris contact avec CCFC

Nous vous contacterons dans les plus brefs délais

Emmanuel MONICK

1956 / 1958

Gouverneur BANQUE DE FRANCE
Président d’Honneur 
BANQUE DE PARIS ET DES PAYS-BAS

Olivier MOREAU-NERET

1958 / 1961

Membre de l’Institut
Président 
CRÉDIT LYONNAIS

Albert de BOISSIEU

1961 / 1965

Gérant
SCHNEIDER SA

Marcel DEMONQUE

1965 / 1969

Président Directeur Général
CIMENT LAFARGE

Alexander de TAKACSY

1969 / 1973

Président Directeur Général
THE ROYAL BANK OF CANADA (FRANCE)

Pierre LEDOUX

1973 / 1977

Président
BANQUE NATIONALE DE PARIS

Olivier LECERF

1977 / 1979

Président Directeur Général
LAFARGE SA

Jean de GRANDPRE

1979 / 1981

Président
BELL CANADA

Jean PINEAU

1981 / 1983

Vice-Président
AIR LIQUIDE

Jérôme MONOD

1983 / 1986

Président Directeur Général
LYONNAISE DES EAUX

Jacques MAYOUX

1986 / 1990

Président d’Honneur
SOCIÉTÉ GÉNÉRALE

Philippe LETTE

1991 / 1996

Avocat aux Barreaux de Paris et de Montréal
LETTE LETTE & PARTNERS

Emmanuel RODOCANACHI

1996 / 2000

Président
NATEXIS BANQUE

Michel CLÉMENT

2000 / 2002

Président Directeur Général
NORTEL NETWORKS FRANCE

Jean-Claude BROGNAUX

2003 / 2007

Président des Conseils de Surveillance
GROUPE “LES PAPIERS DE PRESSE”

Pierre MEYNARD

2007 / 2017

Président
RIO TINTO FRANCE

Daniel JOUANNEAU

2017

Ancien Ambassadeur de France au Canada

 

 

 

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La Chambre de Commerce France-Canada fédère un réseau membres et partenaires économiques et institutionnels, entreprises françaises et canadiennes de tous secteurs, de la TPE à la multinationale.

Le tarif des adhésions varie en fonction de la taille des sociétés et des avantages liés à l'adhésion. N'hésitez pas à nous contacter à l'adresse ccfc@ccfc-france-canada.com pour plus de questions.

Adhérer à la CCFC, c’est :

Une adhésion à deux niveaux pour 2022 !

Premier niveau : (niveau MEMBRE)

En fonction de la taille de l’entreprise :
Provinces et grande entreprise (≥250 employés)            1500 €  
Société 50≤ Société ≤250 employés CA≤43 millions       1000 €  
PME 10≤ PME ≤50 employés CA≤10 millions                      625 €    
TPE, Start UP et travailleurs indépendants                          250 €
Etudiants                                                                                        50 €   
 

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Deuxième niveau à choisir après le règlement de l'adhésion : (niveau PARTENARIAT) (non obligatoire)

OR           1500 €
ARGENT 1000 
BRONZE   500 €

PARTENARIAT qui vise à offrir une contrepartie valorisante et proportionnelle au statut accordé :

 

PARTENAIRE OR : 1500 HT

  • Préemption pour toute commandite à tout événement de la CCFC
  • Déjeuner VIP : deux invitations exclusives en lien avec l’ambassade du Canada
  • Invitation exclusive à l’occasion de tout événement VIP organisé par la CCFC
  • Prise de parole lors d’un événement de la CCFC (à l’occasion d’une activité en présentiel ou d’un webinaire) 
  • Newsletter : message de l’entreprise au réseau de la Chambre de Commerce France-Canada
  • Podcast fourni par l'entreprise et diffusé sur le site (ccfc-france-canada.com) pendant 1 mois et sur les réseaux sociaux
  • Logo de votre entreprise à l’invitation de chaque événement de la Chambre
  • Représentants de l’entreprise : 5

Je choisis le partenariat OR

 

PARTENAIRE ARGENT : 1000 HT

  • Une invitation exclusive pour un déjeuner VIP en lien avec l'Ambassade du Canada
  • Newsletter : message de l’entreprise au réseau de la Chambre de Commerce France-Canada
  • Podcast fourni par l'entreprise et diffusé sur le site (ccfc-france-canada.com) pendant 1 mois et sur les réseaux sociaux
  • Invitation exclusive à l’occasion de tout événement VIP organisé par la CCFC
  • Logo de votre entreprise à l’invitation de chaque événement de la Chambre
  • Représentants de l’entreprise : 4

 

 Je choisis le partenariat ARGENT

 

PARTENAIRE BRONZE :  500 HT

  • Mise en relation ciblée sur demande avec d’autres Partenaires de la Chambre (OR et Argent)
  • Newsletter : message de l’entreprise au réseau de la Chambre de Commerce France-Canada
  • Invitation exclusive à l’occasion de tout événement VIP organisé par la CCFC
  • Représentants de l’entreprise : 3
     

     Je choisis le partenariat BRONZE

 


Notre réseau

Le réseau France-Canada est un acteur indispensable et incontournable au bon développement des affaires économiques entre nos deux pays.
 

Nous remercions nos adhérents partenaires dont la pluralité des expertises est au service des entreprises et dont l'efficacité se transforme en réel apporteur d'affaires.

 

 

 

 

          

          

          

          

          

          

          

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BFL CPA S.E.N.C.R.L.

 

Crédit Mutuel              Nuance        Simard Conseil SAS      CHAIS Elles

 

     Blackpack Spirit                                 

 

23 juin 2021
Ode au Canada
Notre nouvelle vidéo de sécurité présente quelques-uns des paysages les plus spectaculaires au pays.

 

C’est un hommage à sa beauté, d’un océan à l’autre.


Advitos
Un tour de table de 20 millions d'euros pour Advitos, mené par Crédit Mutuel Equity, en co-investissement avec le fonds EIC de l'UE.

Advitos GmbH (« Advitos »), société de technologie médicale basée à Munich, a annoncé aujourd'hui la réalisation d'un tour de table de 20 millions d'euros. Ce tour de table a été mené par Crédit Mutuel Equity et Crédit Mutuel Innovation. En outre, Advitos a reçu un financement du fonds du Conseil européen de l'innovation (EIC) de l'Union européenne dans le cadre du programme de financement mixte EIC Accelerator Pilot et d'un investisseur stratégique.

Advitos a développé et commercialise aujourd'hui le dispositif médical d'assistance extracorporelle 4-en-1 ADVOS-multi (ADVanced Organ Support) qui permet de soutenir simultanément les trois principaux organes de détoxification - le foie, les poumons et les reins - et de corriger les déséquilibres acido-basiques du sang. Des essais pilotes menés sur des patients gravement malades ont montré que cette thérapie augmentait le taux de survie en cas de défaillance grave d'un organe de 20 à 50 %.

La défaillance multiviscérale provoque chaque année le décès d'environ un demi-million de patients en soins intensifs en Europe occidentale et aux États-Unis. Cela représente environ 60 % de tous les décès survenant dans les unités de soins intensifs. En raison de la pandémie de Covid-19, ce chiffre est passé à environ 750.000 patients l'année dernière. D'autre part, les procédures extracorporelles classiques telles que la ventilation mécanique, l'ECMO (oxygénation par membrane extracorporelle), la dialyse et la thérapie d'assistance hépatique ne soutiennent que la fonction d'un ou deux organes. En traitant les trois organes simultanément, et non consécutivement tel que le proposent les solutions existantes, cette approche holistique donne aux patients de bien meilleures chances de guérison. La thérapie ADVOS marquée CE, est reconnue par des experts internationaux et est déjà utilisée dans les unités de soins intensifs de plus de 20 hôpitaux en Allemagne, dont plusieurs hôpitaux universitaires de premier plan.

Advitos a développé elle-même les principaux composants exclusifs de la thérapie ADVOS et du dispositif ADVOS-multi et détient plusieurs brevets liés à la technologie et aux caractéristiques du processus. Grâce à ce tour de table, la société vise à élargir les preuves cliniques dans plusieurs indications, à étendre la commercialisation de sa thérapie à l'échelle internationale et à ajouter des fonctionnalités thérapeutiques supplémentaires au dispositif ADVOS-multi.

Advitos a été fondée en 2005 par le néphrologue Bernhard Kreymann, M.D., qui est également l'inventeur de la thérapie ADVOS. Advitos a débuté comme une start-up dans un laboratoire de recherche à Garching près de Munich. Catherine Schreiber l'a rejoint ensuite en apportant ses compétences d'abord en matière d'ingénierie puis en marketing et gestion. Ensemble, ils ont développé ADVITOS au fil des ans, à l'aide de plusieurs tours de financement avec la participation d'investisseurs privés, du groupe bancaire KfW et des salariés. L'entreprise emploie actuellement 55 personnes. Elle a reçu de nombreux prix, notamment celui de l'innovation 2020 de Bavière, et figure dans le palmarès Deloitte Technology Fast 50 Awards 2019.

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Le Monde avec AFP I Publié le 15 août 2021 à 19h50 

L’électorat canadien se rendra aux urnes le 20 septembre. A la tête d’un gouvernement minoritaire depuis octobre 2019, M. Trudeau entend tirer parti des sondages favorables, de sa gestion de la pandémie et de la réussite de la campagne vaccinale.


Le premier ministre canadien, Justin Trudeau, est à la tête d’un gouvernement minoritaire depuis octobre 2019. JUSTIN TANG / AP

Le premier ministre canadien, Justin Trudeau, a annoncé, dimanche 15 août, un scrutin anticipé pour le 20 septembre, moins de deux ans après les dernières élections fédérales.

« La gouverneure générale a accepté ma demande de dissoudre le Parlement. Les Canadiens iront donc aux urnes le 20 septembre », a-t-il déclaré de la capitale fédérale, Ottawa. Selon M. Trudeau, le pays se trouve à un « moment historique » du fait de l’épidémie de Covid-19 et il est donc « extrêmement important que les Canadiens puissent choisir comment [ils vont] sortir de cette pandémie et comment [ils vont] rebâtir en mieux ».

« Je vous demande d’appuyer un gouvernement progressiste et ambitieux » qui prône « un système de santé fort, le logement abordable et un environnement protégé », a-t-il ajouté, lançant certains des grands thèmes de sa campagne.

Lire aussi  Canada : Justin Trudeau, de l’icône progressiste aux accusations d’opportunisme

A la tête d’un gouvernement minoritaire depuis octobre 2019, ce qui le rend dépendant de partis d’opposition pour faire adopter ses réformes, M. Trudeau entend surfer sur des sondages favorables, sa gestion de la pandémie et la réussite de la campagne vaccinale.

Les autres partis, tous opposés à la tenue d’un scrutin cet été, ont dénoncé un calcul politique alors que la pandémie n’est pas terminée. Le Canada a annoncé récemment affronter une quatrième vague épidémique, due au développement du variant Delta, plus contagieux. Le pays a toutefois l’une des meilleures couvertures vaccinales du monde : 71 % des 38 millions de Canadiens ont reçu une première dose et 62 % sont complètement vaccinés.

La grande incertitude sera la participation

Le premier ministre s’est plaint à plusieurs reprises ces derniers temps de l’obstruction des partis d’opposition au sein du Parlement. Pour être à la tête d’un gouvernement majoritaire, la formation de M. Trudeau, le Parti libéral du Canada, qui compte 155 députés élus, devra obtenir au moins 170 des 338 sièges que compte la Chambre des communes.

Mais c’est un « pari risqué » au vu des sondages actuels, estime Daniel Béland, professeur de science politique à l’université McGill, à Montréal. « L’élection pourrait se jouer sur quelques sièges », ajoute-t-il, et « comme cette élection est clairement la décision de Trudeau, cela pourrait lui coûter cher en termes de leadership s’il échoue ».

Face à lui, Erin O’Toole, le chef des conservateurs, seule autre formation capable de former un gouvernement – 119 députés actuellement –, souffre d’un déficit de notoriété dans la population mais pourra compter sur les provinces rurales comme réservoir de voix. Jagmeet Singh, qui est à la tête du Nouveau Parti démocratique (NPD), est l’autre rival de M. Trudeau et pourrait grappiller des voix aux libéraux chez les jeunes et les urbains.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi  Avec le Covid-19, les Canadiens découvrent les bienfaits (et les limites) de l’Etat-providence

La campagne électorale devrait en grande partie tourner autour de la gestion de la pandémie et des larges programmes d’aide d’urgence déployés par le gouvernement ainsi que du plan de relance de 101,4 milliards de dollars canadiens (69 milliards d’euros) sur trois ans. Mais les questions environnementales et celle de la réconciliation avec les peuples autochtones seront également cruciales pour ce scrutin qui s’annonce sans précédent.

Les mesures sanitaires toujours en cours dans plusieurs Etats vont limiter les rassemblements électoraux et la grande incertitude sera la participation. Par ailleurs, si le vote par correspondance est plus développé, comme cela est pressenti en raison de la pandémie, le résultat du scrutin pourrait ne pas être connu le soir même de l’élection.

Le Monde avec AFP

 

Vous rêvez du Québec? vous avez un projet mais vous ne savez pas par où commencer?

 Le Mois du Québec, LMDQ, est un évènement unique : une tournée qui débutera le 4 octobre 2021 à l’Hôtel de ville de Bordeaux et qui fera étape dans 15 villes françaises durant tout le mois d’octobre.

 

Nous serons là pour répondre à toutes vos questions et surtout pour vous apporter de la stratégie et vous proposer un accompagnement personnalisé pour mener à bien votre projet au Québec.

L’entrée est gratuite et ouverte à tous les amoureux du Québec.

Une quarantaine d’intervenants experts seront présents en présentiel ou virtuel pour vous apporter un maximum d’informations : Finances, immigration, vie culturelle, relocation, emploi, formations, études, reconversion…

Des rencontres individuelles auront lieu et vous pourrez prendre rdv avec les experts dans les jours qui suivront.

Christelle COLLING, directrice d’Objectif Québec et du Mois du Québec, va réduire l’écart entre la perception que vous avez et la réalité du terrain : Vous êtes prêts à entendre les vraies choses ?? Alors embarquez !

Lire l'article 

Inscription

Le Figaro I Par Ludovic Hirtzmann 

L’enseigne française, présente dans le pays depuis trois ans, a vu son chiffre d’affaires y bondir de 70 % en 2020.
Dès l’entrée de son magasin du Centre Eaton, au cœur de Montréal, Décathlon Canada veut faire bouger les Québécois.
 

«Des activités pour tous en magasin et autour de vous», annonce une affiche du géant français des équipements sportifs.

L’enseigne, présente aujourd’hui dans 61 pays avec plus de 1700 magasins, était inconnue au Canada il y a encore trois ans, lorsqu’elle a ouvert un magasin sur la rive sud de Montréal. Décathlon Canada s’est fait un nom et compte aujourd’hui cinq points de vente au Québec, un en Nouvelle-Écosse et deux autres en Ontario. Avec pour ambition d’ouvrir trois autres magasins d’ici à la fin de l’année dans le pays. Le groupe emploie plus de 760 collaborateurs.

Article pour abonnés Le Figaro

 

Éditorial de Daniel Jouanneau

 

Président de la Chambre de commerce France-Canada

            
          L’impact de la pandémie sur la Chambre de commerce France-Canada, comme pour toutes les institutions à vocation évènementielle, a été sévère. Pour que la Chambre reste active, visible et utile, nous avons proposé des webinaires, dix au total entre le printemps 2020 et l’été 2021. Ils ont apporté à nos entreprises informations et conseils sur la manière de réussir une implantation sur l’ensemble du marché canadien : le Québec, l’Ontario, Vancouver et la Colombie britannique, les Provinces atlantiques, avec chaque fois des interventions des principaux responsables politiques provinciaux, premiers ministres ou ministres, et des témoignages de patrons de quelques-unes des 1 200 filiales d’entreprises françaises. Les webinaires ont permis aussi des échanges très intéressants avec des personnalités canadiennes de premier plan, je pense à Philippe Couillard, ancien premier ministre du Québec, Monique Leroux, présidente du Conseil pour la stratégie industrielle du Canada, Sophie Brochu, présidente d’Hydro-Québec.


              De tous ces webinaires, un message très clair s’est dégagé : les entreprises françaises, leurs produits, leurs services, leur savoir-faire, sont plus que jamais les bienvenus au Canada.

Les chiffres sont là pour le prouver : en 2020, par rapport à 2016, dernière année avant l’entrée en vigueur du CETA, la France est passée de 9ème à 3ème fournisseur du Canada pour les biens, et de 5ème à 2ème pour les services. Nous étions le 10ème investisseur au Canada il y a cinq ans, nous sommes le 4ème. Le CETA, qui a ouvert le marché canadien à la concurrence européenne comme jamais, a donc eu un effet très positif pour les entreprises françaises. Parallèlement, il a dopé dans des proportions très importantes les investissements canadiens en France. La Chambre compte reprendre ses « matinées CETA », en association avec Business France et les chambres de commerce territoriales.

              La CCCFC apprécie son excellente collaboration avec l’Ambassade du Canada en France et la Délégation générale du Québec. Elle s’appuie aussi beaucoup sur l’Ambassade de France et les consuls généraux de France au Canada.

              Nous travaillons fort à notre programme d’activités pour 2022. Notre objectif est de permettre à nos membres et à leurs invités de se réunir autour de personnalités canadiennes de passage à Paris. Notre intention est d’organiser en juin et en décembre des réceptions qui reviendraient chaque année et seraient des points de repère. Mais aussi des rencontres thématiques, à l’occasion par exemple des salons professionnels auxquels participent des délégations d’entreprises venues du Canada.

 

                  Pour ce faire, la CCFC est pilotée par un comité exécutif engagé, élargi, féminisé et très franco-canadien. De nouveaux sponsors nous ont rejoints. Une nouvelle grille tarifaire pour les adhésions a été adoptée. Elle crée pour les membres la possibilité d’accéder au statut de partenaires de la Chambre, avec des contreparties leur permettant de mettre en valeur leur entreprise. Refondu, le site de la Chambre contribuera à ce que nous voyons comme un nouveau départ.

Par Olivier Ducuing I Publié le 24 août 2021

Le leader des produits surgelés à base de pommes de terre investit 17 millions d'euros dans le Pas-de-Calais dans un atelier de conditionnement, pour tenir ses positions dans un marché très concurrentiel. Il va accroître de 15 % la capacité du site.

McCain va offrir une cure de jouvence à son usine de ses frites surgelées de Béthune, dans le Pas-de-Calais. Le groupe canadien a annoncé un investissement de 17 millions d'euros pour transformer et moderniser l'atelier de conditionnement des frites à l'occasion d'une visite de la ministre déléguée à l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher .

Ce projet, qui ne sera pas créateur d'emplois, vise à adopter un nouveau conditionnement pour les frites, plus adapté à la grande distribution. Six nouvelles lignes de conditionnement pourront ainsi sortir des formats variés allant de 500 grammes à 3 kg. De quoi accroître de 15 % la capacité du site.

850 producteurs

Comme l'explique Erwin Pardon, directeur général de McCain Europe, ce projet s'inscrit dans le droit fil d'un effort constant d'investissement dans l'outil de production français. « Depuis cinq ans, McCain a déjà investi 125 millions d'euros dans ses trois usines en France », a-t-il détaillé lors de la visite ministérielle.

Basé à Harnes, dans le Pas-de-Calais, son principal site, McCain compte aussi deux usines à Béthune et Matougues (Marne), ainsi que des bureaux à Villeneuve d'Ascq, près de Lille. Soit un important ensemble de 1.100 salariés, qui correspond à un pays majeur pour le groupe d'origine canadienne : la France représente 32 % de ses ventes, avec 40 % de parts de marché, et pas moins d'un million de tonnes de pommes de terre achetées chaque année auprès de 850 producteurs. Une frite surgelée sur trois vendues en France est une frite McCain.

Gecco industrialise à Lille le recyclage des huiles de friture usagées en biodiesel

« Premier marché européen de Mc Cain, la France est aussi au centre de la stratégie de croissance et de développement industriel de notre entreprise », insiste Erwin Pardon, selon qui le métier, très intensif en capital, justifie la poursuite de l'effort. Cet investissement « est le premier d'une série qui sera déployée […] d'ici à 2026 », indique-t-il, sans préciser toutefois le montant du programme.

Made in France

Si la première raison du nouvel investissement est de gagner en productivité, face à une concurrence particulièrement vive, McCain vise aussi la carte du made in France . Non seulement sur les frites, mais aussi sur les flocons déshydratés, l'autre production de l'usine. Il rapatrie par ailleurs un conditionnement de flocons déshydratés d'une usine belge du groupe (Lutosa, rachetée en 2013), soit 4.500 tonnes, pour un investissement complémentaire de 1,9 million d'euros.

Autre axe de différenciation, le bio, sur lequel McCain n'avait pas encore misé en Europe. L'usine de Béthune vient de décrocher il y a quelques jours la certification, et devient la seule usine du groupe en Europe à pouvoir produire sous label bio .

La météo très médiocre de l'été affecte la production et les approvisionnements de pommes de terre, admet par ailleurs le directeur de McCain Europe. Mais « nos équipes savent gérer », affirme-t-il. 

Lire l'article

 

L'Ambassade du Canada en France-IRCC Paris organise les Journées mobilité, le samedi 18 septembre à Lyon et le dimanche 19 septembre à Marseille, autour des opportunités pour étudier, travailler et s'établir au Canada

JOURNÉES MOBILITÉ 2021

LYON – 18 septembre 2021

MARSEILLE – 19 septembre 2021

 

L'objectif de ces journées est d'exposer les multiples façons d'aborder le Canada en offrant un programme complet de conférences et de rencontres pour y préparer votre avenir !

Ces journées seront aussi une excellente occasion de se préparer à participer à la prochaine édition virtuelle de Destination Canada Forum Mobilité du 18 au 20 novembre 2021.

Le Service d'immigration de l'Ambassade du Canada-IRCC Paris animera des conférences qui mettront l'accent sur les démarches pour s'installer au Canada de façon temporaire ou permanente. La conférence « Aborder le marché du travail » donnera des pistes pour préparer son CV pour une recherche d’emploi au Canada.

Sur l'espace stands, l’équipe d’IRCC Paris répondra à vos questions sur les démarches à suivre pour étudier, travailler ou vous établir au Canada. Le service des relations universitaires sera sur place et présentera les programmes d’études à tous ceux qui souhaitent étudier au Canada. Pôle emploi mobilité internationale et d’autres exposants vous informeront sur les ressources pour vous préparer avant votre départ.

Ces rencontres auront lieu le samedi 18 septembre à Lyon et le dimanche 19 septembre à Marseille, en personne. Ces conférences seront retransmises sur la page Facebook @DestCan le samedi 18 dans l’après-midi. Suivez-nous pour les détails.

 

Inscription obligatoire  :

Lyon – 18 septembre 2021 : https://bit.ly/MobiliteLyon

 Marseille – 19 septembre 2021 : https://bit.ly/MobiliteMarseille

 

Destination Canada Forum Mobilité est le rendez-vous incontournable pour l’immigration temporaire ou permanente au Canada.  Cet  événement annuel organisé par le gouvernement du Canada met en contact des employeurs et des institutions canadiennes avec des candidats francophones et bilingues qualifiés dans divers domaines.

 

Participer comme visiteur

 

Destination Canada Forum Mobilité s’adresse aux candidats francophones et bilingues qui cherchent des opportunités au Canada (hors Québec).

La participation est gratuite, et possible uniquement sur invitation. Pour participer, vous devez d’abord vous inscrire. Les invitations à l’événement en ligne en direct sont envoyées selon les besoins du marché canadien du travail et les offres d’emploi publiées sur notre site Web.  Tous les visiteurs inscrits auront accès au contenu à la demande en ligne du 22 novembre au 21 décembre 2021.

A Destination Canada Forum Mobilité, vous rencontrerez en ligne des employeurs canadiens représentant divers secteurs qui sont à la recherche de candidats francophones ou bilingues.

Vous pourrez également vous entretenir avec des représentants des provinces et des territoires du Canada ainsi que des communautés francophones. Ils vous parleront de leur région, de leur ville et de leur collectivité et vous présenteront leurs programmes d’immigration. Ils répondront également à vos questions à propos de la vie dans des milieux francophones au Canada (hors Québec).

En plus d’établir des liens, vous pourrez assister à des conférences qui vous donneront une vue d’ensemble du Canada. Vous trouverez également des renseignements sur les processus à suivre pour travailler au Canada, que ce soit de façon temporaire ou permanente.

INSCRIPTION VISITEUR

Les inscriptions seront ouvertes du 27 septembre au 24 octobre 2021.

Participer comme exposant

Les employeurs canadiens qui sont à la recherche de candidats pour pourvoir des postes à l’extérieur du Québec peuvent participer comme exposants.  Les représentants des provinces et des territoires, des villes et des régions, des associations et des organismes des communautés francophones et des organismes d’établissement à l’extérieur du Québec peuvent aussi participer.

La participation est gratuite, mais vous devez d’abord vous inscrire. Nous vous transmettrons de plus amples renseignements à propos de l’événement lorsque nous aurons confirmé votre inscription.

Vous informerez les candidats francophones et bilingues qualifiés des programmes d’immigration et d’établissement ainsi que des possibilités d’emploi.  Destination Canada Forum Mobilité vous offre l’accès à un bassin de candidats qualifiés de partout au monde.

Parmi les candidats qui seront invités à participer en direct seront présents :

  • Des candidats qui sont prêts à partir au Canada et titulaires d’un permis de travail ouvert comme, par exemple, le permis Vacances-travail ou PVT. Ceux-ci peuvent donc s’installer au Canada sans délai et commencer à travailler dès leur arrivée. Vous n’aurez pas à prendre d’autres mesures d’immigration pour ces candidats.
  • Des candidats qui sont admissibles à un permis de travail en vertu du volet Mobilité francophone. Ce volet englobe des postes de gestion ou des emplois professionnels, techniques ou spécialisés. Vous pouvez donc embaucher des candidats étrangers francophones ou bilingues pour travailler à l’extérieur du Québec sans avoir à procéder à une étude d’impact sur le marché du travail.
  • Des candidats qui ont déjà créé leur profil Entrée express pour immigrer au Canada, hors Québec.
  • Des candidats qui s’informent sur les opportunités au Canada pour avancer avec leur projet de mobilité.


 

INSCRIPTION EXPOSANT

Les inscriptions seront ouvertes du 27 septembre au 24 octobre 2021.

Conférences

 

Ces conférences seront présentées chaque jour du forum, du 18 au 20 novembre 2021. 

Les conférences seront en français et la période de questions sera bilingue, français et anglais.

Note : L’horaire est basé sur l’heure normale d’Europe centrale (HNEC) (Vérifier l'heure locale ici).

 

 

15h30-16h15 HNEC

Comprendre les programmes d’immigration – résidence temporaire

Pour vous aider à déterminer le programme d’immigration le mieux adapté à votre projet, un agent d’immigration vous présentera les différentes options d’immigration temporaire incluant Mobilité francophone et Expérience internationale Canada, et expliquera les démarches pour soumettre votre demande.
 

16h30- 17h15 HNEC

Comprendre les programmes d’immigration – résidence permanente

Informez-vous sur les programmes d’immigration pour demander la résidence permanente au Canada. Un agent d’immigration vous présentera les différentes options d’immigration permanente incluant Entrée express ainsi que les critères de sélection et les démarches pour soumettre votre candidature.
 

17h30-18h15 HNEC

Aborder le marché du travail canadien

Bâtir un réseau, rédiger un curriculum vitæ selon le format canadien et se préparer à une entrevue d’embauche ; voilà autant d’étapes clés pour se lancer sur le marché du travail canadien. Un panel d’experts donnera de précieux conseils sur la manière d’adapter son approche aux attentes des employeurs canadiens, de se vendre sans se vanter et de décrocher un emploi au Canada.
 

18h30-19h15 HNEC

Préparer son départ

Cette séance vise à donner des pistes de réussite pour l’arrivée au Canada : la préparation financière, le réseautage, la recherche d’un logement, les soins de santé, l’école pour les enfants et l’adaptation à une nouvelle vie.
 

19h30-20h15 HNEC

Créer ou acquérir une entreprise au Canada

Cet atelier vous présentera les démarches pour immigrer au Canada en tant qu’entrepreneur. De la planification à l’étude de marché, du financement à l’inscription de votre entreprise, toutes les étapes et ressources clés de l’acquisition ou du démarrage d’une entreprise au Canada y seront abordées.
 

Kiosques

Les kiosques virtuels seront ouverts de 15h00 à 21h00 heure normale d’Europe centrale (HNEC) (Vérifier l'heure locale) les 18, 19 et 20 novembre 2021.

Exposants

Les kiosques virtuels seront ouverts de 15h00 à 21h00 heure normale d’Europe centrale (HNEC) les 18, 29 et 20 novembre 2021. La liste des exposants sera disponible lorsque les visiteurs se connecteront.

Lien vers le site

 

Grâce à la vaccination et au respect des gestes barrières, la 4e vague semble contenue. Depuis le 7 septembre, les frontières canadiennes sont rouvertes aux visiteurs étrangers doublement vaccinés. Une bonne nouvelle pour de nombreux Français qui veulent se rendre au Québec afin de mener leur projet professionnel ou retrouver leurs proches.

Cette reprise de la mobilité transatlantique se conjugue à la réouverture au public de plusieurs rassemblements économiques ou culturels. Des manifestations d’un genre nouveau pour certains qui allieront présence physique et distanciée.

Cette rentrée est aussi l’occasion de souligner les 60 ans de présence officielle du gouvernement du Québec en France. C’est en effet le 5 octobre 1961 que le Premier ministre du Québec, Jean Lesage, son ministre de la Culture, Georges Émile Lapalme, et le ministre de la Culture de France, André Malraux, inauguraient la Maison du Québec à Paris. Une inauguration précédée par la rencontre entre le Premier ministre du Québec et le Président de la République où fut nouée une relation directe et privilégiée, dédiée aux progrès économique, social et culturel des deux peuples.

La Maison du Québec est devenue la Délégation générale du Québec avec le statut d’ambassade. Quinze Délégués(es) généraux(ales) dont deux femmes, Louise Beaudoin et Line Beauchamp, m’ont précédée et ont contribué à construire cette relation ancrée dans une langue, une histoire et des valeurs partagées. Je leur rends hommage.

60 ans plus tard, les liens développés sont innombrables, dans tous les domaines et sur l’ensemble des deux territoires.

La volonté politique de « faire ensemble » est toujours aussi forte. La 21e Rencontre alternée des Premiers ministres du Québec et de la France, prévue d’ici la fin de l’année, sera l’occasion de renouveler cet engagement.

 

Le Canadien David Card, notoire pour ses recherches sur le salaire minimum, l’immigration et l’éducation, était loin de s’imaginer qu’il allait être nommé colauréat du prix Nobel d’économie, lundi.

PHOTO BRITTANY HOSEA-SMALL, FOURNIE PAR L’UNIVERSITÉ DE CALIFORNIE À BERKELEY, REUTERS
David Card, professeur à l’Université de Californie à Berkeley et lauréat du Nobel d’économie
 

Alice Girard-Bossé

ALICE GIRARD-BOSSÉ I LA PRESSE

« J’avais pris l’avion pour assister à une cérémonie commémorative pour ma grand-mère qui s’est éteinte et je suis arrivé de l’aéroport il y a 20 minutes. J’espérais en quelque sorte pouvoir dormir », s’est exclamé David Card en riant, lors d’une entrevue téléphonique avec la fondation des prix Nobel, lundi matin.

Au cours de sa carrière, l’économiste né en 1956 a notamment analysé les effets du salaire minimum, de l’immigration et de l’éducation sur le marché du travail.

Récompensé pour ses « contributions empiriques à l’économie du travail », ce professeur à l’Université de Californie à Berkeley reçoit la moitié du prix, doté de 10 millions de couronnes, soit environ 1,4 million de dollars canadiens.

« Je dois l’admettre : je ne pensais pas que j’avais de fortes probabilités [de remporter le prix] », a-t-il affirmé en entrevue.

Mythe du salaire minimum

Très longtemps, la croyance voulait que le fait d’augmenter le salaire minimum entraîne une diminution du nombre des emplois. Les recherches de David Card, publiées au début des années 1990, ont démontré le contraire.

Le 1er avril 1992, le salaire minimum du New Jersey est passé de 4,25 $ à 5,05 $ l’heure. En comparant l’évolution des salaires, de l’emploi et des prix dans les restaurants de cet État à celle des restaurants en Pennsylvanie, où le salaire minimum est resté fixé à 4,25 $ l’heure, David Card et son collègue Alan Krueger ont estimé l’incidence de la hausse du salaire minimum.

Comparativement aux chaînes de restauration rapide de Pennsylvanie, celles du New Jersey ont noté une croissance de l’emploi de 13 %.

Les résultats des recherches de MM. Card et Krueger ont ainsi révélé que l’augmentation du salaire minimum n’entraînait pas nécessairement une diminution du nombre des emplois.

« Ses études du début des années 1990 ont remis en question les idées reçues, ce qui a conduit à de nouvelles analyses et à de nouvelles perspectives », a souligné le jury du Nobel à propos de David Card.

Alan Krueger, mort en 2019, n’a pu recevoir le Nobel avec le professeur David Card, puisque le prix n’est pas décerné à titre posthume.

L’impact de l’immigration

Au cours de sa carrière, David Card s’est également attaqué à un autre mythe en économie, soit que l’arrivée massive d’immigrés ferait automatiquement croître le chômage.

Le professeur s’est concentré sur l’exode de Mariel, faisant référence aux 125 000 Cubains expulsés du pays sous le régime de Fidel Castro, qui se sont retrouvés à Miami, en Floride. Cette arrivée massive d’immigrants a fait augmenter la main-d’œuvre de Miami de 7 %.

Les recherches de M. Card publiées en 1990 ont montré que l’afflux d’immigrants semblait n’avoir eu pratiquement aucun effet sur les salaires ou les taux de chômage.

Je dis souvent à mes étudiants que les régimes politiques insensés ont beaucoup d’inconvénients, mais que l’un de leurs avantages est qu’ils créent de très bonnes conditions pour faire une analyse causale.

David Card, lauréat du Nobel d’économie

Trois lauréats

David Card partage le Nobel d’économie 2021 avec l’Américano-Israélien Joshua Angrist, 61 ans, professeur au Massachusetts Institute of Technology et l’Américano-Néerlandais Guido Imbens, 58 ans, professeur à Stanford.

Avec des « expériences naturelles », le trio « nous a apporté de nouvelles idées sur le marché du travail et montré quelles conclusions peuvent en être tirées » en matière de causes et de conséquences, a indiqué le jury.

Le prix Nobel d’économie, remis depuis 1969, est le seul qui n’était pas prévu dans le testament du fondateur, Alfred Nobel. Parfois qualifié de « faux Nobel », le prix d’économie est le plus masculin, avec 2 lauréates seulement sur ses désormais 89 lauréats.

Il est aussi largement monopolisé par des économistes américains : la dernière fois que les États-Unis n’ont pas eu de lauréat en économie remonte à 1999.

Avec l’Agence France-Presse

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ISABELLE DUBÉ I LA PRESSE I publié le 1er nov
Après avoir été ambassadrice du Canada en France et à Monaco pendant quatre ans, Isabelle Hudon est rentrée au pays au cours de l’été pour devenir la première femme présidente et cheffe de la direction de la Banque de développement du Canada (BDC).

  La Presse a discuté avec elle de ses objectifs de parité et de diversité ainsi que des défis post-pandémie.

Q. Vous êtes en poste depuis août. Apportez-vous un style de gestion différent parce que vous êtes une femme ?

R. Pendant la pandémie, on a vu à la une de différents quotidiens que tel pays dirigé par une femme s’en sortait mieux. J’ai creusé pour savoir si c’était vraiment parce qu’une femme était à la tête du pays. Ce que j’ai trouvé, c’est que les femmes en position de leadership composent des équipes plus diversifiées avec des points de vue différents. Les femmes, par exemple, vont avoir tendance à réfléchir à l’impact d’une décision sur la communauté tandis que les hommes vont penser à l’impact sur les ventes d’une entreprise. L’un n’est pas meilleur que l’autre, mais d’avoir ces différentes perspectives nous amène à prendre des décisions plus éclairées et mieux éclairées. Donc, parce qu’on a une équipe diversifiée de femmes et d’hommes, ça nous amène à faire les choses différemment.

À ce moment-ci de l’histoire, à la sortie de la pandémie, il faut penser et faire les choses autrement. La vie ne reviendra pas comme avant. Et avec la pression que mettent les employés, les clients, les consommateurs, qui en veulent plus et différemment, il faut s’obliger à penser autrement.

Q. Celui qui a cofondé L’effet A avec vous, John Gallagher, a dit que pour voir une réelle progression de parité dans les organisations, les présidents doivent se fixer des objectifs de parité clairs, en mesurer la progression et rendre des comptes. En tant que présidente de la BDC, allez-vous vous fixer des objectifs de parité et de diversité ?

R. L’équipe de direction est presque à parité… depuis mon arrivée, bien sûr ! Et ma première embauche a été une femme, qui a pris la tête des affaires juridiques et est secrétaire corporative. Nous sommes maintenant quatre femmes et cinq hommes.

Je suis de celles qui disent ce qui se mesure se réalise. Ce n’est pas au secteur financier que j’ai besoin de le dire, car on indique nos objectifs pour l’année à venir et les indicateurs de performance sont adaptés aux objectifs de ventes et de rentabilité. Je crois qu’il est aussi important d’avoir des objectifs chiffrés sur la question de la diversité et de la parité. On est à 25,6 % de diversité, on fait un peu mieux que la moyenne du marché des services financiers qui se situe à 24,8 %. Sur la parité, dans les postes de gestion, on fait bien à 40 %, mais on peut faire mieux.

Je veux avoir des objectifs précis, mais je veux être respectueuse de l’équipe et en discuter avec elle avant de les faire savoir.

Q. Que pensez-vous de ceux qui disent à voix basse qu’étant donné qu’il y a moins de femmes en finances et dans certains secteurs, les ressources humaines seront forcées d’engager des femmes moins compétentes pour atteindre des quotas ?

R. Ça m’attriste de mettre en contradiction talent féminin et compétence. Je trouve ça révoltant. Il y a des gens compétents, femmes et hommes, et il y a de l’incompétence chez l’un et chez l’autre. Pour ce qui est du fait qu’il y a moins de femmes en finances, je dirais qu’il y a moins de femmes visibles en finances. Est-ce que ça prend plus de volonté, d’énergie et de détermination pour trouver des candidatures féminines ? Je l’accorde. Une des raisons pour lesquelles j’ai cofondé L’effet A, c’est justement pour dire aux femmes qu’elles ne sont pas moins ambitieuses que les hommes, mais plus timides à afficher et à déployer leurs ambitions.

C’est la première fois dans une organisation qu’il y a de jeunes hommes tout aussi ambitieux de voir leur carrière progresser qui viennent me demander : « Qu’est-ce que tu veux dire par parité ? Comment dois-je comprendre les occasions qui s’offrent à moi comme jeune homme dans l’organisation ? » Je leur réponds que le fait de se donner des objectifs nous oblige à prendre des décisions différemment. Ça ne veut pas dire de mettre à la porte un homme pour embaucher une femme. Ça veut dire que dans la réflexion sur de nouvelles embauches, il faut s’obliger à s’exposer à des candidatures féminines et masculines.

Q. Qu’en est-il des objectifs pour votre clientèle de la BDC ?

R. BDC a choisi, il y a quelques années, de mieux servir la clientèle des femmes entrepreneures, mais on n’en fait pas assez.

Durant l’exercice 2021, BDC a atteint, plus tôt que prévu, l’objectif d’offrir sur trois ans des prêts de 1,4 milliard de dollars à des entreprises détenues majoritairement par des femmes.

Je veux qu’on arrive pour l’année prochaine avec des objectifs encore plus ambitieux en déterminant combien de femmes entrepreneures BDC va aider et combien des milliards investis dans nos entreprises canadiennes vont à des entreprises dirigées par des femmes. C’est très important pour moi.

Q. Les femmes et hommes entrepreneurs auront des défis dans la relance de l’économie. Sur quels enjeux allez-vous vous concentrer ?

R. On devra les appuyer dans la pénurie de main-d’œuvre et le numérique, où les entreprises avaient pris du retard avant la pandémie. Avec le Programme canadien d’adoption du numérique volet 2, annoncé en août pour les PME, BDC fera du prêt et du service-conseil. On doit s’assurer que les entreprises aient à la fois le capital pour investir et sachent comment le faire pour que ça fasse une rapide différence dans leur processus.

Q. Comment voyez-vous le monde post-pandémie et quel rôle la BDC aura-t-elle à y jouer ?

R. Le gouvernement canadien et ceux des autres pays le répètent depuis 12 mois, on veut rebâtir mieux et de façon plus inclusive. BDC doit réfléchir au genre d’impact qu’elle veut avoir sur notre pays. Est-ce que c’est un impact qui se mesure seulement par des résultats financiers ? On est une institution financière, donc on va garder le cap sur les résultats financiers. Mais est-ce qu’on ajoute un impact sur les emplois, sur la question des critères ESG, sur la transition climatique ? Est-ce qu’on veut chiffrer et se donner des objectifs pour le climat ? Parce que les PME doivent être au rendez-vous de cette transition-là, mais on doit les aider.

Je crois que mes quatre années en diplomatie, pendant lesquelles j’ai développé des habiletés de négociatrice plus variées, me seront très utiles.

Si, en affaires, on négocie sur la base de chiffres, en diplomatie, on négocie sur des mots, des idées, des visions et des fois sur la base d’une idéologie. Ce type de négociation et cette pédagogie m’aideront à l’intégration de nouvelles idées qui vont guider nos actions et notre performance.
 

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L'express.ca I Clément Lechat, Journaliste 11 novembre 2021 
Les Français de Toronto n’avaient pas reçu la visite de l’ambassadrice de France au Canada depuis deux ans. Kareen Rispal était de retour dans la Ville-Reine du 8 au 10 novembre.

En poste depuis 4 ans, l’ambassadrice a présidé une cérémonie de remise de décorations à l’Alliance française de Toronto, lundi après-midi. Un événement qui s’est poursuivi avec l’inauguration de la Fête de la Science et de son exposition la preuve par l’image.

L’ambassadrice s’est entretenue avec l-express.ca à l’issue de la cérémonie.

Quelle est l’importance de votre visite à Toronto?

«Toronto est vraiment un endroit que j’aime», confie Kareen Rispal.
À son grand regret, cela faisait deux ans qu’elle ne s’y était pas rendue en raison de la pandémie.
«Je venais très souvent à Toronto parce qu’il y a une communauté francophone, une communauté d’affaires, de nombreuses activités culturelles», explique-t-elle.

Une visite aux airs de retrouvailles donc pour l’ambassadrice, qui en a profité pour ressouder les liens avec les équipes du consulat, très éprouvées par la crise sanitaire.

De plus, elle a rencontré pendant trois jours d’éminents acteurs de la francophonie ontarienne : PDG d’entreprises françaises, représentants de la haute technologie, des secteurs économiques, culturels, associatifs et académiques de Toronto.

Vous vous êtes entretenue avec Doug Ford. Que ressort-il de cette rencontre?
À peine sortie de l’avion, l’ambassadrice a rencontré le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, lundi en début d’après-midi. Prévu depuis longtemps, mais reporté à cause de la pandémie, cet entretien a finalement eu lieu.
«C’était important pour moi de le rencontrer, parce que depuis que je suis au Canada la présence économique française a énormément augmenté. Les entreprises françaises sont dans tous les secteurs qui comptent. Les transports, la santé, l’alimentaire, la transition écologique.»l-express.ca remercie ses partenaires. En devenir.C’est pourquoi l’ambassadrice et le premier ministre se sont accordés sur une rencontre annuelle entre les communautés économiques françaises et ontariennes. L’objectif? Rendre l’Ontario davantage visible auprès des investisseurs français. Car la province anglophone reste parfois dans l’ombre de son voisin québécois.

Quel est votre message pour les entreprises et les investisseurs français à Toronto?
L’ambassadrice va droit au but. «Qu’ils viennent! Parce que ceux qui sont présents réussissent.»
Son message se veut clair et concis. L’Ontario est une province où «il y a tout ce qu’il faut» pour les investisseurs français. C’est de surcroît un territoire idéal pour accéder au marché nord-américain.
«Un investissement français au Canada, c’est une création d’emploi, de valeur, des exportations et des importations dans les deux sens. Il faut qu’on développe ce savoir-faire français», souligne-t-elle.
Des échanges économiques qui, selon elle, ont le potentiel pour rapprocher encore davantage le Canada et la France. Les exportations françaises vers l’Ontario représentent d’ores et déjà 2.8 milliards d’euros chaque année. Et on ne dénombre pas moins de 270 entreprises françaises dans la province.l-express.ca remercie ses partenaires. En devenir.Le ministre de l’Éducation français et son homologue québécois ont signé une tribune commune contre la culture de l’annulation. Craignez-vous que cette tribune abîme les relations entre Paris et Ottawa?

«L’école pour la liberté, contre l’obscurantisme». Publiée dans Le Devoir le 22 octobre, ce manifeste contre la cancel culture et le «wokisme» a suscité le débat de part et d’autre de l’Atlantique.
Ce texte commun est une initiative du ministre français, choqué par une «cérémonie de purification par la flamme» ayant eu lieu en 2019 au Conseil scolaire catholique Providence (London et Windsor). Des livres jeunesse, comme Tintin et Lucky Luke, avaient été brûlés, car accusés d’être irrespectueux à l’égard des autochtones.

Cette prise de position commune est venue rappeler les différences de points de vue entre Paris et Ottawa sur les questions de liberté d’expression et de laïcité.

Suite à l’assassinat du professeur d’histoire Samuel Paty en octobre 2020, Justin Trudeau avait pris ses distances avec la position française, en affirmant lors d’une conférence de presse que «la liberté d’expression n’est pas sans limites» lorsqu’il s’agit d’offenser des minorités.

Kareen Rispal est catégorique: cette tribune n’a aucune raison d’abîmer les liens entre les deux pays. Leurs relations sont «excellentes, historiques, fondées sur des valeurs communes promues à l’international», insiste-t-elle.l-express.ca remercie ses partenaires. En devenir.« Je crois que la France et le Canada sont des partenaires suffisamment solides pour, de temps en temps, dire ce qu’ils ont a dire sur tel ou tel sujet de société. C’est justement par l’échange et le partage que nos liens se développent et que nous sommes des partenaires entre lesquels il est possible d’avoir un dialogue de la vérité, et d’exprimer nos idées», affirme-t-elle.

Comment la diplomatie française gère-t-elle l’équilibre de ses relations entre le Québec et le gouvernement fédéral?

Si cet épisode de la tribune commune rappelle quelque chose, c’est que la France entretient une relation très particulière avec le Québec… Et qu’il lui est difficile de ne pas froisser le fédéral lorsqu’elle s’adresse au provincial. D’où cette impression de devoir par moments jongler entre Québec et Ottawa.
Là encore, l’ambassadrice se veut rassurante. «Je ne pense pas du tout que la France joue l’un contre l’autre, ou que le Québec et Ottawa essayent d’instrumentaliser la France», explique-t-elle.
«Je ne vois pas d’antinomisme. C’est vrai que nous avons une relation directe et privilégiée avec le Québec en raison de l’histoire. Mais moi, je vois le Canada comme un tout. Je pense que les relations que nous avons avec le Québec sont différentes de celles que nous avons avec l’Ontario, avec la Colombie-Britannique, avec les provinces atlantiques.»
Rappelant encore une fois la solidité des liens qui unissent Paris et Ottawa, Kareen Rispal insiste sur l’importance de maintenir ces relations au beau fixe. «Il y a beaucoup de crises dans le monde, donc nous avons besoin de cette grande solidarité entre nos deux pays», conclut-elle.

Écrit parClément LechatJournaliste à l-express.ca,
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Le Monde I Par Hélène Jouan(Montréal, correspondance) I 23 novembre 2021
L’Inuk Mary Simon, gouverneure générale du pays, a prononcé l’allocution de cette cérémonie très protocolaire, marquée par une volonté de réconciliation avec les peuples des Premières Nations.

Deux mois après avoir retrouvé son siège de premier ministre, de nouveau à la tête d’un gouvernement minoritaire après une victoire à l’arraché obtenue le 20 septembre à la suite des élections fédérales anticipées qu’il avait lui-même déclenchées, Justin Trudeau a donné le 23 novembre le coup d’envoi de la reprise des travaux parlementaires en présentant son nouveau discours du Trône.

L’occasion pour lui de réaffirmer que sa « priorité absolue » était d’en finir avec l’épidémie de Covid-19 notamment en élargissant la vaccination aux enfants de 5 à 11 ans. Le gouvernement fait de la sortie de la pandémie la clé de la relance économique, une reprise fragilisée au Canada par une préoccupante pénurie de main-d’œuvre mais aussi par une poussée inflationniste ( + 4,7 % en octobre par rapport à octobre 2020). Un coup porté aux familles des classes moyennes que le premier ministre s’engage à alléger, en multipliant les aides à la construction de nouveaux logements abordables et en généralisant à tout le pays, un système de garderies pour jeunes enfants à 10 dollars (8,90 euros) la journée.

Mais ce discours du Trône a surtout été marqué par la volonté réitérée de faire de la réconciliation avec les peuples des Premières Nations, une réalité. Le caractère le plus novateur de cette cérémonie très protocolaire, a d’ailleurs tenu à la « qualité » de l’oratrice de ce discours traditionnellement lu par le représentant de la reine d’Angleterre, chef d’Etat du Canada : pour la première fois de l’histoire du pays, c’est une autochtone, Mary Simon, une Inuk de Kuujjuaq situé dans le nord-est du Québec, nommée gouverneure générale en le 6 juillet qui l’a prononcé. Les Canadiens français du Québec avaient vivement attaqué Mary Simon lors de sa nomination pour son unilinguisme anglophone : la gouverneure générale a lu le texte du premier ministre en alternant trois langues, l’anglais, le français (avec une prononciation encore très hésitante) et l’inuktitut.

« Nous avançons sur la voie de la réconciliation »

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Pénurie de main-d'œuvre au Canada, même les pères Noël manquent à l'appel

afp, 

Pénurie de main-d'œuvre au Canada, même les pères Noël manquent à l'appel
Une affiche sur la boulangerie Le Toledon à Montréal le 11 novembre 2021AFP

Des urgences partiellement fermées, des restaurants qui n'ouvrent plus le midi et des centres commerciaux sans père Noël: au Canada, de nombreux secteurs sont confrontés à une pénurie de main-d'œuvre sans précédent, qui handicape la reprise post-Covid.

A quelques semaines des fêtes de fin d'année, Jeff Gilroy, de l'agence Just Be Claus, s'arrache les cheveux: il a recruté seulement 24 pères Noël quand il lui en faudrait dix fois plus. "J'ai dû dire non à 200 événements, et je continue d'en refuser tous les jours", regrette-t-il.

De son côté, Eric Igari a tout tenté: faire appel à des amis et même à des clients réguliers pour combler les trous dans le tableau de service de son restaurant mexicain, Corazon de Maiz, à Ottawa. Sur sa devanture, comme devant beaucoup de commerces dans la capitale canadienne ou à Montréal, une affiche vante: "ici on embauche".

"C'est très difficile", explique le restaurateur à l'AFP, pendant que sa femme lave des tomates en cuisine. Tous deux ont les traits tirés.

Pénurie de main-d'œuvre au Canada, même les pères Noël manquent à l'appel

Romain Beiso, propriétaire du café Chez Mere-Grand à Montréal, le 10 novembre 2021 / AFP

Cet été, la levée des restrictions liées à la pandémie dans les restaurants a entraîné le retour des clients. Mais, avec deux employés toujours manquants, le couple n'est pas en mesure de répondre à la demande. Il y a peu, un cuisinier tout juste recruté a travaillé trois heures avant de démissionner, estimant que le travail était trop difficile et le salaire insuffisant.

"Maintenant, nous sommes contraints de fermer plus tôt parce que ma femme et moi sommes épuisés", déplore M. Igari.

- "Catastrophe" -

Au total, le Canada recensait en août 871.600 postes vacants, dont 156.800 dans la restauration et 121.300 dans la santé, soit près de deux fois plus qu'en 2019, selon les chiffres de Statistiques Canada publiés en octobre.

Globalement, 55% des entrepreneurs affirment avoir des difficultés à recruter, ce qui les oblige à travailler de plus longues heures et à reporter ou à refuser des commandes, d'après une étude de la banque des entrepreneurs canadiens. Et plus du quart d'entre eux peinent à retenir leur personnel.

Les industries les plus touchées sont la santé, l'alimentation, les entreprises manufacturières et la construction, notamment en Ontario, au Québec et en Colombie-Britannique

Pénurie de main-d'œuvre au Canada, même les pères Noël manquent à l'appel

Une affiche sur la porte du restaurant La Panthere Verte à Montréal le 11 novembre 2021 / AFP

Au Québec, les grandes fédérations patronales ont lancé la semaine dernière un cri d'alarme: parlant de "crise sans précédent" et de "catastrophe économique", elles ont appelé le gouvernement à ouvrir davantage les vannes de l'immigration.

Plusieurs facteurs expliquent la situation, dont le vieillissement de la population et la baisse récente de l'immigration en raison des restrictions de voyage liées à la pandémie, levées en septembre seulement, explique Travis Stratton, économiste chez Deloitte Canada.

Dans la restauration, comme ailleurs dans le monde, de nombreux employés ont opté pour une reconversion et sont "maintenant à la recherche de plus de stabilité", ajoute-t-il.

Les tensions dans le secteur médical sont particulièrement problématiques. Dans le sud-ouest de Montréal, l'hôpital de Lachine a récemment fermé son service d'urgence après 19h30 en raison d'un "manque critique d'infirmières", explique à l'AFP une de ses porte-parole, Gilda Salomone.

Cette pénurie de main-d'oeuvre a poussé les provinces du Québec et de l'Ontario à renoncer à imposer aux soignants la vaccination contre le Covid.

- Seuls des ados postulent -

Pénurie de main-d'œuvre au Canada, même les pères Noël manquent à l'appel

Benoit Pretet, directeur de l'hôtel Place d'Armes à Montréal, pose le 11 novembre 2021 / AFP

Dans certains secteurs, les salaires s'envolent pour attirer les candidats mais ce n'est "pas une option pour de nombreuses petites entreprises qui peinent encore à récupérer les pertes attribuables à la pandémie", estime Jasmin Guénette de la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI).

En moyenne, une PME au Canada a accumulé 170.000 dollars canadiens (119.000 euros) de dettes au cours de la pandémie, selon un sondage de cette fédération. Et environ 180.000 entreprises, soit une sur six, risquent de mettre la clé sous la porte.

"On n'est pas compétitif car on ne peut pas se le permettre", reconnaît Romain Beiso, patron du café Mère-Grand, dans le centre-ville de Montréal.

En 21 semaines, il a reçu à peine cinq candidatures, dont celles de trois adolescents, pour des postes de barista et de cuisinier. "Là, ça fait un moment que je n'en ai plus", déplore-t-il, évoquant "un "désastre".

Pour son établissement quatre étoiles, Benoit Pretet, directeur de l'hôtel Place d'Armes dans la métropole québécoise, recherche environ 25 employés à tous les postes, de la réception à l'entretien des chambres, en passant par les cuisines.

"On a du mal à ouvrir l'hôtel à 100% lorsque la clientèle est là", déplore M. Pretet, se disant "préoccupé par la saison des fêtes" et le printemps 2022.

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Ubisoft I Communiqué 15 11 2021
Cette ouverture réaffirme l’engagement d’Ubisoft de se positionner comme un acteur économique de premier plan, au service des talents, des communautés et des écosystèmes de la province.

C’est en présence de M. Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional et de Mme Évelyne Beaudin, mairesse de Sherbrooke que M. Yves Guillemot, cofondateur et président-directeur général du groupe Ubisoft et Mme Nathalie Jasmin, directrice du studio Ubisoft Sherbrooke, ont fait cette annonce, qui marque une nouvelle étape dans le développement d’Ubisoft au Québec, presque 25 ans après les premiers pas du Groupe dans la province.

Ce quatrième studio, implanté au cœur de la ville de Sherbrooke et de l’Estrie, pépinière de talents et d’expertise de pointe dans un écosystème numérique en pleine effervescence, renforcera encore davantage le leadership international du Québec dans le secteur du jeu vidéo.

Ubisoft a aussi annoncé un programme d’investissements ciblés de 17 M$ dans trois piliers essentiels, Ubisoft ÉducationUbisoft Entrepreneur.es et La Forge, au service de la formation des jeunes, de l’entrepreneuriat et de l’innovation. Un accélérateur, assorti d’un programme d’investissements et d’accompagnement en soutien aux entreprises indépendantes du secteur du jeu vidéo, sera notamment mis en place dès 2022.

Porté par un plan de développement ambitieux avec de nouveaux investissements prévus de près de 950 millions de dollars d’ici 2030, Ubisoft souhaite ainsi poursuivre sa croissance, attirer les talents de partout dans le monde et continuer d’investir dans la relève d’ici.

« Nous sommes fiers qu’Ubisoft ait choisi d’investir au Québec pour assurer sa croissance. De nombreuses jeunes entreprises d’ici pourront bénéficier de l’expertise reconnue de ce leader mondial et profiter de ses réseaux. C’est tout l’écosystème lié au secteur du jeu vidéo qui en ressortira gagnant », a soutenu Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional.

« La Ville de Sherbrooke est emballée par l’implantation du nouveau studio d’Ubisoft à Sherbrooke, un dossier d’attraction travaillé sur plusieurs années par l’équipe de Sherbrooke Innopole, en collaboration avec le Bureau de coordination du développement économique. La concrétisation du projet démontre que notre ville à taille humaine se positionne avec force auprès des grands joueurs en recherche de main-d’œuvre qualifiée, elle-même attirée par une qualité de vie exceptionnelle », mentionne Évelyne Beaudin, mairesse de Sherbrooke.

« Ces annonces marquent une nouvelle étape dans le développement d’Ubisoft au Québec, presque 25 ans après les premiers pas de notre Groupe dans la province. Grâce au soutien du gouvernement, le Québec s’est imposé comme un leader dans la création et la production de jeu vidéo à l’échelle mondiale, à la pointe des révolutions technologiques qui façonnent l’avenir de notre industrie. Sur l’ensemble de nos 20 000 employé.es, près de 5 000 travaillent aujourd’hui à Montréal, Québec, Piedmont et Saguenay. Avec le studio de Sherbrooke, Ubisoft poursuit sa mission d’être non seulement un moteur économique important pour l’ensemble des régions du Québec, mais également de continuer à investir dans les talents et les écosystèmes qui les entourent », a déclaré Yves Guillemot, cofondateur et président-directeur général d’Ubisoft.

« Après le développement réussi du studio Ubisoft de Saguenay, inauguré en 2018, et son impact positif sur la région et sur la ville de Chicoutimi, nous avons la certitude que ce quatrième studio de jeu vidéo, à Sherbrooke, créera un impact significatif et renforcera le rôle prédominant de l’Estrie dans le secteur. Ce pôle technologique régional est devenu, avec les années, une véritable pépinière de talents dans plusieurs domaines d’expertise de pointe. En ouvrant ce studio, nous souhaitons offrir de nouvelles options pour nos employé.es actuel.les, proposer aux talents locaux de nouvelles opportunités et nous impliquer activement dans les initiatives et les communautés locales », a ajouté Nathalie Jasmin, directrice du studio Ubisoft Sherbrooke.

Nathalie Jasmin

Directrice du studio Ubisoft Sherbrooke

Crédit photo: Fany Ducharme

Ubisoft Sherbrooke codéveloppera certaines des principales franchises du Groupe, et contribuera au développement des plus récentes innovations dans le domaine du divertissement et de la technologie. Le studio réunira une équipe multidisciplinaire et diversifiée composée de professionnels issus de plusieurs domaines d’expertise, notamment la gestion de production, la programmation, le design graphique, la modélisation, l’animation et la conception de niveaux de jeux.

 
 

 Actualités et communiqués de presse 
30 nov 2021 
Alstom signe un contrat avec Metrolinx pour la révision de 94 voitures de train de banlieue à deux niveaux en Ontario, au Canada

  • Ce contrat d'environ 118 millions d’euros (171 millions CAD) s’appliquera à Thunder Bay, en Ontario (Canada).

  • Alstom est un partenaire privilégié pour les projets de modernisation visant à augmenter la durée de vie du matériel roulant.

30 novembre 2021 – Alstom a signé un contrat avec Metrolinx pour la révision de 94 voitures de train de banlieue à deux niveaux pour GO Transit, le service de transport public régional du Grand Toronto et de Hamilton (GTHA) en Ontario, au Canada. Le contrat s’élève à environ 118 millions d’euros (171 millions CAD). Les travaux de rénovation des voitures à deux étages des séries VII, fabriquées entre 2003 et 2008, commenceront rapidement dans les installations d’Alstom à Thunder Bay, en Ontario (Canada). La révision et mise à niveau à mi-vie des voitures seront effectuées sur une période de deux ans et nécessiteront de démonter les véhicules, de réviser les pièces et de produire des voitures entièrement rénovées pour le parc de GO Transit.

« Nous sommes ravis d’avoir la chance de poursuivre notre partenariat avec GO Transit qui dure depuis 45 ans avec la révision de ces voitures à deux étages et nous remercions Metrolinx de nous renouveler leur confiance et de reconnaître l’expertise industrielle unique de notre équipe de Thunder Bay, a déclaré Michael Keroullé, le président d’Alstom Amériques. Nous avons hâte de continuer à servir les voyageurs de la région du Grand Toronto et de Hamilton. »

Les mises à jour de l'intérieur comprendront l'installation de nouvelles prises de courant avec des ports USB, des mises à jour esthétiques des panneaux et du plancher, le remplacement complet des sièges passagers, la modernisation des toilettes et l'éclairage LED éprouvé. De plus, le prolongement de la durée de vie de ces voitures permettra à Metrolinx de disposer du parc ferroviaire nécessaire pour soutenir les améliorations de service, notamment dans le cadre du programme GO Expansion, dans le but d'offrir un service plus rapide et plus pratique à la région.
 

Michael Keroullé, President, Americas Region 

Michael Keroullé ,Président d’Alstom Amériques

« Nous sommes ravis d’avoir la chance de poursuivre notre partenariat avec GO Transit qui dure depuis 45 ans avec la révision de ces voitures à deux étages et nous remercions Metrolinx de nous renouveler leur confiance et de reconnaître l’expertise industrielle unique de notre équipe de Thunder Bay. »

Les voitures du parc vert et blanc reconnaissable de GO Transit sont fabriquées dans les installations de plus de 45 000 mètres carrés d’Alstom à Thunder Bay depuis plus de 45 ans, et l’équipe sur place vient de terminer cet été la dernière commande de Metrolinx pour 36 voitures de voyageurs accessibles et à deux niveaux. Alstom entretient les voitures et locomotives du parc de GO Transit (plus de 1 000 pièces de matériel roulant) depuis plus de 20 ans et opère le réseau de trains de banlieue de GO Transit depuis plus de 10 ans (environ 400 trajets et 700+ kilomètres parcourus par jour).

Avec cette longue expérience en tant qu’intégrateur du système, concepteur et fabricant du matériel roulant, Alstom est un partenaire privilégié pour les projets de modernisation visant à augmenter la durée de vie du matériel roulant. L’entreprise a travaillé sur plusieurs projets de modification et de révision en Amérique du Nord, pour des clients comme la Port Authority Transit Corporation (PATCO), la Los Angeles County Metropolitan Transportation Authority (LA Metro), le département des Transports de Californie (Caltrans), la Massachusetts Bay Transportation Authority (MBTA, 2 parcs), le Canadian Rocky Mountaineer (voitures SilverLeaf) et la Maryland Transit Authority (MTA, véhicules légers).

Alstom est présent au Canada depuis 80 ans et constitue un partenaire de long terme et impliqué dans le développement des transports publics du pays. Depuis la livraison de ses premières voitures de métro à la ville de Montréal en 1966, Alstom a continué à concevoir et fabriquer des trains au Canada pour des villes comme Edmonton, Ottawa, Vancouver et la région du Grand Toronto et de Hamilton. L’entreprise conçoit et livre également des solutions de signalisation et des centres de contrôle intégrés pour les corridors et centres ferroviaires les plus fréquentés au Canada, notamment pour le corridor de Metrolinx et de la gare Union Station, la Société de transport de Montréal (STM) et la Commission de transport de Toronto (TTC). Alstom livre actuellement un système clé en main de métro léger automatique et sans conducteur pour le Réseau express métropolitain (REM), incluant le matériel roulant, la signalisation, les portes écrans et les équipements en dépôt, qui prévoit 30 années de fonctionnement et de maintenance. Plus récemment, Alstom a annoncé qu’il fabriquera au Canada 60 nouveaux tramways Flexity pour la TTC.

Alstom au Canada

 

Voyage au Canada et Covid-19 : test, vaccin, formulaire... Ce qui attend les touristes cet hiver
Par Jean-Marc De Jaeger I Publié le 7dec I Le Figaro

Patin à glace sur le canal Rideau, à Ottawa (photo d'archives). vlad_g

Le pays accueille les touristes étrangers vaccinés depuis le 7 septembre. Mais renforce déjà les restrictions à l'arrivée, en raison du variant Omicron.

SOMMAIRE

Le Canada est toujours ouvert aux touristes, mais à de nouvelles conditions. Le pays, qui a fermé ses frontières aux visiteurs le 18 mars 2020 et les a rouvertes le 7 septembre 2021, vient de durcir le ton en matière de conditions d'arrivée. Les touristes doivent toujours disposer d'un schéma vaccinal complet depuis plus de 14 jours et d'un test PCR de moins de 72 heures. Mais en raison de la progression du variant Omicron, chaque voyageur doit désormais se soumettre à un test et une quarantaine à l'arrivée sur le territoire canadien.

Arrivée au Canada : quelles conditions pour les touristes français ?

Comme tous les étrangers, les Français doivent avoir un schéma vaccinal complet depuis au moins 14 jours et disposer d'un résultat négatif à un test PCR réalisé au moins 72 heures avant l'heure de départ du vol. Le site du gouvernement canadien rappelle que «si vous n'avez reçu qu'une seule dose d'un vaccin accepté [Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen, NDLR], vous ne pouvez pas bénéficier de l'exemption pour voyageurs entièrement vaccinés, sauf si vous avez reçu une seule dose du vaccin Janssen (Johnson & Johnson)». À cela s'ajoute un test PCR obligatoire à l'arrivée sur le territoire canadien, assorti d'une quarantaine dans l'attente du résultat de celui-ci. De plus, les ressortissants étrangers qui seraient arrivés au Canada avant la mise en œuvre de l'obligation vaccinale ont jusqu'au 30 novembre pour se faire vacciner. Dans le cas contraire, ils se verront interdire de prendre les transports pour quitter le pays.

À LIRE AUSSI Que voir et que faire au Québec ? Nos dix incontournables

Concrètement, les voyageurs doivent soumettre leurs documents, y compris leur preuve numérique de vaccination en anglais ou en français, en utilisant ArriveCAN (application mobile ou site Web) dans les 72 heures précédant leur arrivée au Canada et avant d’embarquer dans leur vol. Les enfants non vaccinés de moins de 12 ans sont acceptés sur le territoire, à condition qu'ils effectuent un test PCR 72 heures avant leur voyage, à leur arrivée sur le territoire et au 8ème jour de leur séjour. Le pays n'est donc plus accessible aux voyageurs non vaccinés.

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Rennes et le Québec, une relation de longue date.

Publication le  06/12/2021 I Destination Rennes Business Services

Une nouvelle vague d’entreprises bretonnes se lancent au Québec pour faire leur entrée sur le marché nord-américain, s’appuyant sur les relations solides qui existent entre Rennes et le Québec.

Rennes entretient des relations de longue date avec le Québec, la province canadienne tenant une place particulière dans les relations internationales de la capitale bretonne. En témoigne la récente visite à Rennes de la déléguée générale du Québec en France, Michèle Boisvert, ou encore la poursuite de trois projets publics bilatéraux dans les domaines de la santé connectée, de la pédagogie numérique et de la mobilité propre.

Les relations bilatérales sont maintenues au quotidien à travers la présence d’un représentant de Rennes à Québec pour assurer la continuité de la relation, l’animation des réseaux Rennes – Québec et l’accompagnement des entreprises des deux côtés de l’Atlantique. Peu de villes françaises disposent d’une telle représentation permanente dans une région partenaire.

Ces dernières années, les relations avec le Québec sont de plus en plus orientées vers l’économie, permettant ainsi aux entreprises rennaises de se lancer sur le marché nord-américain en étant basées au Québec. Avec comme partenaire principal dans l’accompagnement des entreprises, Québec International.

Le Québec comme porte d’entrée en Amérique du Nord

Les réussites d’entreprises rennaises et bretonnes ne manquent pas au Québec : Ubisoft, Le Duff ou Roullier sont toutes passées par la belle province et y sont restées en grandissant. Le groupe Le Duff a même commencé au Québec avant de se développer en France.

Ubisoft, dont les origines sont bretonnes et qui conserve un siège à Rennes, est devenu au fil des années un joueur majeur dans l’économie au Québec et l’un des plus grands studios de jeux vidéo au monde en s’implantant à Montréal en 1997 puis à Québec et dans le Saguenay. Cette année, un nouveau studio ouvre à Sherbrooke.

Plus récemment, des startups se sont lancés à la conquête du Canada francophone afin de faire leurs premiers pas sur le continent américain. La capacité d’adaptation au Québec est une clé dans la réussite ! Il est toutefois nécessaire de bien garder en tête que si l’on fait des affaires en français, la culture nord-américaine n’est pas la même qu’en Europe.

Les entreprises « de chez nous » à la conquête du Québec

Startups ou entreprises bien établies, des Rennaises ont choisi le Québec comme base de lancement pour conquérir l’Amérique du Nord. Et le territoire compte déjà quelques belles réussites.

L’entreprise Edcom est une histoire familiale qui a commencé à Rennes il y a 15 ans en se spécialisant dans les comparateurs d’offres de mobiles, box Internet, smartphones. Après plusieurs défis, l’entreprise connaît un vrai succès en France et c’est désormais le Québec qui est dans la ligne de mire avec la présence d’un dirigeant sur place ainsi que le recrutement d’une volontaire internationale en entreprise (VIE) depuis mai 2021 à Montréal.

 

Simon Ferey, Chargé de développement de Rennes & Saint-Malo avec le Québec , entouré des représentants de l’entreprise Edcom.

Le cabinet d’avocats rennais Strateys est présent à Montréal depuis 2018 suite à l’acquisition du cabinet d’avocat BDG sous l’impulsion de l’un des associés fondateurs, Frédéric Burot. Il emploie déjà dix collaborateurs. Cette double implantation permet à Strateys de favoriser le développement et l’implantation de ses clients en Amérique du Nord et principalement au Québec avec des expertises des deux côtés de l’Atlantique dans les domaines corporatif, contractuel, fiscal et en immigration.

L’entreprise Famileo, accompagnée par le Poool (qui représente le label French Tech à Rennes) et spécialisée dans le maintien de liens intergénérationnels, est un service en ligne permettant aux personnes âgées de recevoir des nouvelles de leurs proches sous forme de gazettes et de nouvelles, livrées dans les maisons de retraite ou à domicile. Elle est actuellement en plein déploiement vers le Québec. Un déplacement à l’automne a permis d’officialiser le partenariat avec le groupe Maurice, gestionnaire de résidences pour aînés partout au Québec, le tout aux côtés de son distributeur québécois Eugeria.

L’équipe de Famileo

 

FerMetAlu, évoluant dans le secteur de la construction et installée sur la métropole rennaise, a su tisser des liens forts avec le Québec. D’une part, la compagnie s’est associée à l’entreprise québécoise Upbrella pour construire ensemble une tour durable à Monaco sans usage de grues. D’autre part, son programme Attractive Métal favorise la mobilité francophone, notamment au Québec, pour ses employés.

La dynamique vers le Québec semble donc avoir de beaux jours devant elle !


Pour toute question ou projet en lien avec Québec : Simon Ferey – Chargé de développement de Rennes & Saint-Malo avec le Québec (sferey@quebecinternational.ca).

(Photo de Une : Palais des Congrès de Montréal, ©iStock – Rixipix)

DESTINATION RENNES Article

Par : Finance et Investissement 14 décembre 2021
L’entreprise québécoise table sur une croissance de 40 % à l’international au cours des deux prochaines années. 

Deux petits personnages avec une cravate et un attaché-case se serrant la main. Ils sont entourée de petites colonnes vertes de plus en plus hautes.

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Desjardins Capital et Siparex deviennent actionnaires minoritaires de Proaction International par l’intermédiaire du Fonds Transatlantique, qu’ils gèrent conjointement. Cet investissement permettra d’assurer les projets de croissance de l’entreprise en Amérique du Nord et en Europe.

Spécialisée dans les services-conseils en gestion de la performance, Proaction International est active dans une quinzaine de pays. Fondée en 2004 par Denis Lefebvre, président et chef de la direction, elle compte parmi ses clients des entreprises manufacturières et de services telles que Bombardier, Bonduelle, Intermarché-Mousquetaire, ISS, Airbus, Savencia, ABB, Textron, DHL, Panasonic, Cargill et Smurfit.

Les membres de l’équipe sont basés au Québec, en France, en Angleterre, en Belgique et aux États-Unis.

Pénurie de main-d’oeuvre

Proaction International entend profiter des enjeux de main-d’œuvre accentués par la pandémie ainsi que de l’urgence du virage technologique pour plusieurs entreprises afin de développer ses activités.

Sa stratégie repose sur la combinaison de son expertise conseil et de la plateforme technologique UTrakk qu’elle a développée en 2015 et améliorée en 2019.

Cette application regroupe plusieurs outils de gestion utiles pour accroître l’efficacité des gestionnaires et les aider à développer leurs ressources : supervision active, capture d’écarts de performance, priorisation des actions et opportunités, suivi de projets, plan de coaching, etc.
 

Numériser le rôle du gestionnaire

« Le positionnement de Proaction International se situe exactement dans la typologie des belles PME du Québec ou de France que le Fonds Transatlantique, géré par Desjardins Capital et Siparex, souhaite accompagner », a souligné Bertrand Rambaud, président du Groupe Siparex, spécialiste français indépendant du capital-investissement qui affiche des capitaux sous gestion de l’ordre de 4 milliards de dollars (G$).

Implantée en France depuis 2009, la plateforme technologique développée par Proaction International y génère actuellement plus de 40 % des revenus de la compagnie en plus d’être utilisée aux États-Unis, au Mexique et en Asie.

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Adhérer et devenir partenaire (en option) :

  • Premier niveau : Adhésion
    En fonction de la taille de l’entreprise :

    Provinces et grande entreprise (
    ≥250 employés)         1500 €  
    Société 50≤ Société ≤250 employés CA≤43 millions     1000 €  
    PME 10≤ PME ≤50 employés CA≤10 millions                    625 €    
    TPE, Start UP et travailleurs indépendants                      250 €
    Etudiants                                                                                   50 €   
  • Deuxième niveau (en option) :  PARTENARIAT, 3 possibilités
    OR           1500 €
    ARGENT 1000 
    BRONZE   500 €

 

Etre partenaire pourquoi ?  devenir plus visible et actif au sein de la Chambre de commerce France-Canada ! 

Le PARTENARIAT vise à offrir une contrepartie valorisante et proportionnelle au statut accordé

PARTENAIRE OR : 1500 HT

  • Préemption pour toute commandite à tout événement de la CCFC
  • Déjeuner VIP : deux invitations exclusives en lien avec l’ambassade du Canada
  • Invitation exclusive à l’occasion de tout événement VIP organisé par la CCFC
  • Prise de parole lors d’un événement de la CCFC  (à l’occasion d’une activité en présentiel ou d’un webinaire) 
  • Newsletter : message de l’entreprise au réseau de la Chambre de Commerce France-Canada
  • Podcast fourni par l'entreprise et diffusé sur le site (ccfc-france-canada.com) pendant 1 mois et sur les réseaux sociaux
  • Logo de votre entreprise à l’invitation de chaque événement de la Chambre
  • Représentants de l’entreprise : 5

Je choisis le partenariat OR

 

PARTENAIRE ARGENT : 1000 HT

  • Une invitation exclusive pour un déjeuner VIP en lien avec l'Ambassade du Canada
  • Newsletter : message de l’entreprise au réseau de la Chambre de Commerce France-Canada
  • Podcast fourni par l'entreprise et diffusé sur le site (ccfc-france-canada.com) pendant 1 mois et sur les réseaux sociaux
  • Invitation exclusive à l’occasion de tout événement VIP organisé par la CCFC
  • Logo de votre entreprise à l’invitation de chaque événement de la Chambre
  • Représentants de l’entreprise : 4

 Je choisis le partenariat ARGENT
 

PARTENAIRE BRONZE :  500 HT

  • Mise en relation ciblée sur demande avec d’autres Partenaires de la Chambre (OR et Argent)
  • Newsletter : message de l’entreprise au réseau de la Chambre de Commerce France-Canada
  • Invitation exclusive à l’occasion de tout événement VIP organisé par la CCFC
  • Représentants de l’entreprise : 3

     Je choisis le partenariat BRONZE

 

La banque de la rue d’Antin reste toutefois active outre-Atlantique via son activité Corporate & Institutional Banking.

Publié le 3 janv. 2022 à 10:11

BNP Paribas tire profit de la consolidation en cours sur le marché américain. Alors que l'espagnol BBVA s’est séparé de ses activités américaines au profit de PNC pour 11,5 Md$ en juin dernier, la banque tricolore a annoncé le 20 décembre un accord avec le Canadien BMO pour céder ses activités de banque commerciale. Elle vend ainsi l’intégralité des titres de sa filiale Bank of the West pour 16,3 Md$, soit environ 14,4 Md€ payés cash, de quoi générer une plus-value exceptionnelle nette d'impôts estimée à près de 2,9 Md€. L’opération valorise cette entité 1,72 fois la valeur de son actif net tangible, ce qui correspond par ailleurs à 20,5 % de la capitalisation boursière de BNP Paribas.

Le produit de cette transaction, qui doit se finaliser d’ici fin 2022, profitera d’abord aux actionnaires. Le groupe a ainsi annoncé « une distribution extraordinaire sous forme de rachat d'actions » dont l’ampleur n’est pas encore déterminée. L’enveloppe servira également à appuyer différents projets de développement en Europe et la poursuite de la digitalisation des activités. « Des acquisitions ciblées dans des activités à valeur ajoutée » sont aussi envisagées, précise le communiqué.

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Par Bercy Infos, le 04/01/2022 - Aides publiques et financements Fiscalité

Baisse de l’impôt sur les sociétés,
Prolongation du prêt garanti par l'État....

Poursuite de la baisse de l’impôt sur les sociétés, prolongation du prêt garanti par l'État, doublement du crédit d'impôt pour la formation des dirigeants d'entreprise...Comme chaque année au 1er janvier, de nombreux changements s'opèrent dans le champ des règles applicables aux entreprises. Quelles sont les principales nouveautés pour 2022 ?

Baisse de l’impôt sur les sociétés

En 2022, la dernière étape de la réforme engagée en 2018 sur l'impôt sur les société entre en vigueur.

En 2022, le taux normal de l’IS sera abaissé à 25 % pour l’ensemble des entreprises. Notez que sous certaines conditions, les PME peuvent bénéficier d'un taux de 15 %.

En savoir plus sur l’impôt sur les sociétés (IS)

Prolongation du prêt garanti par l'État

Pour faire face au choc économique lié à la crise du coronavirus, le Gouvernement a mis en oeuvre, notamment, ce dispositif exceptionnel de garanties permettant de soutenir le financement bancaire des entreprises.

Devant prendre fin au 31 décembre 2021, le prêt garanti par l'État est prolongé jusqu'au 30 juin 2022. Les régimes concernés par cette prolongation seront annoncés prochainement par le Gouvernement.

En savoir plus sur le prêt garanti par l'Etat

Par ailleurs, une grande partie des aides mises en oeuvre par le Gouvernement pour soutenir les entreprises face aux difficultés générées par crise sanitaire, restent d'actualité.

Entreprises : quelles aides pour accompagner votre sortie de crise ?

Allongement des délais d’option pour le choix de régime d’imposition des micro-entreprises

Actuellement, si une entreprise soumise au régime micro-BIC souhaite opter pour le régime réel d’imposition (réel simplifié ou réel normal), il est nécessaire de déposer une demande avant le 1er février de l'année « n »,  pour une application au titre de cette même année.

La loi de Finances pour 2022 permet d’augmenter la durée de ce délai d’option. À compter du 1er janvier 2022, il est possible d'opter pour un régime réel jusqu’à la date limite de dépôt de la déclaration d’ensemble des revenus. En pratique, il s’agira du mois de mai ou de juin de l’année suivante.

En savoir plus sur cette mesure sur le site lecoindesentrepreneurs.fr

Crédit d’impôt formation des dirigeants : doublement du montant

Vous êtes chef d’entreprise et vous souhaitez acquérir de nouvelles compétences ? Vous pouvez bénéficier d'un avantage fiscal prenant la forme d’un crédit d’impôt sur vos dépenses de formation.

La loi de Finances pour 2022 prévoit de doubler le montant de ce crédit d’impôt pour les dirigeants des microentreprises au sens de la législation européenne, c'est à dire les microentreprises :

  • dont l'effectif salarié est inférieur à 10
  • et dont le chiffre d'affaires ou le total de bilan est inférieur à 2 millions d'euros.

En savoir plus sur ce crédit d'impôt

Transmission d’entreprise individuelle : augmentation des plafonds d’exonération

Actuellement, lorsqu'un entrepreneur cède son fonds de commerce et réalise une plus-value, il peut bénéficier d’un abattement fiscal. Si la valeur du fonds est inférieure à 300 000 €, l'exonération d’impôt sur le revenu est totale. Entre 300 000 € et 500 000 €, l’exonération est partielle.

L'article 19 de la loi de finances pour 2022 modifie ces deux plafonds pour les porter respectivement à 500 000 € et 1 000 000 €.

En savoir plus (article 19 de la loi de Finances)

Produits en plastique : de nouvelles interdictions en vigueur

À partir du 1er janvier 2022, il ne sera plus possible de vendre les fruits et légumes frais non transformés emballés dans du plastique (notez cependant qu'afin de permettre l'écoulement des stocks d'emballages, les fruits et légumes produits ou importés avant le 1er janvier 2022 bénéficieront d'un délai de tolérance de 6 mois pour être écoulés).

Au total, c’est une trentaine de fruits et légumes frais non transformés qui devront être vendus sans emballage plastique.

  • Seront concernés pour les légumes : poireaux, courgettes, aubergines, poivrons, concombres, pommes de terre et carotte, oignons et navets, choux, choux fleurs, courges, panais, radis, topinambours, légumes racines.
  • Seront concernés pour les fruits : pommes, poires, oranges, clémentines, kiwis, mandarines, citrons, pamplemousses, prunes, melons, ananas, mangues, fruits de la passion, tomates rondes, etc.

À savoir

Pour les produits présentant un risque important de détérioration lors de leur vente en vrac, l'application de l'interdiction sera progressive. Par exemple, les pêches et abricots, les fruits mûrs à point, les graines germées, les fruits rouges, ou encore les légumes « primeurs », c’est-à-dire récoltés au printemps, avant leur pleine maturité, bénéficieront d'un calendrier permettant de trouver et de déployer des solutions alternatives d’ici au 30 juin 2026.

Pour connaitre le détail de ce calendrier, vous pouvez consulter le Décret n° 2021-1318 du 8 octobre 2021 relatif à l'obligation de présentation à la vente des fruits et légumes frais non transformés sans conditionnement composé pour tout ou partie de matière plastique.

Par ailleurs, les acteurs de la filière peuvent se rapprocher de l’Ademe afin de bénéficier de soutiens dans le déploiement de ces solutions alternatives.

 Pour en savoir plus sur l'interdiction des matières plastique

Versement mobilité, des changements au 1er janvier 2022

Le versement mobilité est une contribution locale des employeurs, recouvrée par l’Urssaf afin de financer les transports en commun dans les régions, les départements et les communes.

Des changements entrent en vigueur au 1er janvier 2022. Par exemple, le taux de versement mobilité évolue sur le territoire de plus d’une vingtaine d’Autorités organisatrices de mobilité (AOM).

Pour tout savoir des changements du versement mobilité en 2022, reportez vous à la circulaire de l'Urssaf via le lien ci-dessous.

Accédez à la circulaire de l'Urssaf

Prolongation de Cap Francexport, le dispositif de soutien à l’accès des entreprises à l’assurance-crédit

Cap Francexport est un dispositif public de soutien devant permettre aux PME et entreprises de taille intermédiaires (ETI) d'accéder plus facilement à l’assurance-crédit de court terme. Concrètement, grâce à cette aide, les exportateurs français peuvent ainsi recevoir des compléments de couverture à court-terme, de la part d’assureurs-crédits privés, pour couvrir le risque de non-paiement du débiteur étranger, pour des faits politiques et/ou commerciaux.

Prévu au départ pour s'arrêter au 31 décembre 2021, ce dispositif est finalement prolongé au-delà du 1er janvier 2022, et jusqu’au 31 mars 2022 au moins.

Pour en savoir plus sur la prolongation de Cap France Export

Annonces légales : les tarifs évoluent en 2022

Vous êtes en train de créer votre entreprise ? Dans le cadre de vos démarches, vous devez sans doute publier une annonce légale !

Sachez qu'un arrêté du 19 novembre 2021 fait évoluer, à compter du 1er janvier 2022, les modalités de tarification des annonces légales (les annonces judiciaires sont également concernées).

Pour en savoir plus sur les annonces légales

Déclaration d’échanges de biens (DEB) : les modalités évoluent

Dans le cadre de vos activités, vous échangez des marchandises au sein de l'espace intracommunautaire ?

Dans ce cas vous savez déjà que vous devez transmettre mensuellement à la douane, une déclaration d’échanges de biens (DEB) reprenant l’ensemble de vos échanges intracommunautaires de marchandises.

À compter de janvier 2022, des modifications sont apportées aux informations collectées par la déclaration d’échange de biens (DEB).

Évolution des modalités déclaratives DEB à compter du 1er janvier 2022 (PDF)

Un accès simplifié aux services en ligne pour les entreprises

Afin de simplifier la recherche d’informations et la réalisation des démarches en ligne par les entreprises, trois nouveaux sites internet vont être lancés en 2022.

Création, immatriculation, modification, cessation, déclaration, paiement...de nombreuses démarches qui sont réalisées aujourd'hui par les entreprises sur une multitude de sites, seront désormais centralisées sur ces trois sites.

En savoir plus sur le lancement de ces nouveaux services en ligne

Lire le communiqué

 

Immigrer au Canada est un projet de vie emballant.
Il requiert toutefois de bien vous renseigner et de connaître certains frais à prévoir.

Voici des conseils pratiques pour vous aider à préparer et faciliter votre arrivée au Canada.


Budget prévisionnel : porte d’entrée pour la paix d’esprit

Faire un budget s’avère être un exercice primordial dans tous projets. Or, avant d’immigrer au Canada, il est fortement conseillé d’avoir un portrait juste de votre réalité et de vos capacités financières. Nous détaillons plus bas les montants à prévoir.

Budget prévisionnel d’un couple et d’une famille

Voici, à titre d’exemple, le budget prévisionnel d’un couple et d’une famille de 4 personnes.

Budget : installation et mensualités1

  • Frais d’installation moyens (Québec)
    • 2 adultes : 11 000 $ CA
    • 2 adultes + 2 enfants : 16 000 $ CA
  • Budget de vie mensuel moyen (Québec)
    • 2 adultes : 2 500 $ CA - 5 000 $ CA
    • 2 adultes + 2 enfants : 3 500 $ CA - 6 000 $ CA

Les demandes et les exigences gouvernementales devront également être considérées dans votre budget prévisionnel. Le montant à prévoir varie selon la demande, que ce soit pour un travailleur ou un étudiant étranger, un candidat au PVT (Programme Vacances Travail Canada) ou encore un résident permanent.

Les évaluations de certaines demandes requièrent la démonstration de la capacité financière du demandeur à subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, appelée « preuve de fonds ». Vous pourriez avoir à fournir cet exercice dans votre demande.

Exigences gouvernementales et preuve de fonds

Demande du Canada pour un Permis Vacances Travail Canada : 2 500 $ CA

Demande du Québec pour un résident permanent

  • 1 adulte : 3 300 $ CA
  • 2 adultes + 2 enfants : 5 900 $ CA

Demande du Québec pour un travailleur qualifié

  • 1 adulte : 13 200 $ CA
  • 2 adultes : 16 500 $ CA

Demande du Québec pour un étudiant étranger

  • 1 billet d’avion (aller-retour) + 13 200 $ CA/an (subsistance)
  • + 500 $ CA (installation) + frais de scolarité

Frais à considérer

En amont, vous gagnerez à considérer cette liste de frais à planifier pour réduire les surprises financières jalonnant la préparation de votre déménagement au Canada.

  • Voyage de reconnaissance : 2 000 $ CA ou plus
  • Frais de dossier aux services d’immigration du Québec et/ou du Canada : Dépend de votre « permis » 156 $ CA à 2 075 $ CA
  • Données biométriques : 85 $ CA
  • Examens linguistiques : 250 $ CA - 350 $ CA
  • Équivalence des diplômes : 200 $ CA - 300 $ CA
  • Visite médicale : 300 $ CA
  • Avocat en immigration : dépend de votre situation

Le voyage de reconnaissance est optionnel, mais il est recommandé. Il vous donnera l’occasion d’expérimenter sur le terrain vos impressions à propos de la vie et de la ville qui vous attendent au Canada.

Avant de partir : billets d’avion

Vous devrez calculer le coût du billet d’avion par personne, ainsi que les frais potentiels pour vous rendre à l’aéroport. Selon la période de l’année et votre lieu de départ, le montant pourrait totaliser entre 975 $ et 1 500 $ par personne.

À votre arrivée : frais d’installation

Logement, vêtements, téléphone, Internet : prenez le temps d’effectuer quelques recherches pour connaître le coût de ces postes budgétaires, en fonction de votre situation familiale, de la province et de la ville où vous souhaitez vous établir au Canada.

Prévoyez entre 450 $ CA et 900 $ CA pour les vêtements d’hiver, accessoires et bottes pour braver le froid.

La téléphonie, le service Internet et la télévision vous coûteront entre 95 $ CA et 250 $ CA/mois.

Se loger au Canada : quels sont les frais mensuels?

La ville, le quartier, le type et le nombre de pièces influencent le coût mensuel de votre logement au Canada. À titre indicatif, voici un coût moyen approximatif pour des logements comparables, dans quatre villes canadiennes.

Coût moyen des logements

Vancouver : 1 900 $ CA/mois

Toronto : 1 800 $ CA/mois

Montréal : 1 250 $ CA/mois

Québec : 900 $ CA/mois

Bon à savoir

Assurance maladie : vaut mieux prévoir et prévenir

Le Québec a conclu des ententes de sécurité sociale - Lien externe au site. Cet hyperlien s’ouvrira dans une nouvelle fenêtre. avec certains pays. Si vous arrivez au Québec en provenance d’un pays ne faisant pas partie de ces ententes, une assurance est à prévoir pour couvrir le délai de carence - Lien externe au site. Cet hyperlien s’ouvrira dans une nouvelle fenêtre. pouvant aller jusqu’à 3 mois après votre inscription. Les frais reliés à cette assurance pourraient varier entre 650 $ et 1 000 $ par année par personne.

Salaires au Canada : variations d’une province à l’autre

Selon la province et la région convoitée, les salaires moyens varient considérablement.

Salaire minimum brut au Canada en 2021

Québec

  • Salaire minimum : 13,50 $ CA/heure

Ontario

  • Salaire minimum : 14,35 $ CA/heure

Colombie-Britannique

  • Salaire minimum : 15,20 $ CA/heure

Le salaire minimum est, comme son nom l’indique, le taux horaire minimal fixé par le gouvernement qu’un employeur doit verser à un employé.

Salaires moyens bruts par année au Canada en 2020

Québec : 49 400 $

Ontario : 53 600 $

Colombie-Britannique : 50 700 $

Frais et budget au Canada : profitez de ces conseils pratiques

Pour approfondir vos connaissances sur les postes de dépense et faciliter la préparation de votre budget, lisez comment Bien préparer votre budget au Canada en 13 points - Cet hyperlien s’ouvrira dans une nouvelle fenêtre.. Cette destination informative est remplie de judicieux conseils liés aux principales catégories de dépenses.

Virements internationaux

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Parcourez l’article Comment fonctionne le système financier au Canada? - Cet hyperlien s’ouvrira dans une nouvelle fenêtre. pour profiter d’une série de conseils pertinents et simples à comprendre à propos des comptes, du crédit, des cartes de crédit et de débit, du dossier de crédit.

 

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Porté par l’essor du craft et une politique incitative du gouvernement fédéral canadien, les whiskies de seigle essaient de s’imposer en Europe.

Par Béatrice Delamotte

Publié le 11/01/2022

paysage lac Canada

Le whisky canadien tente une percée en France SDP

Lorsque les premiers colons britanniques et irlandais sont arrivés au Canada, ils ont voulu retrouver une partie de leur patrie en distillant la principale céréale qui poussait alors, le seigle. Le «Rye» était né, et le Canada comptait plus de 200 distilleries au milieu du 19ème siècle avant de voir leur nombre diminuer au fil des décennies. Le whisky canadien partait alors largement aux Etats-Unis pour être assemblé et se retrouver noyé dans des blends, quelques marques comme Crown Royal ou Canadian Club ayant acquis une renommée internationale. Aujourd’hui encore, les trois quarts de la production canadienne sont exportés et une partie s’est longtemps retrouvée dans des whiskies dits japonais, du moins jusqu’à ce que la législation change dans l’Empire du Soleil Levant, au printemps 2021. 

» À LIRE AUSSI : Boom de la consommation à domicile, alcools à la mode : les grandes tendances des spiritueux en France

Surfant sur la mode du «rye», ce whisky de seigle particulièrement apprécié en Amérique du Nord, des micro-distilleries se développent au Canada et sont près de 300 aujourd’hui. «Le mouvement craft est particulièrement actif en Colombie britannique et Vancouver en est le cœur, explique Davin de Kergommeaux, spécialiste du whisky et auteur de la Bible du whisky canadien. Et le gouvernement est en partie responsable». En allégeant la législation et en supprimant les taxes pour les petites distilleries, il a permis à de nombreuses micro-distilleries de se lancer. De l’autre côté du pays, le Québec et l’Ontario abritent également plusieurs dizaines de distilleries qui jouent largement sur le spiritourisme pour attirer une clientèle internationale.

 

Two Brewers : Bob-Baxter, Alan Hansen and Distillery's Team

@twobrewers / SDP


De quoi inspirer Sébastien Juhel. Le jeune Français vit alors à Vancouver et parcourt la Colombie britannique pour visiter les distilleries. Il tombe sous le charme de ces whiskies aux arômes fins et délicats, très différents des produits japonais et écossais. De retour en France, il décide d’importer les whiskies de quelques distilleries, d’abord les single malts de Lohin McKinnon, puis ceux d’Arbutus et de Two Brewers, distillerie du Yukon, et enfin de Goldstream et son whisky dans une bouteille à bouchon mécanique. «Ce sont des whiskies de niche, concède Sébastien Juhel qui a créé BackPackSpirit. Mais comme personne ne s’en occupe, il y a de la place, notamment auprès des cavistes, toujours à la recherche de nouveautés». Ainsi, la jeune société a décuplé ses ventes entre 2019 et 2021. Du côté de La Maison du Whisky, on confirme garder un œil sur ce mouvement canadien, notamment avec le développement du craft et de single malts de qualité qui ne cherchent pas à imiter les grandes marques. La gamme Ex-Libris a même accueilli pour la première fois un embouteillage de whisky canadien, un jus de 1998 de la distillerie Wisers. «Un produit exceptionnel et une opportunité unique», souligne Didier Ghordanzadeh, de La Maison du Whisky. 

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Certes, on y parle moins le français qu’à Montréal mais la province du centre du Canada, et Toronto, la capitale économique et financière du pays, multiplient les initiatives pour attirer de nouveaux travailleurs étrangers, toujours selon le principe de l’immigration choisie.

Publié le 17 janvier 2022  I Par Emmanuel Langlois

PORTRAIT DE LA SEMAINE

FranceInfo, Français du monde : “Au Canada, l’Ontario à la recherche de francophones“

Certes, on y parle moins le français qu’à Montréal mais la province du centre du Canada, et Toronto, la capitale économique et financière du pays, multiplient les initiatives pour attirer de nouveaux travailleurs étrangers, toujours selon le principe de l’immigration choisie.

Publié

 il y a 8 heures 

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FranceInfo, Français du monde : “Au Canada, l’Ontario à la recherche de francophones“

L’Ontario et Toronto souhaitent attirer de nouveaux travailleurs étrangers, selon le principe de l’immigration choisie. 

Restauration, bâtiment, finances, biotechs…

Aïssatou Sonko travaille à la Société économique de l’Ontario (SÉO), une association à but non lucratif qui aide gratuitement les nouveaux arrivants dans leur recherche d’emploi. Selon la Française, née au Sénégal, avec un taux de chômage autour de 7% en Ontario, tous les secteurs du marché du travail sont concernés par la pénurie de main-d’œuvre, en particulier dans la partie nord de la province : “Dans les finances, on recherche des directeurs de comptes, des conseillers financiers, des conseillers aux entreprises, mais aussi des managers ou des ingénieurs. Ce qui ressort aussi beaucoup, c’est le manque d’infirmiers, à tel point que, même si c’est une profession réglementée, les hôpitaux sont intéressés quand même à accepter les candidatures.” (Aïssatou Sonko)

D’autant que depuis le début de la pandémie de Covid-19, le recours au télétravail a été massif au Canada et en Ontario, avec à la clé de nombreux locaux vides.  “Il y a beaucoup d’entreprises, notamment en centre-ville, à cause du coût, qui ont fermé physiquement. Ce qu’on va observer prochainement, c’est peut-être la difficulté à assurer le retour en présentiel. Il y a des secteurs comme le service et la restauration qui sont durement touchés, beaucoup de restaurants ont fermé.” 

Des besoins dans le domaine du soutien à la personne

Le domaine du soutien à la personne souffre également de sous-effectifs chroniques. Ce n’est guère mieux dans les métiers de bouche, où l’on recrute à tour de bras des chefs cuisiniers, des boulangers, des bouchers et des charcutiers. L’Ontario manque aussi de soudeurs, mécaniciens de chantier, chauffeurs et d’employés dans les fermes agricoles.

“Il y a une volonté de la province d’augmenter le nombre de francophones de 5% d’ici 2025, détaille Aïssatou Sonko. Pour vous dire à quel point ils sont intéressés à recruter des francophones, ils ont même attribué 15 points supplémentaires pour les francophones qui souhaitent postuler pour la résidence permanente !” 

Car en Ontario, l’accès à la résidence permanente est facilité contrairement au Québec, que la plupart des Français choisissent comme premier point de chute au Canada. “Il y a beaucoup de francophones qui se retrouvent un peu bloqués en terme d’immigration au Québec? et qui se tournent du coup vers l’Ontario pour multiplier leurs chances d’accéder à la résidence permanente.” 

Reste que la nécessité, pour les immigrants, d’avoir une expérience de travail au Canada avant de pouvoir postuler dans leur domaine constitue un véritable casse-tête pour beaucoup. En octobre dernier, le gouvernement de l’Ontario avait promis de légiférer pour permettre aux nouveaux arrivants, formés à l’étranger dans une trentaine de professions, d’obtenir un certificat de travail sans avoir à acquérir une expérience professionnelle au Canada. Lire et écouter la chronique ici

Lui écrire : asonko@seo-ont.ca

Aller plus loin

La Société économique de l’Ontario

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Par Le Figaro avec AFP
Les deux gros projets industriels de recyclage de déchets plastiques, annoncés dimanche soir en France, par le groupe américain Eastman et le canadien Loop associé à Suez, devraient aider le pays à rattraper une partie de son retard en matière de recyclage du plastique.

Les deux usines prévues représentent plus d'un milliard d'euros d'investissement (850 millions pour Eastman et 250 millions d'euros pour Loop), soit un quart des 4 milliards d'euros annoncés par 21 entreprises étrangères dans le cadre du programme d'attractivité Choose France piloté par l'Élysée.

Si le lieu d'implantation d'Eastman n'a pas encore été dévoilé, Loop prévoit de s'installer à Port-Jérôme-Sur-Seine (Seine-Maritime) en Normandie sur une parcelle de 130.000 mètres carrés où la construction de l'usine devrait démarrer en 2023, pour une mise en service «18 mois plus tard» environ, soit en 2025, a indiqué à l'AFP le patron du groupe québécois Daniel Solomita, joint par téléphone.

«Nous visons notamment les PET blancs opaques des bouteilles de lait et d'autres déchets plastique comme les barquettes alimentaires qui ne sont pas bien recyclés aujourd'hui» a indiqué Daniel Solomita. Le PET (polytéréphtalate d'éthylène) est l'un des plastiques les plus utilisés dans le monde, notamment pour la fabrication de bouteilles et de fibres polyester.

Les «gisements» lui seront fournis par Suez, son associé, spécialisé dans le tri et le traitement des déchets. L'usine aura une capacité de production de quelque 70.000 tonnes de résine PET par an.

Création d'emplois

En choisissant la Normandie, le groupe, qui prévoit la création de 180 emplois à terme, compte sur l'accès à la Seine pour drainer les déchets par transport fluvial de tout le bassin parisien.

Loop utilise «sept technologies différentes» brevetées de «depolymérisation à basse température» lui permettant de retrouver la cellule «monomère de base» et de refabriquer ainsi en boucle fermée du plastique de qualité comparable à du plastique neuf issu de la pétrochimie, a indiqué Daniel Solomita.

Loop a aussi passé des accords avec trois industriels français de l'agroalimentaire et des cosmétiques, Danone, L'Oréal et l'Occitane, qui achèteront le plastique recyclé pour leurs emballages, «ce qui permettra d'instaurer la circularité», a-t-il ajouté. Ils visent tous de parvenir à 100% de leurs emballages d'origine recyclée ou bio-sourcée d'ici à 2025 (L'Occitane) ou à 2030 (Danone, L'Oréal), et sont cités dans le communiqué de Loop.

À LIRE AUSSIFaute d’exploiter ses mines, l’Europe doit miser sur le recyclage

«Le monde du plastique a vraiment besoin de changer d'écosystème notamment pour la gestion de sa fin de vie», a déclaré M. Solomita, dont le groupe a lancé la construction de deux autres usines de recyclage, une au Québec, en plus de celle qu'il exploite déjà à Terrebonne, et une autre en Corée du Sud.

Du côté d'Eastman, aucun détail n'a filtré sur son lieu d'implantation. Son usine française devrait employer 350 personnes à partir de 2025 pour recycler 160.000 tonnes par an en se concentrant aussi sur des plastiques difficiles à recycler, y compris des déchets textiles. Soit près de 10% des 2 millions de tonnes de déchets plastiques produits en France chaque année, dont la grosse majorité est incinérée ou enfouie.

Jusqu'à présent, seul le recyclage mécanique, un tri très fin du plastique mais qui ne va pas jusqu'à la molécule elle-même, et ne produit que du plastique de qualité inférieure, existe en France.

Réduire les exportations françaises de déchets plastiques

Avec ces projets, les pouvoirs publics espèrent notamment réduire les exportations françaises de déchets plastiques, qui s'élevaient à 750.000 tonnes en 2020 selon l'Ademe. En tout cas, améliorer le taux de recyclage, inférieur à 30%, à la différence des pays voisins.

Néanmoins, ils ne permettent pas (encore) de s'attaquer au recyclage des pots de yaourt, ni à celui des barquettes de viande et de poisson, qui sont en polystyrène plat ou expansé, une molécule pour laquelle il n'existe pas encore de procédé industriel dédié.

Sur ce sujet, «nous avons bon espoir de voir aboutir des projets d'ici la fin de l'année», a commenté une source proche du dossier.

Le PDG d'Eastman, Mark Costa, devait être reçu à l'Élysée lundi matin. Emmanuel Macron devait ensuite se rendre sur le lieu d'une autre des annonces d'investissement étranger en France dévoilée dimanche soir, sur le site de Chalampé dans l'Est, où le chimiste allemand BASF va agrandir l'usine existante pour produire.. du plastique.

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Mardi 25 janvier 2022 l Le quotidien économique

Le Groupe Leclerc, chef de file du domaine agroalimentaire en Amérique du Nord, est heureux d'annoncer l'acquisition d'une nouvelle usine de production de 790 197 pieds carrés à Brockville, en Ontario.

La production devrait commencer progressivement à partir de juillet 2022, pour atteindre sa pleine capacité en janvier 2023. L'usine sera située dans le parc industriel de Brockville, sur l'avenue California.

Le Groupe Leclerc prend possession d'une nouvelle usine à Brockville, en Ontario

« Brockville offre un emplacement stratégique en Amérique du Nord, à proximité des douanes américaines et de nos autres usines Leclerc au Canada et aux États-Unis. Cette nouvelle installation nous permettra de poursuivre la croissance de nos opérations en pleine expansion », a déclaré Denis Leclerc, président du Groupe Leclerc. « Nous croyons fermement que les membres de notre équipe sont au cœur de ce qui nous distingue des grandes multinationales de l'alimentation, et nous avons hâte d'accueillir les résidents de Brockville au sein de notre famille. »

Résultant d'un investissement de plus de 100 millions de dollars sur cinq ans (incluant les équipements de production), ce dernier ajout en Ontario générera plus d'une centaine d'emplois sur une période de cinq ans. En termes de volume de production, cette usine sera la plus grande installation de Leclerc, ce qui favorisera le développement de nouveaux marchés ainsi que de nouvelles catégories de produits.

Le Groupe Leclerc a continuellement investi dans ses installations canadiennes (deux à Saint-Augustin-de-Desmaures, une à Hawkesbury et une à Cornwall), avec des équipements de production à la fine pointe de la technologie. Bien que ces cinq usines soient appelées à croître dans un avenir rapproché, le succès de l'entreprise justifiait cet investissement.

Ce futur site de production sera de haute technologie, certifié sans arachides et consacré à la production de biscuits et de barres collations.

RECRUTEMENT

Avec l'arrivée de cette nouvelle usine dans la ville de Brockville, le Groupe Leclerc a plusieurs postes à combler au sein de son équipe. Veuillez faire parvenir votre curriculum vitae à l'adresse suivante : leclerc.ca/fr/carrieres et, il nous fera plaisir de vous rencontrer pour évaluer les possibilités d'occuper un poste dans notre entreprise.

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Par   l  

Afin de limiter la propagation du coronavirus au Canada, des restrictions de voyage ont été mises en place. Le site du gouvernement canadien met à disposition un outil pour connaître son éligibilité à l’entrée sur le territoire.

Voyageurs, vérifiez si vous pouvez entrer au Canada

Le Canada impose des restrictions à ses frontières et les adapte aux individus. Cette réflexion au « cas par cas » permet d’établir un équilibre entre restriction et exigence sanitaire. Moins de 12 ans, 12-17 ans, vaccinés ou non, une dose et une infection…, autant de situation qui entraînent des mesures différentes.

Afin de permettre plus de visibilité pour les voyageurs souhaitant se rendre sur le territoire du « pays à la feuille d’érable », le site internet du gouvernement propose un questionnaire individualisé destiné à s’assurer de la possibilité d’entrer sur le territoire et dans quelles conditions.

> Lien utile

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Ginestié Magellan Paley-Vincent

 

 

Ginestié Magellan Paley-Vincent accompagne des entreprises, des dirigeants et des familles dans la définition et la mise en œuvre de leurs stratégies depuis plus de 45 ans.

Cabinet d'avocat indépendant à Paris, à taille humaine et avec une culture internationale, Ginestié Magellan Paley-Vincent est ainsi agile et efficace pour répondre aux besoins de ses clients, en proposant un service sur mesure s’adaptant aux défis humains mais aussi technologiques dans un monde en constante mutation.

Ses clients, groupes internationaux cotés, entreprises de taille intermédiaire, start-up, mais aussi familles ou personnes physiques, trouvent au sein de Ginestié Magellan Paley-Vincent l’expertise technique, le savoir-faire et l’empathie nécessaires pour défendre leurs intérêts et construire sereinement leur avenir.

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BACKPACK Spirit

Après plusieurs voyages, une passion commune entre les micro-distilleries du Canada et les cavistes en France ; Backpack Spirit est née.

Nous découvrons et voulons partager le savoir-faire artisanal nord-américain.

 

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Ulysse Bergeron l 8 février 2022 l Le Devoir

Attendue par le secteur de l’aérospatiale québécois, mis à mal au cours des dernières années, la nouvelle stratégie du gouvernement Legault sera dotée d’une enveloppe de 334 millions de dollars pour assurer une croissance à long terme.

Le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon, lors de l’annonce d’un nouvel investissement de 380 millions dans l’Airbus A220, vendredi
Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon, lors de l’annonce d’un nouvel investissement de 380 millions dans l’Airbus A220, vendredi

L’enveloppe consacrée à cette stratégie, baptisée « Horizon 2026 », doit être investie d’ici 2024. Ces sommes gouvernementales — dont une partie a déjà été annoncée dans le dernier budget et la plus récente mise à jour économique — visent à soutenir des investissements qui proviendront également du privé et que Québec estime à près de 2,8 milliards de dollars.

« Au cours des prochaines années, on va donner de l’oxygène à notre industrie en lui offrant un environnement d’affaires renouvelé », ce qui lui permettra d’être prête lors de la sortie de la pandémie, a affirmé lundi Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation, lors de l’annonce de sa stratégie.

Celle-ci s’articulera autour de trois axes. Tout d’abord, le gouvernement veut stimuler l’innovation, a indiqué M. Fitzgibbon : « On n’a [pas le] choix d’être plus performants. […] On veut faire le trait d’union entre la recherche fondamentale et [celle] en entreprise. »

Québec compte aussi miser sur de nouveaux créneaux, dont celui des drones, mais également sur des secteurs existants, comme celui de la défense, moins présents au Québec. Ce pan de l’industrie est moins touché par les cycles économiques que son pendant commercial.

À ce sujet, le ministre de l’Économie explique que Québec compte surtout jouer de son influence auprès de gouvernements du Canada et des États-Unis : « Notre rôle, ce n’est pas de dire aux entreprises “Allez là”. Mais est-ce qu’on peut [faire le lien], peut-être, en parlant au gouvernement fédéral ? » Ce dernier devrait prochainement octroyer un important contrat sur les avions de chasse, rappelle-t-il.

Il ajoute : « Je pense qu’on peut aider sur le plan géopolitique peut-être à une certaine ouverture. Je n’irai pas trop loin dans mes commentaires, mais il y a des projets présentement très spécifiques où les Américains regardent des valeurs ajoutées qu’on a ici au Québec. »

Pénurie de main-d’œuvre

L’ensemble de l’écosystème doit au même moment relever un défi de taille, celui de la pénurie de main-d’œuvre. « Le tiers des enjeux de création de richesse vient de [la pénurie de main-d’œuvre]. Ça va être important que nos programmes soient adéquats », a indiqué Pierre Fitzgibbon.

Selon lui, les solutions au manque d’employés passent par une hausse du nombre d’étudiants qui choisissent ce secteur en sortant de l’université, mais également par une formation continue qui répond au besoin de l’industrie et l’immigration de travailleurs qualifiés.

Un défi d’autant plus marqué que, depuis le début de la pandémie, le ralentissement notable des activités des compagnies aériennes s’est traduit par une baisse du nombre de commandes d’appareils et par des milliers de mises à pied dans l’aéronautique.

La stratégie provient d’une consultation qui a permis de recueillir plus de 90 recommandations soumises dans 24 mémoires. L’industrie s’est d’ailleurs dite satisfaite des orientations du gouvernement. La p.-d.g. d’Aéro Montréal qui représente l’industrie au Québec, Suzanne Benoît, a souligné que le gouvernement avait « entendu les besoins de nos membres » et que la présentation de la stratégie arrivait alors qu’un « vent de relance souffle sur l’industrie ».

Le dévoilement arrive trois jours après l’annonce d’une autre contribution de 380 millions de dollars du gouvernement du Québec dans le programme A220 d’Airbus, l’ancienne CSeries de Bombardier, ce qui porte à près de 1,68 milliard de dollars les investissements du gouvernement dans ce programme depuis 2016.

L’industrie aérospatiale représentait en 2020 10,5 % du total des exportations manufacturières du Québec, 36 000 emplois dans la province, et aurait généré près de 16 milliards en ventes, selon les statistiques du gouvernement du Québec.

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ROIV capitalise sur le potentiel économique des technologies automobiles avancées et des solutions de mobilité intelligente telles que les véhicules connectés et autonomes (C/AV) et les technologies des véhicules électriques et à faible émission de carbone.

Raed Kadri, responsable, Réseau ontarien d’innovation pour les véhicules

Raed Kadri, responsable, Réseau ontarien d’innovation pour les véhicules

 

Raed Kadri, responsable, Réseau ontarien d’innovation pour les véhicules, travaille avec son équipe à tirer parti de la place qu’occupe l’Ontario sur l’échiquier mondial dans le domaine de la fabrication automobile et de l’approvisionnement du secteur.

 

Locomotive canadienne de l’industrie de la fabrication, l’Ontario est un chef de file du secteur de l’automobile depuis plus d’un siècle. Fortes d’établissements postsecondaires de calibre mondial, de chercheurs de renommée internationale, de talents hautement qualifiés et de l’appui du gouvernement, nos grappes industrielles bien établies dans les secteurs de l’automobile, de la fabrication et de la technologie sont les meilleures au monde.

Dans cette transformation technologique que connaît le secteur automobile – électrification, connexion et automatisation –, nous avons ce qu’il faut pour être des meneurs et proposer des solutions bien de chez nous, afin de propulser l’avenir du secteur et assurer le transport efficace, propre et sécuritaire des personnes et des biens.

Les innovateurs et entrepreneurs de l’Ontario sont inégalables – nos grappes industrielles sont d’une force redoutable, et notre gouvernement l’a bien compris.

Un écosystème interconnecté

Le Réseau ontarien d’innovation pour les véhicules (RIVA), une initiative phare menée par le Centre d’Innovation de l’Ontario et le gouvernement provincial, conjugue nos forces et coordonne nos efforts pour faire en sorte que les entreprises d’ici se déploient à l’international et exportent leurs technologies et leurs solutions bien de chez nous partout sur la planète.

Mais nous ne nous arrêterons pas en si bon chemin.

L’Ontario a gagné son pari : si nous épaulons les entreprises de la province dans la mise en marché de technologies capables de façonner l’avenir du secteur, ces entreprises testeront leurs solutions ici, chez nous. Ainsi, nous pourrons profiter de leur déploiement sur nos routes, dans nos infrastructures, dans nos systèmes de transport et dans nos réseaux de transport en commun. Ce faisant, non seulement nous récolterons les retombées économiques de cette transformation, mais nous pourrons également profiter des avantages sociaux et environnementaux qui en découleront (amélioration de la sécurité, de l’accessibilité, de la productivité, etc.).

Les minéraux critiques, moteur de la révolution électrique

Alors que l’électrification gagne du terrain dans le secteur, en Ontario, nous faisons ce que nous savons déjà faire : mobiliser et déployer nos forces pour faire le pont entre technologies et stratégie. En accompagnant nos innovateurs, entrepreneurs et petites et moyennes entreprises déjà établies dans leur quête d’innovation, nous pouvons encourager les entreprises ontariennes à mettre en marché de nouvelles technologies et à s’ouvrir sur le monde.

La technologie entourant les batteries automobiles évolue rapidement. La course à la conception, à la fabrication et à la distribution des batteries les plus puissantes et durables est lancée. En Ontario, nous intensifions nos efforts pour répondre à la demande et nous utilisons tous les composants à notre disposition, y compris les minéraux critiques essentiels à la fabrication des batteries de véhicules électriques. Le Nord de l’Ontario regorge de ces ressources – que certains disent être de la meilleure qualité au monde – qui propulseront la révolution des batteries.

Nous savons combien il importe d’éliminer les obstacles auxquels se butent les investisseurs et de mettre la main à la pâte pour aider nos entreprises dans la mise en marché de solutions d’ici dans un espace de mobilité connecté, autonome et intelligent. Notre but : demeurer un moteur de la transformation technologique et faire en sorte que nos entreprises soient celles qui assureront l’avenir du transport des personnes et des biens.

Une locomotive de l’industrie de la fabrication

L’Ontario a prouvé qu’elle était mûre pour les investissements. Les fabricants automobiles mettent les bouchées doubles dans la province et sont résolus à construire les véhicules de demain. Grâce à nos installations d’avant-garde primées et dotées d’une main-d’œuvre parmi les plus qualifiées au monde, nous sommes en voie de nous hisser au sommet.

La fabrication n’a plus de secrets pour nous : c’est notre affaire.

Nous avons également facilité l’exportation de biens grâce à 14 accords de libre-échange qui visent 51 pays. Nous poursuivons notre travail avec l’industrie pour définir nos politiques et règlements dans l’optique d’éliminer les formalités administratives et de réduire les coûts, afin que l’Ontario soit la destination par excellence des entreprises pour faire des affaires et prospérer.

Partir du bon pied en Ontario, au Canada

En Ontario, nous donnons le tout pour le tout.

Nous avons un plan.

Nous travaillons ensemble.

Notre gouvernement est là pour nous. Notre volonté et notre ingéniosité sont sans pareilles. Les prochaines années seront déterminantes pour l’avenir du secteur. Et en Ontario, nous veillons à ce que la province et nos entreprises se retrouvent au cœur du secteur automobile mondial.

Si vous n'êtes pas en Ontario pour façonner l’avenir de votre entreprise et de votre technologie, il est grand temps de vous informer.

Nous sommes ouverts aux affaires.

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S’élever ensemble
Retour sur une webconférence des plus inspirantes !

Avec Isabelle Hudon, présidente, Banque de Développement du Canada et Sophie Brochu, présidente-directrice générale, Hydro-Québec

S’élever ensemble
Retour sur une webconférence des plus inspirantes!

 

Des échanges sur la parité, l’ambition et la place des femmes dans un monde du travail réinventé : la webconférence de la semaine dernière a été un terreau fertile en discussions engagées - et engageantes! Inspiré, on retient de cette conversation inédite plusieurs réflexions qui poussent à l’action. Voici 5 citations qui ont attiré notre attention.
 

«J’ai hâte que l’on ait autant de fierté à afficher des objectifs de parité qu’à dire “dans la prochaine année, je vais livrer 3 milliards de revenus”!»
- Isabelle Hudon, présidente, Banque de Développement du Canada
 

«Aujourd’hui, nous avons l’opportunité extraordinaire de nous impliquer pour dire comment le monde du travail devrait être dessiné pour qu’on ait notre place, notre voix. Pour qu’on fasse grandir la place des hommes aux côtés des femmes et celle des femmes aux côtés des hommes.»
- Sophie Brochu, présidente-directrice générale, Hydro-Québec
 

«Un des commentaires que j’ai reçu est “si on est trop ambitieux dans nos objectifs d’inclusion, on va perdre des candidats hommes au profit de nos concurrents!” Mais combien de femmes va-t-on perdre parce qu’on ne fait rien?»
- Guy Cormier, président-directeur général, Mouvement Desjardins
 

«Les femmes qui forment le comité mixité [au sein de Crédit Agricole d'Île-de-France] ont vite compris qu’elles y arriveraient avec les hommes et pas contre!»
- Nathalie Mourlon, directeur général adjoint, Crédit Agricole d’Île-de-France
 

«Il faut s’engager en tant qu’homme, en tant que père de famille, et en tant que chef d’entreprise, dans ce combat qui est un engagement au service de l’évolution de nos organisations, de nos modes de vie et de la façon dont on peut ensemble progresser.»
- Alexis Gardy, président, Belambra
 

Aujourd’hui plus que jamais, on prend conscience que l’essor du talent féminin n’est plus qu’une affaire de femme. Mais de société. Vous avez manqué la webconférence? Recevez dès maintenant votre lien de visionnement! Une façon, vous aussi, de mettre le talent féminin de l’avant.
 

L’équipe de L’effet A

Henner

Ontario

HEC Montréal

CH&C

Power Corporation du Canada


 

Vacandi

BELL Canada - BCE Global

 

DJ Conseil 
 

DJ CONSEIL

Stellar Invest SARL
 

STELLAR INVEST SARL

Banque Delubac
 

Dentons Canada
 

Septodont

Esprit Clients
 

Les entreprises intéressées pourront participer jeudi 24 mars à l'événement "Exporter et s'implanter au Canada", organisé par la Chambre de commerce France-Canada.

Publié le  

La Chambre de commerce France-Canada organise le 24 mars prochain à Lyon une matinée au cours de laquelle les entreprises lyonnaises et de la région pourront trouver des réponses à la question "Comment se développer, s’implanter ou découvrir le marché canadien ?" à travers la présentation de conseils d’experts.

Cet événement a lieu grâce à un partenariat entre la CCI Lyon Métropole Saint-Etienne Roanne, Team France Export, Business France, le Cercle des dirigeants d'Entreprises Franco-Québécois, le centre Jacques Cartier et Air Canada, et se déroulera à partir de 8 h 30 au Palais de la Bourse, dans le 2e arrondissement lyonnais.

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Sinscrire

BELL Canada - BCE Global

 

Magellan Transit

Francophonie, ententes universitaires, position stratégique sur le continent américain … La province québécoise ne manque pas d’arguments pour être considérée comme une destination de choix par les étudiants pour leurs stages liés aux études.

Dans cet article, l’OFQJ vous donne les clés afin de construire votre projet de stage au Québec en toute sérénité.

Être au fait des démarches administratives

Stage au Québec = permis de travail

Que votre stage dure un ou plusieurs mois, qu’il soit rémunéré ou non, il est indispensable de disposer d’un permis de travail pour entrer sur le territoire canadien. Si vous êtes de nationalité française et que vous avez entre 18 et 35 ans, alors vous pouvez bénéficier des permis EIC (Expérience International Canada), qui relèvent des accords France-Canada, et qui sont des permis de travail simplifiés, à la fois pour l’employeur et pour l’employé.

Pour pouvoir effectuer un stage étudiant au Québec, le permis de travail le plus adapté est le Permis Stage Coop International. D’une durée de 12 mois maximum, c’est un permis de travail « fermé », qui nécessite pour s’inscrire de disposer d’une offre de stage d’une entreprise québécoise, dans son champ d’étude.

L’obtention de ce permis Stage Coop International comporte certains frais, il faut prévoir 156$ CAD de frais de participation EIC et 85$ CAD pour les frais de biométrie obligatoires. Votre employeur devra également effectuer des démarches et s’acquitter de 230$CAD de frais EIC.

Côté assurances, ce permis vous permet de bénéficier de la réciprocité entre la RAMQ québécoise et l’Assurance Maladie française. Il faudra cependant souscrire à une assurance complémentaire de base.

En savoir plus sur les permis de travail EIC
En savoir plus sur les accords entre la France et le Québec en matière de sécurité sociale
En savoir plus sur les documents à prévoir avant de partir

Quels délais suivre pour commencer ses recherches et ses démarches ? 

En moyenne, il faut compter minimum 6 mois entre le début de votre recherche et le début de votre stage. Vous profiterez de ce délai pour faire vos démarches administratives (passeport en cours de validité, assurances, etc.). Une fois votre convention de stage signée, il faut compter environ 8 semaines de démarches administratives auprès d’Expérience internationale Canada pour obtenir votre permis de travail Stage Coop International

Ne pas se précipiter sur les billets d’avion

Une fois votre stage trouvé, l’OFQJ vous préconise de ne pas prendre vos billets d’avant à destination du Canada tant que vous n’avez pas reçu votre lettre d’introduction EIC du permis Stage Coop international (vous ne pouvez pas vous installer sur le territoire canadien sans cette lettre).

En effet, les délais de traitement administratifs peuvent fluctuer : sinon, privilégiez les billets d’avion échangeables ou à dates flexibles.

 

Quels sont les démarches administratives pour l’entreprise d’accueil ?

Lors de votre recherche de stage, n’hésitez pas à indiquer à vos potentielles futures structures d’accueil que vous êtes au fait des démarches administratives obligatoires pour l’employeur dans la demande de permis de travail.

Une fois que celui-ci aura signé la convention de stage avec votre établissement scolaire, l’employeur devra :

  • S’inscrire sur le portail des employeurs de l’IRCC et présenter l’offre d’emploi (ici de stage) en indiquant des détails sur le stage, des renseignements sur le stagiaire, en précisant les coordonnées du maitre de stage. 
  • Payer les 230$ de frais obligatoires pour recevoir un stagiaire, 
  • Vous transmettre le numéro d’offre d’emploi nécessaire pour votre demande de permis de travail Stage Coop International

Trouver son stage

Inscrire son profil sur Trouve un stage

En juin 2021, l’OFQJ a signé une entente avec la plateforme québécoise “Trouve un stage” par Boomrank, qui met en relation les jeunes étudiants en recherche d’un stage, et les entreprises de tous domaines. 

Les jeunes étudiants français en recherche de stage sont donc invités à se créer un compte sur le site Trouve un stage. Ils auront besoin d’indiquer leur nom, prénom et email, ainsi qu’un curriculum vitae à jour.  

Une fois sur la plateforme, les étudiants pourront également charger le programme de la formation délivrée par leur université ou leur organisme de formation, afin d’informer au mieux les employeurs québécois du contenu de leur formation. 

Indemnités de stages

Attention, au Canada, les entreprises ne sont pas tenues par la loi de verser des indemnités à leurs stagiaires, peu importe la durée. Certaines en versent, d’autres non.
 

Le CV « à la québécoise »

Pour votre recherche de stage, pensez à transformer votre CV “à la québécoise” en valorisant vos compétences pratiques. L’OFQJ vous recommande de rechercher et d’indiquer les équivalences avec les diplômes québécois. Pour une meilleure compréhension des employeurs, vous pouvez également expliquer brièvement le contenu de votre formation.


Prenez la mesure des contraintes sanitaires

Les mesures sanitaires évoluent régulièrement. La vaccination est obligatoire à l’entrée sur le territoire canadien, ainsi que le téléchargement de l’application ArriveCan. Les participants doivent s’informer régulièrement de l’évolution de ces mesures.


L’accompagnement de l’OFQJ

Stages étudiants

 

L’aide financière de 200€ pour la mobilité étudiante

La « bourse OFQJ » s’adresse à tous les étudiants ou élèves de la formation technique et professionnelle de tous niveaux, qui souhaitent réaliser un stage dans leur domaine de formation au sein d’une entreprise ou d’une institution québécoise.

Il n’y a pas de niveau d’étude requis ou de durée de stage minimum (entre 1 à 12 mois). Il s’agit d’une aide financière (dans la limite des fonds disponible) versée en une seule fois, d’un montant de 200 euros pourra vous être accordée dans le cadre de votre stage au Québec.

Une fois votre compte OFQJ créé sur notre plateforme, grâce à votre numéro de participant, vous pouvez également bénéficier des avantages participants auprès des partenaires de l’OFQJ sur les assurances, l’aérien, la banque …

En savoir plus sur l’aide financière pour les étudiants


Les webinaires d’information hebdomadaires

Première étape préalable à tout projet de mobilité, la participation à un webinaire d’information de l’OFQJ vous permettra de bien prendre connaissance des différents permis de travail et des démarches à effectuer, ainsi que plein de petites infos utiles.

Webinaire d’information de l’OFQJ, chaque lundi, de 15h à 17h. Gratuit, sur inscription.


Les avantages participants de l’OFQJ

Grâce à votre compte OFQJ, votre numéro de participant vous permettra d’accéder à des offres négociées spécialement avec les partenaires de l’OFQJ, notamment des conditions d’assurance avantageuses, des réductions et des bagages supplémentaires sur les billets d’avion…

Pour vous aider à trouver votre stage, votre compte OFQJ vous permettra également d’accéder à un annuaire des entreprises québécoises ayant déjà travaillé avec l’OFQJ.

En savoir plus sur les avantages participants

 

  • Projet d’acquisition par CGI d’une participation contrôlante de 70.6% dans Umanis, suivie du dépôt d’une offre publique d'achat simplifiée obligatoire ;
  • Prix par action de 17,15 € représentant une prime de 45.96% par rapport au dernier cours de clôture d’Umanis.

CGI (NYSE : GIB) (TSX : GIB.A) a annoncé aujourd’hui la conclusion d’un accord en vue de l’acquisition, par l'intermédiaire de sa filiale CGI France SAS (« CGI France »), de la totalité des actions d’Umanis, une entreprise spécialisée dans les solutions de données, numériques et métiers, avec un chiffre d’affaires annuel de près de 246 millions d’euros, qui opère depuis plus de 30 ans, principalement sur le marché français.

La transaction envisagée valoriserait l'intégralité du capital d’Umanis à environ 310 millions d'euros sur une base entièrement diluée (excluant les actions auto détenues) et représente une prime de 45.96% par rapport au dernier cours de clôture d’Umanis le 10 mars 2022, et de 30.40% par rapport au cours de clôture moyen pondéré par les volumes des 30 derniers jours de bourse.

Dans le cadre de cet accord, CGI France est entrée en négociation exclusive pour acquérir l’intégralité des actions détenues par MURA et par M. Olivier Pouligny représentant environ 70,6% du capital d’Umanis à un prix de 17,15€ par action (l’« Acquisition du Bloc »).

Sous réserve de la réalisation de l'Acquisition du Bloc, CGI France prévoit de lancer une offre publique d'achat obligatoire en vue d’acquérir le solde des actions d’Umanis (l’« Offre ») au prix de 17,15 € par action et sous réserve que les conditions légales et réglementaires soient remplies, mettra en œuvre un retrait obligatoire afin d’acquérir les actions n’ayant pas été acquises dans le cadre de l’Offre.

La signature du contrat d’Acquisition du Bloc n'interviendrait qu'à l'issue des procédures d'information et de consultation des instances représentatives du personnel concernées d’Umanis et de CGI France.

La réalisation de l'Acquisition du Bloc envisagée est soumise à certaines conditions, notamment le respect par Umanis des ratios financiers minimaux, l'obtention des approbations réglementaires usuelles, la délivrance d'une attestation d'équité par l'expert indépendant d’Umanis, ainsi que l'émission d'une recommandation positive du Conseil d'Administration d’Umanis.

L’Acquisition du Bloc et le dépôt de l'Offre auprès de l’Autorité des Marchés Financiers devraient être réalisés d'ici la fin du deuxième trimestre de l'année civile 2022.

Le Conseil d'Administration d’Umanis, réuni le 10 mars 2022, a accueilli favorablement la transaction proposée, sans préjudice de l'avis motivé du Conseil d'Administration sur l’Offre qui sera émis après réception de l'avis de l’expert indépendant. A cette fin, le Conseil d'Administration a désigné un comité et, sur sa recommandation, a désigné le cabinet Crowe HAF comme expert indépendant (sous réserve de non-opposition de l’AMF comme prévu par l’article 261-1-1 III du Règlement Général de l’AMF) pour attester de l’équité de l’Offre.

« La combinaison des activités de CGI et de celles d’Umanis renforcera davantage notre présence et notre positionnement en Europe de l'Ouest et du Sud. Cette transaction s'inscrit dans notre stratégie Build & Buy visant à générer une croissance externe rentable tout en servant de catalyseur à notre croissance organique future » affirme George Schindler, Président et Directeur Général de CGI.

« Nous sommes ravis de nous associer à Umanis pour aider nos clients à accélérer leur transformation digitale et leur permettre de bénéficier de notre expertise de services intégrés. Umanis et CGI sont deux entreprises très complémentaires en termes de compétences, de vision et de valeurs. Nous sommes impatients d'accueillir les collaborateurs d’Umanis chez CGI » affirme Laurent Gerin, Président de CGI pour l’Europe de l'Ouest et du Sud.

« J'ai fondé Umanis en 1990, introduite en bourse en 1998 et je suis particulièrement fier du parcours de l'entreprise et de la valeur créée pour tous nos actionnaires au cours des dernières années. A l'avenir, les collaborateurs et les clients d’Umanis bénéficieront grandement du soutien de CGI, avec qui nous partageons une vision et des valeurs communes » déclare Laurent Piepszownik, Président Exécutif d’Umanis.

« Nous sommes ravis de cette nouvelle opportunité et nous nous réjouissons de rejoindre CGI, avec qui nous sommes très complémentaires » ajoute Olivier Pouligny, Directeur Général d’Umanis.

Le cours de bourse d’Umanis a été suspendu ce matin, la reprise de la cotation interviendra à l’ouverture des marchés lundi 14 mars 2022.

À propos de CGI

Fondée en 1976, CGI figure parmi les plus importantes entreprises indépendantes de services-conseils en technologie de l’information (TI) et en management au monde. CGI compte 82 000 conseillers et professionnels établis partout dans le monde grâce auxquels l’entreprise offre un portefeuille complet de services et de solutions : des services-conseils stratégiques en TI et en management, de l’intégration de systèmes, des services en TI et en gestion des processus d’affaires en mode délégué ainsi que des solutions de propriété intellectuelle. La collaboration de CGI avec ses clients repose sur un modèle axé sur les relations locales, conjugué à un réseau mondial de prestation de services, qui permet aux clients de réaliser la transformation numérique de leur organisation et d’accélérer l’obtention de résultats. Au cours de l’exercice financier 2021, CGI a généré des revenus de 12,13 milliards de dollars canadiens. Les actions de CGI sont inscrites à la Bourse de Toronto (GIB.A) ainsi qu’à la Bourse de New York (GIB). Apprenez-en davantage sur cgi.com

A propos d’Umanis

Umanis est une entreprise de services du numérique spécialisée dans les données, le digital et les solutions d'entreprise avec un chiffre d'affaires annuel d'environ 246 millions d'euros. Umanis opère depuis plus de 30 ans, principalement sur le marché français. Créée en 1990, Umanis accompagne la transformation digitale de nombreuses entreprises avec une forte expertise dans cinq domaines : Big Data et Intelligence Artificielle, Infrastructure et Cloud, Expérience Digitale, Intégration de solutions métiers et BPO. Umanis est basée à Paris et compte environ 3 000 collaborateurs en France ainsi qu'en Espagne, au Luxembourg, au Maroc et en Suisse. Les actions d’Umanis sont cotées sur Euronext Growth à Paris. Pour en savoir plus, consultez le site www.umanis.com.

Société Générale est conseil financier exclusif de CGI et agira en tant que banque présentatrice de l’offre publique, Bredin Prat intervient en tant que conseil juridique.

Crédit Agricole Corporate and Investment Bank est conseil financier exclusif d’Umanis et Mura, Darrois Villey Maillot Brochier intervient en tant que conseil juridique.

Informations et déclarations prospectives

Ce communiqué de presse contient des « informations prospectives » au sens des lois canadiennes sur les valeurs mobilières ainsi que des « déclarations prospectives » au sens de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995 et des autres règles d’exonération américaines applicables. Ces informations et déclarations prospectives sont présentées et communiquées conformément aux règles d’exonération prévues dans les lois canadiennes et américaines sur les valeurs mobilières applicables. Ces informations et déclarations prospectives comprennent toutes les informations et déclarations relatives aux intentions, aux projets, aux attentes, aux opinions, aux objectifs, au rendement futur et à la stratégie de CGI, ainsi que toute autre information ou déclaration liée à des circonstances ou à des événements futurs qui ne concernent pas directement et exclusivement des faits historiques. Les informations et déclarations prospectives emploient souvent, mais pas toujours, des termes comme « croire », « estimer », « s'attendre à », « avoir l'intention », « envisager », « prévoir », « planifier », « prédire », « projeter », « viser à », « chercher à », « s'efforcer de », « potentiel », « continuer », « cibler », « peut », « pourrait », « devrait », ainsi que tout autre terme de nature semblable et toute autre forme conjuguée de ces termes.

Ces informations et déclarations sont fondées sur notre perception des tendances historiques, de la situation actuelle et de l’évolution prévue des affaires, ainsi que d’autres hypothèses, tant générales que spécifiques, que nous jugeons appropriées dans les circonstances. Elles font toutefois, de par leur nature même, l’objet de risques et d’incertitudes intrinsèques sur lesquels CGI n’a, dans bon nombre de cas, aucune emprise, et en raison desquels les résultats réels pourraient différer considérablement des attentes exprimées ou sous-entendues dans ces informations et déclarations prospectives. Ces risques et incertitudes comprennent en particulier, mais sans s’y limiter : les risques liés au marché, comme l’intensité des activités de nos clients, qui est tributaire de la conjoncture économique et politique, les autres risques externes (comme les pandémies) et notre capacité à négocier de nouveaux contrats; les risques liés à notre secteur d’activité, comme la concurrence, et notre capacité d’attirer et de fidéliser du personnel compétent, de développer et d’élargir nos gammes de services, de pénétrer de nouveaux marchés et de protéger nos droits de propriété intellectuelle; les risques liés à notre entreprise comme ceux associés à notre stratégie de croissance, y compris l’intégration de nouvelles activités, le risque financier et le risque opérationnel associés aux marchés internationaux, le risque de change, l’évolution des lois fiscales et autres programmes fiscaux, notre capacité à négocier des modalités contractuelles favorables, à offrir nos services et à recouvrer nos créances; les risques d’atteinte à notre réputation et risques financiers inhérents aux atteintes à la cybersécurité de CGI et à d’autres incidents, les risques financiers portant notamment sur les besoins et exigences en matière de liquidités, le maintien des ratios financiers et l’évolution de la solvabilité et des notes de crédit; de même que tous autres risques et hypothèses énoncés ou intégrés par renvoi dans ce communiqué de presse, les rapports de gestion annuels et trimestriels de CGI et les autres documents que nous publions, y compris ceux que nous déposons auprès des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (sur SEDAR à l’adresse www.sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (sur EDGAR à l’adresse www.sec.gov). Pour une discussion sur les risques en réaction à la pandémie du coronavirus (COVID-19), consultez la rubrique « Risques liés à la pandémie » à la section 10.1.1. de notre rapport de gestion annuel et à la section 8.1.1 du rapport de gestion trimestriel de CGI.

Sauf indication contraire, les informations et déclarations prospectives contenues dans ce communiqué de presse sont présentées en date des présentes, et CGI décline toute intention ou obligation de les mettre à jour ou de les réviser consécutivement à l’obtention de nouveaux renseignements ou à l’arrivée d’événements nouveaux, ou pour tout autre motif, sauf dans la mesure où les lois applicables ne l’exigent. Bien que nous sommes d’avis que les hypothèses sur lesquelles les informations et déclarations prospectives sont fondées semblaient raisonnables en date du présent communiqué de presse, le lecteur est mis en garde contre le risque de leur accorder une crédibilité excessive. Il convient aussi de rappeler que les informations et déclarations prospectives sont présentées dans le seul but d’aider les investisseurs et les autres parties à comprendre nos objectifs, nos priorités stratégiques et nos perspectives commerciales, ainsi que le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités.

Le lecteur est mis en garde contre le fait que ces informations et déclarations prospectives pourraient ne pas convenir à d’autres fins. Vous trouverez à la rubrique intitulée « Environnement du risque » dans les rapports de gestion annuels et trimestriels de CGI, intégrée par renvoi dans la présente mise en garde, de plus amples renseignements sur les risques pouvant faire en sorte que les résultats réels diffèrent de façon importante des attentes actuelles. Le lecteur est également prié de tenir compte du fait que les risques précités et ceux décrits dans les rapports de gestion annuels et trimestriels et autres documents de CGI ne sont pas les seuls risques susceptibles de nous toucher. D’autres risques et incertitudes dont nous ignorons actuellement l’existence ou que nous jugeons actuellement négligeables pourraient également avoir une incidence défavorable importante sur notre situation financière, notre performance financière, nos flux de trésorerie, nos activités commerciales ou notre réputation.

Pour plus d’information

Investisseurs
Kevin Linder
Vice-président principal, Finances et trésorerie et responsable des Relations avec les investisseurs
kevin.linder@cgi.com
+1-905-973-8363

Media
Giuseppina Forino
Relations investisseurs, Ouest et Sud de l’Europe
giuseppina.forino@cgi.com
+33 1 57 87 42 21

Lire le communiqué sur le site CGI

 

Publié Mis à jour 

À l'occasion de la journée internationale de la francophonie, dimanche 20 mars, reportage dans le Grand Nord canadien. Le Yukon est la troisième province où l’on parle le plus français dans le pays.

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Au Canada, le Yukon est une immense terre sauvage, où les rivières glacées se disputent aux étendues de sapins enneigés. Originaire d'Annecy (Haute-Savoie), Claude Vallier, ancien gendarme de haute-montagne, s'y est installé avec sa famille il y a 15 ans. Outre le rêve du Grand Ouest canadien, c'est la présence d'autres Français et de services francophones qui l'ont décidé à venir vivre dans le Yukon. C'est troisième province où l'on parle le plus français au Canada : 14 % de la population. Chaque année, le nombre de francophones ne cesse d'augmenter. Dans la capitale, Whitehorse, les élèves peuvent effectuer toute leur scolarité en français.

Faire vivre la culture française

Pour conserver cet enseignement entièrement en français et avoir les fonds nécessaires pour agrandir l'école, la commission scolaire a dû se battre pendant plus de dix ans, et porter son cas devant la Cour suprême canadienne. Un centre de la francophonie s'est installé à Whitehorse avec, sur les ondes, une émission de radio francophone diffusée dans tout le Canada. Mais ce dont les habitants francophones sont le plus fier, c'est le journal local, L'Aurore boréale, distribué depuis 39 ans. Il permet de construire et de renforcer l'identité culturelle des francophones. 

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23 MARS 2022
Quelles sont les incidences fiscales d'une expatriation au Canada et/ou d'un retour en France ? Les relations fiscales entre la France et le Canada sont régies par la convention du 2 mai 1975 ; sa lecture peut s'avérer complexe. Pour y voir plus clair, nous vous en présentons les principales dispositions concernant les personnes physiques et morales.

Impôts visés par la convention

Côté français, les impôts visés sont notamment l'impôt sur le revenu, l'impôt sur la fortune et l'impôt sur les sociétés. De plus, l'administration fiscale française considère que les contributions CSG/CRDS sont couvertes par la convention.

Côté canadien, l'impôt sur le revenu concerné est fédéral uniquement. Il existe donc un risque d'imposition supplémentaire au niveau des provinces, qui ne peut être gommé par la convention.

Une exception : la province du Québec avec laquelle la France a signé une entente le 1er septembre 1987, en vue d'éviter les doubles impositions et de prévenir l'évasion fiscale en matière d'impôts sur le revenu.

Personnes visées par l'accord

À moins que la convention n'en dispose autrement, les personnes visées sont les résidents de France et/ou du Canada, à savoir toute personne assujettie à l'impôt en raison de son domicile, de sa résidence, de son siège de direction, de son siège social ou de tout autre critère de nature analogue.

Ne sont pas concernées les personnes qui ne sont assujetties à l'impôt dans cet État que pour les revenus de sources situées dans cet État.

Détermination de la résidence fiscale

Des personnes physiques

En cas de conflit de résidence, celui-ci est réglé en appliquant de manière successive les critères retenus par la convention, à savoir :

  • Le foyer d'habitation permanent ;

  • Le centre des intérêts vitaux ;

  • Le lieu de séjour habituel ;

  • La nationalité ;

  • L'accord des autorités compétentes des deux pays.

Des personnes morales

Le conflit de résidence est tranché par les autorités compétentes.

Fiscalité des personnes physiques

Revenus d'activité :

  • Les rémunérations provenant d'un emploi salarié sont, de façon classique, imposables dans l'État d'exercice de l'activité professionnelle (sauf cas de missions temporaires).
  • Les jetons de présence sont imposables dans l'État de résidence de la société dont la personne est membre du conseil d'administration ou de surveillance.
  • Les retraites sont imposables dans l'État de source.

Revenus passifs :

  • Les revenus immobiliers sont imposables dans l'État de situation de l'immeuble.

  • Les dividendes sont imposables dans l'État de résidence du bénéficiaire. Ils peuvent faire l'objet d'une retenue dans l'État de la source, qui ne peut excéder 15% du montant brut de ces dividendes.

  • Les intérêts sont imposables dans l'État de résidence du bénéficiaire. Ils peuvent faire l'objet d'une retenue dans l'État de la source, qui ne peut excéder 10% du montant brut de ces intérêts.

  • Les plus-values immobilières sont imposables dans l'État de situation de l'immeuble.

  • Les plus-values mobilières issues de la cession d'actions ou de parts sont imposables dans l'État de résidence du bénéficiaire.

Impôt sur la fortune

L'article 22 de la convention traite de l'impôt sur la fortune, impôt en vigueur à l'époque de sa rédaction, mais s'applique également en matière d'impôt sur la fortune immobilière (IFI).

Cette disposition prévoit l'imposition de la fortune constituée par des biens immobiliers dans l'État de situation des biens. Il en est de même des actions ou parts de sociétés à prépondérance immobilière.

Elle prévoit également que les personnes physiques de nationalité canadienne n'ayant pas la nationalité française et qui deviennent résidentes de France sont exonérées de l'impôt sur la fortune au titre des 5 années qui suivent celles de leur installation en France, à raison uniquement des biens détenus hors de France (les biens immobiliers situés au Canada par exemple).

Fiscalité des entreprises

La convention reprend le critère de l'établissement stable permettant d'imposer les bénéfices provenant d'une activité commerciale ou industrielle au lieu d'exercice de ces activités et non au lieu de résidence de l'entreprise. Ainsi, dans le cas d'une entreprise établie en France qui exercerait tout ou partie de son activité au Canada où elle disposerait d'un établissement stable, les résultats issus de cette activité et rattachables à l'établissement stable seront imposables au Canada.

L'établissement stable se définit comme une installation dotée d'une certaine permanence.

Il peut s'agir notamment d'un siège de direction, d'une succursale ou d'un bureau.

Elimination des doubles impositions

Pour rappel, la convention fiscale répartit le droit d'imposer les revenus entre la France et le Canada. Cependant, en tant que résident fiscal d'un pays, cette personne doit y déclarer l'intégralité de ses revenus.

La convention France-Canada retient le crédit d'impôt comme méthode d'élimination des éventuelles doubles impositions.

Du côté français, la méthode de crédit d'impôt dépend de la nature du revenu :

  • soit un crédit d'impôt fictif qui annule l'impôt français, mais le revenu net est pris en compte pour le calcul de l'impôt sur les revenus imposables en France (exemple : revenus immobiliers de source canadienne);
  • soit un crédit d'impôt réel qui correspond à l'impôt canadien réellement perçu (exemple : dividendes ou intérêts de source canadienne).

L'impôt français s'entend de l'impôt sur le revenu et de la CSG/CRDS.

Droits de mutation à titre gratuit

Le Canada ne connaît pas les droits de mutation par décès (droits de succession) au niveau fédéral ou provincial. En revanche, le défunt est réputé avoir aliéné tous ses biens (immeubles, actions etc.) immédiatement avant son décès à leur valeur marchande. Ceci pouvant générer des plus-values latentes qui seront alors imposées.

Afin d'éviter une éventuelle double imposition (impôt canadien et droits de succession français), la convention franco-canadienne prévoit que :

  • Lorsque le défunt était résident fiscal canadien, les droits de succession dus en France en raison des biens situés en France sont déductibles de l'impôt canadien, et
  • Lorsque le défunt était résident fiscal de France, l'impôt canadien dû au titre des biens situés au Canada est déductible des droits de succession dus en France.

Dispositif de lutte contre l'évasion et la fraude fiscale

La convention dispose d'une clause d'assistance administrative en vue de lutter contre la fraude et l'évasion fiscales, mais non d'une clause d'assistance mutuelle en matière de recouvrement. Par conséquent, les redevables de l'exit tax ne peuvent bénéficier d'un sursis de paiement automatique, mais doivent fournir des garanties lors de leur départ de France.

Achevé de rédiger par Delphine Apostoly le 21/02/2022

dnca sommes nous a la veille d'un changement de cycle ?

Pour accéder au site, cliquez ICI.

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Publié le 5 avril 2022 I Fanny Lardillier

Ubisoft est une entreprise française de développement, d’édition et de distribution de jeux vidéo, implantée depuis 1997 au Québec.

Avec près de 4000 employés, Ubisoft Montréal est désormais le plus gros studio de développement de l’entreprise. Mais comment expliquer le succès de l’implantation d’Ubisoft au Québec ? Entretien avec Francis Baillet, vice-président aux affaires corporatives depuis 2013.

 

Francis Ubisoft​​​​​​

Français à l’étranger (F.A.E.) : Quels facteurs ont déterminé l’implantation d’Ubisoft à Montréal ?

Francis Baillet (F.B.) : Le premier facteur se situe du côté de la France avec cette envie de prendre de l’ampleur à l’international, d’avoir des équipes diversifiées dans le monde. D’un autre côté, cette volonté de s’implanter à l’international a trouvé au Québec un contexte politique favorable. L’ex-ministre de l’Économie, Bernard Landry, cherchait, au lendemain des années 90, à relancer l’économie. Le taux de chômage étant très élevé, il voulait rebâtir le Québec en misant sur les métiers d’avenir et avait alors identifié le secteur du jeu vidéo comme étant prometteur. L’implantation d’Ubisoft à Montréal est donc en partie due à cette volonté du gouvernement, notamment avec des crédits d’impôts très intéressant, ainsi qu’à celle de Yves Guillemot [NDLR : cofondateur Ubisoft] de miser sur le Québec avec des investissements importants.

F.A.E. : Comment expliquer le fait que le plus grand succès d’Ubisoft – Assassin’s Creed – soit né au Québec ?

F.B. : Le jeu ne doit pas seulement son succès à son implantation au Québec, il est né d’une collaboration entre Montréal et Paris grâce à un travail d’équipe de grande ampleur. Avant de devenir ce qu’Assassin’s Creed est aujourd’hui, le jeu devait faire partie de la série Prince of Persia, un des grands succès d’Ubisoft. Nous l’avons transformé et fait évoluer en un tout nouveau type de jeu. Un de nos autres succès qui nous a permis d’acquérir une certaine reconnaissance au Canada a été le jeu Splinter Cell, sorti en 2002.

F.A.E. : Comment se sont déroulés les débuts d’Ubisoft au Québec ?

F.B. : Nous avons été assez chanceux. Il y avait déjà une base de talents implantés au Québec dans d’autres secteurs, et un petit vivier pour supporter les produits d’animation. Parallèlement à cela, il y avait déjà, à Montréal, quelques étudiants spécialisés dans ce domaine. Nous avons su regrouper toutes ces sources de talents et avons décidé de miser sur la jeunesse. Pour faciliter la formation de cette relève, nous avons mis en place plusieurs collaborations avec des universités et des cégeps (Collèges d’enseignement général et professionnel) québécois. Le Québec compte aujourd’hui 314.000 étudiants dans les universités, dont 20.000 dans les technologies de l’information. Sur la période 2018-2020 nous avons embauché 613 stagiaires dont plus du quart ont été engagé à temps plein.

Enfin, nous avons toujours souhaité avoir une capacité d’attraction des travailleurs étrangers. La moitié d’entre eux est originaire de France. Par ailleurs, les premières années, nous avons fait venir un grand nombre de nos employés français pour former cette relève, dont la fondatrice du studio et le président-directeur général du studio de Montréal.

F.A.E. : Avez-vous des liens avec la chambre de commerce et d’industrie française de Montréal ?

F.B. : Nous sommes membres des deux chambres de commerce, en France et à Montréal, et également membres du recrutement des entreprises franco-québécoises. Nous collaborons aussi avec d’autres sociétés françaises, car nous ne voulons pas oublier nos racines.

F.A.E. : Pourquoi la grande majorité de vos studios est-elle située à Montréal ?

F.B. : Certes, le Canada compte de nombreux studios d’Ubisoft, mais il y en a aussi en Angleterre, en France et ailleurs. Chaque province du Canada est engageante et nous sommes très sollicités. Quand la croisée des chemins est bonne, nous choisissons de nous implanter et, ar ailleurs, aujourd’hui, les équipes de jeu ne sont plus cantonnées à leurs studios.

 

Propos recueillis par Fanny Lardillier

"Le Canada : une oasis en période de discorde"

 

Avantage Ontario : étudier dans un milieu véritablement bilingue et multiculturel

S'installer au Canada : réussir votre arrivée et votre installation

Une nouvelle vie au Canada ? Quelle région et quelle province choisir ? Quelles sont les modalités et exigences pour vivre au Canada ? Travailler, étudier ou entreprendre : quelles sont les formalités ? Comment étudier en français et en anglais au Canada ? Quel salaire pour vivre correctement ? Comment se loger seul ou en famille, ouvrir un compte bancaire à distance ? Inscrire ses enfants à l'école ? Le Figaro répond à vos questions.

 

Le Figaro: s'installer au Canada

Paris (France), 27 Avril 2022 
 

CGI (NYSE: GIB) (TSX: GIB.A) a annoncé aujourd’hui avoir conclu un accord en vue de l’acquisition, par l’entremise de sa filiale CGI France SAS (« CGI France »), de la totalité des actions de Harwell Management et de ses filiales. Harwell Management est un cabinet de conseil en management spécialisé dans les services financiers qui exerce principalement ses activités sur le marché français.

L’acquisition permettra à CGI d’accroître les capacités de CGI Business Consulting dans divers segments clés des services financiers, notamment les banques de détail, les services bancaires aux entreprises et banques d’investissement, les marchés de capitaux, les assurances et d’autres services bancaires spécialisés, tels que le trading d’énergie et la gestion des actifs.   

Fondée en 2009, Harwell Management compte environ 150 consultants qui accompagnent de grandes institutions financières dans la définition et la mise en œuvre de stratégies axées sur les résultats. Les équipes de Harwell Management se conforment à des réglementations en perpétuelle évolution, aident leurs clients à se démarquer de leurs concurrents et accélèrent leur transformation à travers la création de croissance durable et sur le long terme.

La signature de l’entente d’achat d’actions et la conclusion de l’acquisition n’auront lieu qu’à la fin des procédures d’information et de consultation des instances représentatives du personnel de Harwell Management et de CGI France.

« Nous avons hâte d’unir nos forces à celles de Harwell Management. Ensemble, nous offrons une solide expertise en conseil en management, un savoir-faire en matière de réglementations et des services digitaux innovants de bout en bout capables de soutenir nos clients sur l’ensemble de la chaine de valeur des services financiers », a souligné Laurent Gerin, président, Ouest et sud de l’Europe, CGI.

« Tout comme les 800 consultants de CGI Business Consulting, nous sommes enthousiastes à l’idée d’accueillir les 150 consultants de Harwell Management. Leur connaissance approfondie du secteur des services financiers, leur proximité avec les clients et leur approche éprouvée sont autant d’atouts qui permettront d’accélérer la croissance de l’offre de conseil en management de CGI en France et de consolider nos capacités partout dans le monde », a précisé Pierre-Dominique Martin, vice-président senior, CGI Business Consulting.

« Nous avons fondé Harwell Management avec l’ambition d’être le partenaire de choix des organisations du secteur financier. À ce titre, nous sommes fiers du parcours de notre entreprise et de la valeur qu’elle a apportée à nos clients au fil des ans. Grâce à notre fusion avec CGI, nos équipes et clients bénéficieront de nouvelles opportunités pour faire évoluer leurs entreprises et leurs carrières. Nous sommes ravis de nous joindre à CGI Business Consulting, avec qui nous partageons des valeurs communes et des capacités uniques et complémentaires », ont ajouté d’une seule voix Christophe Da Cunha et Franck Benzoni, fondateurs de Harwell Management.

 

À propos de CGI

Fondée en 1976, CGI figure parmi les plus importantes entreprises indépendantes de services-conseils en technologie de l’information (TI) et en management au monde. CGI compte 84 000 conseillers et autres professionnels établis partout dans le monde grâce auxquels l’entreprise offre un portefeuille complet de services et de solutions : des services-conseils stratégiques en TI et en management, de l’intégration de systèmes, des services en TI et en gestion des processus d’affaires en mode délégué ainsi que des solutions de propriété intellectuelle. La collaboration de CGI avec ses clients repose sur un modèle axé sur les relations locales, conjugué à un réseau mondial de prestation de services, qui permet aux clients de réaliser la transformation numérique de leur organisation et d’accélérer l’obtention de résultats. Au cours de l’exercice financier 2021, CGI a généré des revenus de 12,13 milliards $. Les actions de CGI sont inscrites à la Bourse de Toronto (GIB.A) ainsi qu’à la Bourse de New York (GIB). Apprenez-en davantage sur cgi.com.

 

Informations et déclarations prospectives

Ce communiqué de presse contient des « informations prospectives » au sens des lois canadiennes sur les valeurs mobilières ainsi que des « déclarations prospectives » au sens de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995 et des autres règles d’exonération américaines applicables. Ces informations et déclarations prospectives sont présentées et communiquées conformément aux règles d’exonération prévues dans les lois canadiennes et américaines sur les valeurs mobilières applicables. Ces informations et déclarations prospectives comprennent toutes les informations et déclarations relatives aux intentions, aux projets, aux attentes, aux opinions, aux objectifs, au rendement futur et à la stratégie de CGI, ainsi que toute autre information ou déclaration liée à des circonstances ou à des événements futurs qui ne concernent pas directement et exclusivement des faits historiques. Les informations et déclarations prospectives emploient souvent, mais pas toujours, des termes comme « croire », « estimer », « s’attendre à », « avoir l’intention », « envisager », « prévoir », « planifier », « prédire », « projeter », « viser à », « chercher à », « s’efforcer de », « potentiel », « continuer », « cibler », « peut », « pourrait », « devrait », ainsi que tout autre terme de nature semblable et toute autre forme conjuguée de ces termes. Ces informations et déclarations sont fondées sur notre perception des tendances historiques, de la situation actuelle et de l’évolution prévue des affaires, ainsi que d’autres hypothèses, tant générales que spécifiques, que nous jugeons appropriées dans les circonstances. Elles font toutefois, de par leur nature même, l’objet de risques et d’incertitudes intrinsèques sur lesquels CGI n’a, dans bon nombre de cas, aucune emprise, et en raison desquels les résultats réels pourraient différer considérablement des attentes exprimées ou sous-entendues dans ces informations et déclarations prospectives. Ces risques et incertitudes comprennent en particulier, mais sans s’y limiter : les risques liés au marché, comme l’intensité des activités de nos clients, qui est tributaire de la conjoncture économique et politique, les autres risques externes (comme les pandémies) et notre capacité à négocier de nouveaux contrats; les risques liés à notre secteur d’activité, comme la concurrence, et notre capacité d’attirer et de fidéliser du personnel compétent, de développer et d’élargir nos gammes de services, de pénétrer de nouveaux marchés et de protéger nos droits de propriété intellectuelle; les risques liés à notre entreprise comme ceux associés à notre stratégie de croissance, y compris l’intégration de nouvelles activités, le risque financier et le risque opérationnel associés aux marchés internationaux, le risque de change, l’évolution des lois fiscales et autres programmes fiscaux, notre capacité à négocier des modalités contractuelles favorables, à offrir nos services et à recouvrer nos créances; les risques d’atteinte à notre réputation et risques financiers inhérents aux atteintes à la cybersécurité de CGI et à d’autres incidents, les risques financiers portant notamment sur les besoins et exigences en matière de liquidités, le maintien des ratios financiers et l’évolution de la solvabilité et des notes de crédit; de même que tous autres risques et hypothèses énoncés ou intégrés par renvoi dans ce communiqué de presse, les rapports de gestion annuels et trimestriels de CGI et les autres documents que nous publions, y compris ceux que nous déposons auprès des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (sur SEDAR à l’adresse www.sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (sur EDGAR à l’adresse www.sec.gov). Les risques découlant de la pandémie de coronavirus (COVID-19) sont analysés à la rubrique intitulée Risques liés à une pandémie à la section 10.1.1. de notre rapport de gestion annuel de CGI et à la section 8.1.1. de notre rapport de gestion trimestriel de CGI. Sauf indication contraire, les informations et déclarations prospectives contenues dans ce communiqué de presse sont présentées en date des présentes, et CGI décline toute intention ou obligation de les mettre à jour ou de les réviser consécutivement à l’obtention de nouveaux renseignements ou à l’arrivée d’événements nouveaux, ou pour tout autre motif, sauf dans la mesure où les lois applicables ne l’exigent. Bien que nous sommes d’avis que les hypothèses sur lesquelles les informations et déclarations prospectives sont fondées semblaient raisonnables en date du présent communiqué de presse, le lecteur est mis en garde contre le risque de leur accorder une crédibilité excessive. Il convient aussi de rappeler que les informations et déclarations prospectives sont présentées dans le seul but d’aider les investisseurs et les autres parties à comprendre nos objectifs, nos priorités stratégiques et nos perspectives commerciales, ainsi que le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est mis en garde contre la possibilité que ces informations et déclarations prospectives puissent ne pas convenir à d’autres fins. Vous trouverez à la rubrique intitulée Environnement du risque dans les rapports de gestion annuels et trimestriels de CGI, intégrée par renvoi dans la présente mise en garde, de plus amples renseignements sur les risques pouvant faire en sorte que les résultats réels diffèrent de façon importante des attentes actuelles. Le lecteur est également prié de tenir compte du fait que les risques précités et ceux décrits dans les rapports de gestion annuels et trimestriels et autres documents de CGI ne sont pas les seuls risques susceptibles de nous toucher. D’autres risques et incertitudes dont nous ignorons actuellement l’existence ou que nous jugeons actuellement négligeables pourraient également avoir une incidence défavorable importante sur notre situation financière, notre performance financière, nos flux de trésorerie, nos activités commerciales ou notre réputation.

 

Pour plus d’information

Investisseurs

Kevin Linder
Vice-président principal, Finances et trésorerie, et responsable des Relations avec les investisseurs
kevin.linder@cgi.com
+1-905-973-8363

Médias 

Giuseppina Forino
Relations publiques, Ouest et sud de l’Europe
giuseppina.forino@cgi.com
+33 1 57 87 42 21

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Immétis Services Juridiques INC.

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Un taux de chômage qui n'est pas sans satisfaire le président canadien, Justin Trudeau. BLAIR GABLE / REUTERS

Le marché de l'emploi au Canada a stagné en avril après deux mois de forte croissance, mais la légère diminution du taux de chômage constitue une fois de plus record historique, a annoncé vendredi l'institut national de la statistique. Le pays a enregistré le mois dernier 15.300 nouveaux emplois, un nombre bien en deçà de ce qui était anticipé par les analystes.

«Après s'être établi à un creux record de 5,3% en mars, le taux de chômage a diminué légèrement de 0,1 point de pourcentage pour se chiffrer à 5,2% en avril», a annoncé Statistique Canada dans un communiqué.

Les hausses de l'emploi ont notamment été observées dans les services professionnels, scientifiques et techniques. Ces augmentations ont été contrebalancées par les baisses enregistrées dans le secteur de la construction et du commerce de détail.

Un taux de chômage au plus bas

Chez les Canadiens âgés entre 25 et 54 ans, le taux de chômage de 4,3% n'a jamais été aussi bas. «La création d'emplois a encore une fois été tirée par le secteur des services qui continuent de profiter de la réouverture des entreprises», a réagi Royce Mendes, économiste chez Desjardins, dans une note, précisant que les 15 300 emplois créés en avril représentaient «moins de la moitié» de ce qui était prévu dans les projections. «Les données d'aujourd'hui sont peut-être un signe que les hausses des taux créent plus de tort à l'économie canadienne que ce qu'on observe au sud de la frontière américaine», écrit-il.

«Le rapport sur l'emploi, légèrement plus faible qu'anticipé, ne change pas la vue d'ensemble d'un marché du travail beaucoup plus fort qu'au début de l'année», a pour sa part commenté Andrew Grantham, de CIBC Economics, affirmant que le marché de l'emploi actuel «ne devrait pas dissuader la Banque du Canada d'augmenter de nouveau (son taux) de 50 points de base». L'annonce du prochain taux directeur de la banque centrale du Canada doit avoir lieu le 1er juin. À la mi-avril, la Banque a relevé son taux de 0,5% à 1%.

La publication de ces données sur l'emploi survient peu de temps après que l'institut national a rendu publiques des statistiques à propos d'une «vague record» de départs à la retraite bientôt observable au Canada. «Jamais auparavant le nombre de personnes près de la retraite n'a été aussi élevé», écrivait Statistique Canada la semaine dernière, ajoutant que le vieillissement de la main-d’œuvre est l'un des facteurs à l'origine de la pénurie de personnel partout dans le pays.

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Publié le  I Par 

Depuis quelques années le gouvernement canadien souhaite faire bénéficier aux petites communautés rurales et du Nord du Canada des avantages de l’immigration économique par la mise en place d’un programme pilote

Canada : l’accès à la résidence permanente pour attirer les travailleurs qualifiés

L’immigration au Canada est souvent associée aux grandes zones urbaines, au détriment des communautés rurales. Une brèche dans le système d’immigration du Canada qui s’explique notamment par le fait que dans ces zones « les services essentiels aux immigrants sont beaucoup moins développés et où de plus grandes distances géographiques entravent les efforts de soutien aux immigrants », ont déclaré les auteurs d’une récente étude parue dans Le Journal du Développement Rural et Communautaire.

Le programme pilote d’immigration dans les communautés rurales et du Nord est une initiative du gouvernement canadien pour faciliter l’accès à la résidence permanente au bénéfice des travailleurs étrangers qualifiés qui souhaitent vivre et travailler dans l’une des communautés participantes.

Elles sont onze au total :

Depuis le 30 avril dernier, les frais concernant les demandes de résidence permanente ont augmenté. Cette augmentation mise en place par l’IRCC (Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada) tient compte de l’inflation. Cet ajustement a lieu tous les deux ans depuis 2020.

La liste des anciens et nouveaux tarifs est disponible sur le site canada.ca.

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CommuniquésFinance durable | 02 mai 2022

BMO et EDC annoncent une collaboration pour présenter des solutions de financement durable aux entreprises canadiennes

  • •La collaboration créera des solutions pour aider les moyennes et grandes entreprises canadiennes des secteurs à fortes émissions de carbone à adopter un modèle d'affaires plus durable.

  • •Parallèlement à l'engagement du Canada à atteindre la carboneutralité d'ici 2050, les exportateurs canadiens directs, indirects et futurs peuvent explorer des solutions de capital abordables pour atteindre leurs objectifs climatiques et effectuer une transition plus efficace vers la carboneutralité.

MONTRÉAL, le 2 mai 2022 /CNW/ - BMO Groupe financier et Exportation et développement Canada (EDC) ont annoncé aujourd'hui un accord visant à offrir des solutions de financement durable aux moyennes et grandes entreprises exportatrices canadiennes, afin de les aider à passer d'activités à fortes émissions de carbone à des activités pouvant éliminer ou réduire considérablement les émissions. Dans le cadre de cet accord, BMO est la première institution financière à offrir la nouvelle garantie de financement durable (la garantie) d'EDC, un produit disponible dans le cadre du programme de financement durable d'EDC, une source de financement clé pour offrir le soutien dont les entreprises canadiennes auront besoin.

« Dans le cadre de sa raison d'être, qui consiste à avoir le cran de faire une différence dans la vie, comme en affaires, BMO s'engage à être le principal partenaire de ses clients dans leur transition vers un monde carboneutre, a déclaré Jonathan Hackett, chef, Finance durable et cochef, Transition énergétique, BMO Groupe financier. Aider nos clients à s'adapter et à prospérer tout au long de la transition nécessite une approche réfléchie, équilibrée et accélérée, fondée sur la science, le bon sens et des solutions audacieuses, mais pratiques. L'offre élaborée avec EDC représente l'une des stratégies innovantes qui nous aideront à atteindre ces objectifs importants. »

La garantie est une solution de partage des risques élaborée conjointement pour accroître la capacité des institutions financières canadiennes, comme BMO, à fournir aux entreprises engagées dans les secteurs admissibles des prêts et du financement qui soutiennent leurs initiatives de réduction de carbone. Le programme fournira le financement initial d'un milliard de dollars au cours des trois prochaines années pour soutenir des initiatives durables, dont l'hydrogène, les infrastructures renouvelables et la modernisation des réseaux dans neuf secteurs à forte intensité de carbone. EDC garantira jusqu'à 50 pour cent du prêt à terme de BMO, jusqu'à concurrence de 60 millions de dollars américains par débiteur, pour une période pouvant aller jusqu'à sept ans, ce qui donnera à BMO plus de capacité pour soutenir la transition vers une économie à faibles émissions de carbone et la croissance des exportations de ses clients exportateurs.

« Nous comprenons l'urgence de lutter contre les changements climatiques et, en tant qu'organisme canadien de crédit à l'exportation, nous avons un rôle à jouer, a précisé Justine Hendricks, première vice-présidente et chef du développement durable, commerce durable et facilitation des affaires à EDC. En travaillant avec les institutions financières canadiennes comme BMO, nous pouvons aider les entreprises canadiennes à accéder au financement dont elles ont besoin pour participer à cette importante transition au Canada et dans le monde entier. Avec l'engagement d'EDC à atteindre la carboneutralité d'ici 2050, les deux organisations ouvrent la voie pour aider les entreprises à innover et à réaliser une croissance commerciale à long terme d'une manière durable, équitable et conforme à un avenir à faible émission de carbone.

L'engagement de BMO envers la finance durable et ses efforts pour aider les entreprises canadiennes à s'adapter et à rester concurrentielles dans une économie mondiale en constante évolution s'alignent sur les objectifs d'EDC, ce qui en fait un choix naturel pour lancer cette importante initiative, a poursuivi Mme Hendricks. À l'avenir, alors que nous continuons à développer notre volet de financement durable, nous sommes impatients de travailler avec d'autres institutions financières pour aider les entreprises canadiennes à soutenir la transition vers la carboneutralité. » 

Pour en savoir plus sur cette offre, les clients doivent communiquer avec leur représentant de BMO ou envoyer un courriel à finance.durable@bmo.com.

BMO et le développement durable

Carboneutre dans ses activités depuis 2010, BMO a annoncé son ambition climatique en mars 2021 avec un engagement à offrir 300 milliards de dollars en prêts et en prises fermes durables d'ici 2025 aux entreprises qui visent des résultats durables. BMO vise à être le principal partenaire de ses clients dans leur transition vers un monde carboneutre et, depuis décembre 2019, la Banque a octroyé des prêts verts et liés à la durabilité à des entreprises de divers secteurs qui visent des objectifs tels que le développement durable, la diversité et la santé et la sécurité. Pour aider les clients dans leur quête d'occasions stimulées par l'élan croissant de la transition de l'économie mondiale en matière de production et de consommation d'énergie, en 2021, BMO a mis sur pied l'équipe Transition énergétique et l'Institut pour le climat de BMO.

Le leadership de BMO en matière de durabilité a été reconnu dans de nombreux classements, dont la liste du Wall Street Journal des 100 sociétés les mieux gérées de manière durable au monde, le palmarès des 100 sociétés les plus durables au monde de Corporate Knights, l'indice de durabilité Dow Jones Sustainability World Index et la liste des entreprises les plus éthiques au monde de l'Ethisphere Institute.

Pour plus d'informations sur l'engagement de BMO en faveur d'un avenir durable, veuillez consulter le Rapport de durabilité. Pour de plus amples renseignements sur la finance durable à BMO, cliquez ici. Pour plus d'information sur l'ambition climatique de BMO, veuillez consulter notre page Changements climatiques.

EDC et le développement durable

EDC croit que les pratiques durables sont essentielles au succès des entreprises canadiennes ainsi qu'à la compétitivité et à la prospérité du Canada sur la scène internationale.

La société s'est engagée dans cette voie il y a plus de vingt ans, lorsqu'elle a commencé à élaborer des pratiques internes de gestion des risques autres que de crédit. Depuis, elle est devenue l'un des plus importants bailleurs de fonds des technologies propres au Canada, a été la première institution financière canadienne à émettre une obligation verte et le premier organisme de crédit à l'exportation à s'engager à atteindre la carboneutralité d'ici 2050.

Aujourd'hui, elle continue à faire des progrès tangibles vers son objectif de carboneutralité et à agir en tant que rassembleur et partenaire des nombreuses parties prenantes qui seront nécessaires pour faire de la carboneutralité une réalité pour le Canada et les entreprises canadiennes.

À propos de BMO Groupe financier

Depuis plus de 200 ans et toujours là pour ses clients, BMO est un fournisseur de services financiers hautement diversifiés − la huitième banque en importance pour son actif en Amérique du Nord. Fort d'un actif de 1,02 billion de dollars au 31 janvier 2022 et d'un effectif mobilisé et diversifié, BMO offre à plus de 12 millions de clients une vaste gamme de produits et de services dans les domaines des services bancaires aux particuliers et aux entreprises, de la gestion de patrimoine et des services de banque d'affaires par l'entremise de trois groupes d'exploitation : Services bancaires Particuliers et entreprises, BMO Gestion de patrimoine et BMO Marchés des capitaux.

À propos d'EDC

Société d'État à vocation financière, Exportation et développement Canada (EDC) aide les entreprises canadiennes de toutes tailles à réussir à l'étranger. En tant qu'experts du risque international, nous leur offrons les outils dont elles ont besoin - savoir commercial, solutions de financement et d'assurance, placements en capitaux propres et réseaux de relations - pour prospérer en toute confiance. Dans la conduite de ses affaires, EDC souscrit aux principes de la durabilité et de la responsabilité des entreprises.   

Internet :

www.bmo.com 
www.edc.ca        

Twitter :

@BMOMedia 
@ExportDevCanada    

SOURCE BMO Groupe Financier

Pour plus de renseignements: Requêtes médias : BMO Groupe financier : Marie-Catherine Noël, Relations avec les médias, MarieCatherine.Noel@bmo.com, 514-877-8224; Exportation et développement Canada : media@edc.ca, 888-222-4065

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Gowling WLG
 

Sodexo

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                      JEAN-CLAUDE BROGNAUX

 

                Les membres du comité exécutif de la Chambre de commerce France-Canada ont appris avec tristesse le décès, le 17 mai, de Jean-Claude Brognaux, qui présida la CCFC de 2003 à 2007.

                Jean-Claude Brognaux était un grand industriel. Il a longtemps présidé le conseil d’administration de la Compagnie française des papiers de presse, qui réunissait les dirigeants des grands quotidiens régionaux et la plupart de ceux des journaux nationaux. Il a également été directeur général de la Société professionnelle des papiers de presse.

                 Il s’est pleinement engagé dans son mandat à la tête de la CCFC, à laquelle il a donné un nouveau dynamisme, et dont il a professionnalisé la gestion, accru le rayonnement et redressé la situation financière. Il fédérait autour des initiatives de la Chambre des entreprises des deux côtés de l’Atlantique. Il a développé événements thématiques et soirées de réseautage, souvent dans des lieux prestigieux jusqu’alors inaccessibles aux entreprises. Il a construit avec l’ambassade du Canada une relation de confiance et une étroite coopération qui ont été déterminantes pour l’essor de la Chambre.

                 Jean-Claude Brognaux s’est attaché à donner tout son sens à la mission de la Chambre : créer des liens entre entreprises françaises et canadiennes, être un lieu convivial de partage d’expériences, bâtir une véritable communauté d’affaires franco-canadiennes. Il alliait à ses qualités de manager une élégance, une courtoisie, une fidélité en amitié qu’il a mises au service de la relation franco-canadienne.

                 Il a été un grand président.

                Au nom de la Chambre, le comité exécutif exprime à la famille de Jean-Claude Brognaux ses sincères condoléances.

                

     

(AOF) - Gaussin a signé avec Charbone Hydrogen un accord exclusif d'une durée de 20 ans portant sur l'assemblage local et la commercialisation de véhicules APM et ATM zéro émission au Canada.

Gaussin renforce son activité en Amérique du Nord
Pixabay

Publié le 

 Le contrat inclut un droit d'entrée initial de 10 millions d'euros comprenant tous les coûts, y compris les coûts de développement déjà comptabilisés pour le développement des produits Gaussin, des redevances de 5% pour les développements futurs et une exclusivité couvrant le Canada.

En complément, les deux sociétés ont décidé de créer une joint-venture afin d'assurer le succès à long terme du partenariat et d'accélérer le déploiement des véhicules Gaussin smart et sans émission sur le territoire canadien.

© AOF

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Publié le 27 mai | LA PRESSE | 

Joël-Denis BellavanceJOËL-DENIS BELLAVANCE   

Mélanie Marquis MÉLANIE MARQUIS 

(Ottawa) L’ancien ministre des Affaires étrangères Stéphane Dion deviendra le nouvel ambassadeur du Canada à Paris, a appris La Presse de nombreuses sources. Le premier ministre Justin Trudeau doit confirmer cette nomination diplomatique d’ici quelques jours.

PHOTO HUGO-SEBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE

Stéphane Dion, en juillet 2019

M. Dion, qui est ambassadeur du Canada en Allemagne depuis 2017, continuera donc sa carrière de diplomate canadien en Europe. Son mandat à Berlin devait prendre fin cet été.

Le poste d’ambassadeur du Canada dans la capitale française est vacant depuis presque un an. Dans les coulisses, on s’explique mal pourquoi le gouvernement Trudeau a mis autant de temps à pourvoir un poste aussi névralgique au sein de la diplomatie canadienne. D’autant que le président français Emmanuel Macron a été mandaté par ses pairs du G7 pour agir à titre d’interlocuteur auprès de la Russie au nom de l’organisation qui regroupe le Canada, les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, l’Italie et le Japon.

 

PHOTO BENOIT TESSIER, ARCHIVES REUTERS

Le président français Emmanuel Macron

On s’interroge aussi sur cette pratique de nommer d’anciens ministres à des postes aussi importants au lieu de les offrir à des diplomates de carrière. « Il n’y avait pas de Claude Laverdure, de Marc Lortie ou de Raymond Chrétien disponibles ? Cela s’explique parce qu’il n’y a pas eu de diplomate francophone promu depuis 10 ans pour avoir cette option », s’est désolée une source au ministère des Affaires étrangères.

Parmi les chancelleries du Canada, Paris, Washington et Londres font partie des postes diplomatiques les plus importants. À cette courte liste, il faut aussi ajouter le poste d’ambassadeur du Canada auprès des Nations unies, à New York, et le poste d’ambassadeur du Canada à Pékin, en Chine, un pays qui est devenu au cours des dernières années la deuxième puissance économique après les États-Unis.

Renforcer les relations

Il y a quelque temps que le choix de la personne qui s’installera rue du Faubourg-Saint-Honoré est fait, mais on attendait que la présidentielle française soit chose du passé avant de procéder officiellement à cette prestigieuse nomination. Le deuxième tour de l’élection présidentielle, remporté par Emmanuel Macron, a eu lieu le 24 avril.

Justin Trudeau s’est entretenu avec son homologue français dans les jours qui ont suivi sa réélection.

« J’ai hâte de continuer à travailler avec le président Macron sur les enjeux les plus importants pour les Canadiens et les Français. Il s’agit notamment de défendre la démocratie, les droits de la personne et le système international fondé sur des règles face à l’invasion illégale, non provoquée et injustifiable de l’Ukraine par la Russie », avait d’ailleurs réagi Trudeau à la suite de la victoire de M. Macron.

En ces temps incertains, renforcer les relations entre les pays est une priorité absolue. Le Canada et la France vont continuer à travailler ensemble pour défendre leurs valeurs communes et construire un avenir prospère pour les gens des deux pays.

Justin Trudeau, premier ministre du Canada

Le premier ministre avait tenté de pourvoir le poste à Paris en l’offrant à l’ex-ministre des Affaires étrangères Marc Garneau, qu’il avait éjecté de son cabinet après les élections d’octobre dernier. L’offre avait été refusée « pour toutes sortes de raisons », avait indiqué un mois plus tard le député de Notre-Dame-de-Grâce–Westmount. M. Garneau, qui a aussi été ministre des Transports pendant près de six ans avant d’être muté aux Affaires étrangères en janvier 2021, a insisté pour terminer son mandat de député.

Résultat : la chaise à Paris est vide depuis le départ d’Isabelle Hudon, qui l’occupait depuis 2017. À la fin d’avril 2021, elle s’est vu confier par Justin Trudeau le rôle de patronne de la Banque de développement du Canada.

 

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

Isabelle Hudon

Rentrée au pays en juillet dernier, elle avait commencé à faire ses bagages bien avant. À ce jour, elle est toujours sherpa pour la Francophonie – une situation qui ne fait guère l’unanimité au sein du ministère des Affaires étrangères, selon nos informations.

« Tâche colossale »

Stéphane Dion a été dépêché à Berlin après avoir lui aussi été exclu du Conseil des ministres par Justin Trudeau, remplacé aux Affaires étrangères par Chrystia Freeland en janvier 2017 dans la foulée de l’arrivée de Donald Trump à Maison-Blanche. Il avait aussitôt quitté la politique pour ensuite reprendre du service comme diplomate.

« M. Dion aura une tâche colossale à rebâtir des relations avec le gouvernement français et à gérer une mission sans capitaine depuis beaucoup trop longtemps », a avancé une source qui œuvre dans le monde diplomatique et qui a requis l’anonymat parce qu’elle n’était pas autorisée à parler publiquement de cette nomination.

Stéphane Dion détient la citoyenneté française. Tout indique qu’il pourrait devoir y renoncer avant d’arriver à Paris. En effet, le gouvernement français est peu enclin à déroger à la règle selon laquelle un citoyen français ne peut représenter un pays étranger dans la capitale française.

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Par Le Figaro avec AFP


Le premier ministre canadien Justin Trudeau a annoncé lundi 31 mai un projet de «gel national de la possession d'armes de poing», après les récentes tueries aux États-Unis voisins.

Le premier ministre canadien Justin Trudeau. BLAIR GABLE / REUTERS

 

À LIRE AUSSITuerie au Texas: «Pour une partie des Américains, y compris démocrates, l'arme à feu est un objet culturel»

Ce projet doit encore être soumis au Parlement, où le Parti libéral de Justin Trudeau est minoritaire. «Nous introduisons une législation pour appliquer un gel national sur la possession d'armes de poing», a déclaré le premier ministre lors d'une conférence de presse, qu'il a donné en compagnie de plusieurs dizaines de proches de victimes de violences armées. «Cela signifie qu'il ne sera plus possible d'acheter, vendre, transférer ou importer des armes de poing où que ce soit au Canada», a-t-il ajouté.

Le Canada avait déjà interdit 1.500 modèles d'armes à feu de type militaire après une tuerie en avril 2020, la pire de l'histoire du pays, qui avait fait 23 morts en Nouvelle-Écosse (est). Le ministre de la Sécurité publique Marco Mendicino estime qu'environ un million d'armes de poing circulent dans le pays, dont beaucoup sont importées illégalement des États-Unis. «La violence armée est un problème complexe», a déclaré Justin Trudeau. «Mais au bout du compte, le calcul est en réalité fort simple: moins il y aura d'armes à feu dans nos communautés, et plus chacun sera en sécurité», a-t-il ajouté.

À LIRE AUSSILe Canada bannit les fusils d'assaut après la pire tuerie de son histoire

Cette annonce intervient après le massacre de l'école d'Uvalde, au Texas, dans lequel ont péri 19 enfants âgés de 9 à 11 ans ainsi que deux enseignantes sous les balles d'un adolescent ayant légalement acheté un fusil d'assaut. Le projet de loi canadien prévoit aussi d'empêcher quiconque est impliqué dans des violences domestiques d'obtenir un permis de port d'arme, et de durcir les peines pour le trafic d'armes. Les chargeurs de fusils pouvant contenir plus de cinq balles seront également interdits.

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PHOTO SIMON GIROUX, ARCHIVES LA PRESSE | L’ex-chef du Parti libéral Stéphane Dion

(Ottawa) Le premier ministre Justin Trudeau annonce la nomination de Stéphane Dion comme ambassadeur du Canada en France.

PHOTO SIMON GIROUX, ARCHIVES LA PRESSE

L’ex-chef du Parti libéral Stéphane Dion

(Ottawa) Le premier ministre Justin Trudeau annonce la nomination de Stéphane Dion comme ambassadeur du Canada en France.

LA PRESSE CANADIENNE

M. Dion demeure l’envoyé spécial du premier ministre auprès de l’Union européenne et de l’Europe, poste qu’il occupe depuis 2017, peut-on lire dans le communiqué publié mercredi. Il sera également accrédité auprès de Monaco.

L’ex-ministre fédéral a récemment occupé le poste d’ambassadeur du Canada en Allemagne.

M. Dion avait été élu député fédéral en 1996, puis réélu à sept reprises. Il a également été chef du Parti libéral de 2006 à 2008.

En tant que principal diplomate canadien en France et en Europe, M. Dion « représentera le gouvernement du Canada, poursuivra le renforcement de nos relations bilatérales et fournira des conseils stratégiques au premier ministre », indique le communiqué du bureau du premier ministre.

M. Trudeau a profité de l’occasion pour remercier Isabelle Hudon de sa contribution aux relations entre le Canada et la France à titre d’ambassadrice du Canada en France de 2017 à 2021.

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Institut de Leadership

Institut de Leadership

Discours de Stéphane Lambert, Chargé d'Affaires a.i., ministre-conseiller (commerce/économie/relations universitaires) à l'Ambassade du Canada
Discours de Daniel Jouanneau, président de la Chambre de Commerce France-Canada

Nous remercions nos sponsors:


  

 

Retour sur ... La soirée d'été de la Chambre de Commerce France-Canada

 


Crédit photos: Benoit Diacre

 

 

Crédit photos: Benoit Diacre

  


   
Crédit photos: Benoit Diacre

LE DISCOURS PRONONCÉ FAIT FOI

 

MOT D’OUVERTURE DE STEPHANE LAMBERT 
Ministre-conseiller  (commerce/économie/relations universitaires) à l'Ambassade du Canada
Chargé d'affaires a.i.

 

À L’OCCASION DU COCKTAIL D'ÉTÉ

CHAMBRE DE COMMERCE FRANCE-CANADA

Lundi 7 juin 2022

Résidence Officielle, Paris

 

Mesdames et messieurs les présidents et directeurs-généraux,

Cher Daniel, Chère Caroline, de la Chambre de commerce France-Canada

Chers amis,

 

Je vous souhaite à toutes et à tous la plus chaleureuse des bienvenues à la Résidence Officielle du Canada.

Je me réjouis de vous voir si nombreux ce soir pour célébrer les liens historiques, culturels et économiques qui unissent la France et le Canada. Votre présence en si grand nombre est le témoignage le plus éloquent de l’importance de notre partenariat, et du désir de voir nos liens s’affirmer et se renforcer en ces temps incertains. J’en profite pour féliciter la Chambre qui a su maintenir nos liens sociaux et commerciaux pendant ces deux ans où nos activités ont été fortement perturbées et nos capacités à resauter restreintes.

Cette soirée nous donne l’occasion de prendre le pouls de mi-année, avant la pause estivale, et de préparer ce qui s’annonce être une deuxième moitié chargée à bien des égards.

D’abord, les liens forts que nos pays ont tissés dans la lutte contre la COVID, la collaboration face à l’agression russe en Ukraine et sur des enjeux de l’heure tels la sécurité énergétique et alimentaire, sont l’occasion d’un engagement confirmé, renouvelé dans nos relations.

Le mois dernier, l’appel entre le Premier ministre et le Président Macron suite à sa réélection a permis de réaffirmer la volonté de nos deux pays de redynamiser notre relation bilatérale, notamment à travers la tenue prochaine d’un Conseil des ministres conjoints inaugural.

Ce sera aussi bientôt, en août 2022, la commémoration du 80e anniversaire du raid sur Dieppe. En à peine neuf heures de combat, une force constituée de près de 5 000 Canadiens déplorera plus de 800 morts. Au total, les deux tiers des hommes de cette force seront tués, blessés ou capturés dans cet épisode, sans doute le plus sombre de la Seconde Guerre mondiale pour le Canada. 

Ce sera aussi en septembre le 5e anniversaire du CETA, l’entente la plus ambitieuse que le Canada et l’Union Européenne aient signée dans de multiples domaines.
Malgré les énormes défis posés par la pandémie, le CETA a fonctionné comme prévu et a démontré des avantages pour les économies française et canadienne : en 2021, le commerce bilatéral de marchandises entre le Canada et la France a atteint 8,1 milliards d’euros, soit 24,8 % de plus qu’en 2016.

Le CETA a prouvé qu’il a servi de fondement pour renforcer la résilience de nos chaînes d’approvisionnement, qui ont su résister aux chocs de la COVID, aux aléas des grandes tensions et bouleversements mondiaux. Nous voyons, avec la guerre en Ukraine et le recours à la coercition économique, les avantages du commerce entre partenaires de confiance soutenu par une entente-cadre qui se veut transparente, prévisible et fiable, et qui tient compte de nos valeurs partagées.

Vous tous, gens d’affaires, avez un rôle à jouer dans la promotion de l’Accord.

Finalement, l’année 2022 verra l’arrivée du nouvel Ambassadeur du Canada en France et à Monaco, en l’occurrence l’Honorable Stéphane Dion, dont la nomination est maintenant officielle.

Envoyé spécial du Premier ministre auprès de l’Union européenne et de l’Europe, Stéphane Dion était aussi jusqu’à présent comme vous le savez sans doute Ambassadeur du Canada auprès de la République fédérale d’Allemagne.

Sa vaste expérience fait de sa nomination une excellente nouvelle pour continuer à renforcer les relations d’amitié et de partenariats stratégiques entre le Canada et la France, dans un moment clé marqué par le climat international que l’on sait et par des renouvellements majeurs en France.

Je ne manquerai pas de revenir vers la Chambre pour procéder le moment venu aux introductions.

J’aimerais souligner la présence parmi nous de plusieurs de mes collègues de l’ambassade. Monsieur Olivier Jacques, ministre-conseiller à l’immigration, Guillaume Boissy et Caroline Mourant de l’équipe commerce et investissement ; puis Katia Lapeyre et Marie Cousin de l’équipe communication de l’ambassade, sont présents ce soir. N’hésitez pas à aller à leur rencontre et faire part de vos idées.

J’aimerais aussi souligner la présence de plusieurs membres de la Délégation Générale du Québec à Paris, dont Julien Cormier, premier conseiller aux affaires économiques.

En terminant, je voudrais souligner le travail formidable réalisé par la Chambre dans l’organisation de cette soirée, et plus globalement sa contribution importante au renforcement des liens d’affaires entre nos deux pays depuis maintenant 66 ans.

Merci Daniel, à vous et à votre équipe, merci Caroline de tous ces efforts et merci aux membres actuels et passés du Comité exécutif.

Je vous remercie et vous souhaite à toutes et à tous une excellente soirée.

 

 


Discours de Daniel Jouanneau 
Président de la Chambre de Commerce France-Canada

 

Mardi 7 juin 2022

Le mot du président

 

Après deux années très difficiles pour tous, la Chambre peut enfin reprendre la mission qui est depuis l’origine au cœur de son ADN : permettre aux entrepreneurs français et canadiens de se rencontrer pour partager leurs expériences, développer les réseaux. La grande réception offerte le 7 juin à la résidence officielle du Canada a marqué un nouveau départ. Deux autres suivront d’ici la fin de l’année.

Nous avons plusieurs raisons d’envisager l’avenir avec confiance.

La Chambre a surmonté la crise, et nous sommes très reconnaissants aux membres qui nous sont restés fidèles tout au long de cette période. A travers la dizaine de webinaires organisés en 2020 et 2021, la Chambre a permis à de hautes personnalités canadiennes, responsables politiques ou grands chefs d’entreprise, de s’adresser à la communauté d’affaires française. Elle a gagné en visibilité au Canada, notamment dans les provinces anglophones, en s’appuyant sur nos consuls généraux et sur les services économiques de l’Ambassade de France à Ottawa.


La pandémie n’a pas empêché les échanges commerciaux de continuer à croître, et il en a été de même pour les investissements. Investissements français au Canada, certains majeurs, comme le rachat de Harwell par CGI, et de Kaycan par Saint-Gobain. Expansion de la capacité de production de Stellantis en Ontario, et renforcement d’Orano dans le capital des mines d’uranium de Saskatchewan. Mais aussi dans l’autre sens : selon le rapport annuel de BusinessFrance, 55 projets d’investissements canadiens en France ont été concrétisés en 2021, ce qui veut dire que plus d’un investissement étranger en France sur deux, l’an dernier, était canadien. Medicom, PremierTech, Ulula par exemple, sont des investissements industriels qui créent des emplois, 50 ici, 150 là, souvent dans des régions qui en ont grand besoin et dans des domaines de haute technologie.
 

C’est la preuve que le CETA, cinq ans après son entrée en vigueur, produit tous ses effets.

Pour expliquer les opportunités offertes par l’accord, nous organisons de nouveau, dans les grandes métropoles de province, avec Business France et les CCI territoriales (teams France export), des « matinées Canada ». Avec un groupe d’experts dont plusieurs viennent chaque fois de Montréal, nous apportons aux entreprises des informations et des conseils très pratiques sur la manière de réussir une implantation au Canada : stratégies d’implantation (Dentons Canada), spécificité des systèmes bancaire (Desjardins) et comptable (BFL CPA) canadiens ; communication (agence Zone Franche).   Récemment, nous avons rassemblé à Lille, Lyon et Nice près d’une centaine de PME au total, qui venaient nous voir une fois les présentations faites pour nous dire : « Je n’y avais pas pensé, mais pourquoi pas le Canada ? »

Avec la guerre en Ukraine, des marchés à l’Est et à la périphérie de l’Union européenne devenus plus incertains, dans un paysage commercial international de plus en plus fragmenté, et dont la géopolitique donnera le cap, l’espace économique Union européenne-Canada offre un très grand marché, très ouvert, avec des règles du jeu claires, stables, prévisibles. Un espace rassurant.

 

Enfin, sur le plan politique, les relations entre Paris et Ottawa ne peuvent être meilleures. Bien que minoritaire, le gouvernement de M. Justin Trudeau a conclu avec l’un des partis d’opposition, le NPD, une entente lui permettant de gouverner jusqu’à la fin de son mandat en 2025. Ce qui veut dire qu’il n’y aura pas de nouvelle élection fédérale dans les trois prochaines années. Une stabilité dans la relation avec le Canada est bienvenue dans ces temps incertains et permettra de renforcer les partenariats avec la France et l’Union européenne dans tous les domaines.


M. Trudeau vient de nommer ambassadeur en France une personnalité de tout premier plan au Canada, l’honorable Stéphane Dion. C’est un choix qui démontre l’importance que le Premier ministre attache à la relation avec notre pays, et qui nous honore.  Québécois, d’abord professeur de droit à l’Université de Montréal, M. Stéphane Dion a eu un long parcours politique : élu et réélu député libéral de Montréal à cinq reprises, trois fois ministre fédéral, chef du parti libéral. Il a donc une connaissance exceptionnelle de son pays, d’un océan à l’autre. De mère française, titulaire d’un doctorat de Sciences-Po Paris, il connaît remarquablement le nôtre.  Je sais qu’il aura à cœur de poursuivre avec la CCCF le travail en commun exemplaire que nous menons avec l’Ambassade du Canada, en particulier son excellent service économique et commercial.


Dernière raison, pour notre comité exécutif, de regarder l’avenir avec optimisme : le nombre de nos adhérents recommence à augmenter ; des membres qui s’étaient désengagés pendant cette longue période sans événements reviennent à la Chambre ; de nouveaux membres nous ont rejoints. Le statut récemment créé de partenaire a tout de suite intéressé nos membres. Je salue nos 11 premiers partenaires :  Adaming, Dentons, Gowling, Technicolor, BCE Global, filiale de Bell Canada, Immetis, Institut de leadership, partenaires or ; Magellan Transit, Kennedy Garceau, L’effet A, partenaires argent ; Optimum, partenaire bronze.


Tous les ingrédients sont désormais réunis pour permettre à la Chambre de contribuer efficacement à la consolidation d’une véritable communauté d’affaires franco-canadienne.

 

                  


Crédit photos: Benoit Diacre


Crédit photos: Benoit Diacre


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Nous remercions nos sponsors: 

  

Les partenaires de la Chambre de Commerce France-Canada :

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MEDIA

Le devoir | Marco Bélair-Cirino | 15 juin 2022

Plus obligé d’être vacciné pour partir en avion ou en train

Le gouvernement canadien abrogera dès lundi prochain l’obligation pesant sur les voyageurs de fournir une preuve vaccinale contre la COVID-19 avant de monter à bord d’un avion ou d’un train au pays.

Le gouvernement canadien abrogera dès lundi prochain l’obligation pesant sur les voyageurs de fournir une preuve vaccinale contre la COVID-19 avant de monter à bord d’un avion ou d’un train au pays.

En revanche, il laissera intactes les exigences vaccinales d’entrée au Canada ainsi que les règles de quarantaine et de dépistage pour les Canadiens qui ne sont pas adéquatement vaccinés. « Tous les voyageurs entrant au Canada devront continuer de suivre toutes les exigences d’entrée », y compris celles relatives à la vaccination et à l’utilisation d’ArriveCAN — une application renfermant leurs preuves de vaccination —, après quoi ils pourront effectuer des trajets en avion ou en train d’un bout à l’autre du pays sans devoir présenter de nouveau leur passeport vaccinal, a résumé le ministre des Transports, Omar Alghabra, lors d’un point de presse sur la colline du Parlement mardi après-midi.

D’autre part, les voyageurs devront s’assurer d’avoir une preuve de vaccination en main si leur pays de destination — les États-Unis, par exemple — en demande une, a-t-il précisé.

Employés fédéraux

En plus des voyageurs prenant l’avion ou le train, les employés du secteur des transports sous réglementation fédérale ainsi que les fonctionnaires fédéraux, dont le personnel de la Gendarmerie royale du Canada, ne seront plus tenus, dès lundi prochain, de présenter une preuve vaccinale.

Le gouvernement fédéral n’est toutefois pas prêt à emboîter le pas aux provinces qui ont laissé tomber l’obligation du port du couvre-visage dans les lieux publics et les transports en commun. Les voyageurs devront continuer de porter le masque dans les avions et les trains même si, pour certains, il s’agit d’« une petite gêne », a indiqué M. Alghabra.

Les « ajustements » aux mesures sanitaires annoncés mardi « se fondent sur les données probantes de la science » et non sur les dernières statistiques concernant le temps d’attente dans les aéroports, a souligné le ministre des Affaires intergouvernementales, Dominic LeBlanc.

Pour la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante, « il était temps que la vaccination obligatoire pour les voyages sur le territoire national soit suspendue ». « Les secteurs les plus durement touchés depuis deux ans par la pandémie et par les restrictions vont pouvoir souffler », a-t-elle fait valoir.

Vers une troisième dose obligatoire ?

De son côté, le ministre de la Santé, Jean-Yves Duclos, a invité les Canadiens à « mettre à jour » leur statut vaccinal d’ici l’automne, où la COVID-19 pourrait faire une nouvelle offensive. « En clair, cela veut dire que si vous êtes admissibles à une troisième ou même une quatrième dose en vertu des recommandations de santé publique, vous devriez la recevoir dès que possible », a-t-il dit. Avant de spécifier que « deux doses ne suffisent plus, car avec le temps, l’immunité acquise grâce aux deux doses du vaccin actuel s’amenuise ».

À ce jour, plus de 31 millions de Canadiens, soit 86 % de la population admissible, ont reçu deux doses de vaccin contre la COVID-19. Mais la proportion d’entre eux qui ont reçu leurs doses de rappel (55 % des 12 ans et plus) est « trop faible ». Le Canada enregistre « le taux le plus faible parmi les pays du G7, et cela n’est pas bon », a indiqué M. Duclos.

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Des affiches « Nous embauchons » sur la porte d'un commerce.
PHOTO : RADIO-CANADA / SIMON RAIL-LAPLANTE

La Presse canadienne | 

Le manque de main-d'œuvre continue de prendre de l'ampleur au pays.

Le nombre de postes vacants a atteint un peu plus d'un million au début du mois d'avril, en hausse de plus de 40 % par rapport au même moment un an plus tôt, a indiqué Statistique Canada vendredi au moment où le resserrement du marché du travail fait grimper les salaires et alimente les craintes d'inflation.

Selon l'agence fédérale, les employeurs canadiens ont activement cherché à pourvoir 1 001 100 postes vacants, une hausse de 23 300 postes par rapport à mars et de 308 000 par rapport à avril 2021.

Le taux de postes vacants, qui mesure le nombre de postes vacants proportionnellement à tous les postes, s'est élevé à 5,8 % en avril, contre 4,4 % le même mois l'an dernier.

Ce changement survient au moment où les chiffres de l'emploi augmentent dans tout le pays.

« En avril, pour la première fois, l'emploi salarié dans toutes les provinces était revenu au niveau observé en février 2020, avant la pandémie de COVID-19, ou avait dépassé ce niveau. »

— Une citation de  Extrait du rapport de Statistique Canada

La Banque du Canada a évoqué le niveau élevé de postes vacants, disant estimer qu'il démontre le besoin évident de freiner l'économie alors qu'elle tente de lutter contre l'inflation.

Le marché du travail est un des signes les plus clairs au Canada en ce moment que nous sommes en demande excédentaire, a affirmé la première sous-gouverneure de la banque centrale, Carolyn Rogers, lors d'une conférence plus tôt cette semaine.

Nous avons un million de postes vacants. Si vous parlez aux entreprises ces jours-ci, elles vous diront qu'elles ont vraiment du mal à pourvoir ces postes.

Le resserrement du marché du travail contribue également à faire grimper les salaires, ce qui peut alimenter l'inflation.

Augmentation des salaires et de l'inflation

Les données annoncées vendredi par Statistique Canada ont montré que la rémunération hebdomadaire moyenne avait augmenté de 4 % en avril par rapport à il y a un an. Cependant, les travailleurs n'en ont pas profité beaucoup puisque l'inflation s'est établie à 6,8 % au cours de la même période.

Certains secteurs ont toutefois observé des augmentations de salaire plus élevées. La rémunération dans le secteur du commerce de détail a augmenté de 11,7 %, celle du secteur des services professionnels, scientifiques et techniques a pris 9,7 % et celle du groupe de la fabrication a progressé de 8,2 %. Le secteur des arts, du divertissement et des loisirs a été le seul à avoir vu ses salaires diminuer (-4,5 %).

Dans un rapport publié vendredi, le chef de la direction de la Banque de Montréal, Douglas Porter, a indiqué qu'une des raisons pour lesquelles l'inflation sous-jacente augmente a trait au fait que les pressions sur les coûts se propagent dans un marché du travail tendu.

Il a noté que les chiffres des salaires de vendredi montrent que sur une mesure à pondération fixe, la hausse annuelle des salaires a été de 6,2 % en avril, ce qui est bien au-dessus des autres indicateurs salariaux cette année et supérieur d'environ un point de pourcentage au sommet précédent observé dans les données des 30 dernières années.

« Après une longue période de calme surprenant pour les salaires au Canada, l'enquête sur la masse salariale vient de tirer un coup dans l'inflation. »

— Une citation de  Douglas Porter, chef de la direction de la Banque de Montréal

Le nombre de postes vacants a atteint un niveau record dans plusieurs secteurs, y compris celui de la construction, qui a vu le nombre de postes vacants atteindre 89 900 en avril, en hausse de 12 000 par rapport à mars et de 27 200 par rapport à avril 2021.

Le nombre de postes vacants a également atteint un niveau record pour les secteurs des services professionnels, scientifiques et techniques, du transport et de l'entreposage, de la finance et des assurances, des arts, des spectacles et des loisirs ainsi que des services immobiliers et des services de location et de location à bail.

Le secteur des soins de santé et de l'assistance sociale a vu le nombre de postes vacants chuter à 125 200 en avril par rapport à un sommet de 147 500 en mars, mais ces postes non pourvus montraient tout de même une hausse de 21,3 % par rapport à l'année précédente.

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26/06/2022 | 17:50 | © Zonebourse avec Reuters 2022

Canada's Finance Minister Chrystia Freeland holds a news conference before delivering the 2022-23 budget, in Ottawa

La ministre des Finances, Chrystia Freeland, a déclaré dimanche que le Canada a encore une voie vers un "atterrissage en douceur", où il pourrait se stabiliser économiquement après le coup porté par la pandémie de COVID-19, sans faire face à une grave récession que beaucoup craignent, a rapporté CBC News https://bit.ly/3bqWcWY.

Dans une interview accordée à Rosemary Barton Live, Mme Freeland a déclaré qu'elle devait trouver un équilibre entre l'aide aux personnes au Canada qui souffrent des effets de l'inflation et la poursuite d'une politique de restriction budgétaire, au risque d'aggraver le problème du coût de la vie.

Elle s'est montrée ouverte à d'autres actions sur les questions d'accessibilité financière, mais estime que les mesures déjà en place permettront de réduire l'impact sur les Canadiens, selon le rapport.

"Je dois trouver un équilibre. L'un est de soutenir les Canadiens qui ont des problèmes d'accessibilité financière et l'autre est la restriction budgétaire, car je ne veux pas rendre le travail de la Banque du Canada plus difficile qu'il ne l'est déjà", a déclaré Mme Freeland, selon le rapport.

Interrogée sur la capacité du Canada à surmonter l'incertitude économique mondiale, Mme Freeland "a maintenu un ton optimiste", affirmant que "le défi n'est pas terminé, mais je crois sincèrement que nous allons nous en sortir ensemble", selon le rapport.

Le taux d'inflation annuel du Canada s'est accéléré pour atteindre 7,7 % en mai, soit près d'un sommet en 40 ans, ce qui est bien supérieur aux prévisions d'avril de la Banque du Canada selon lesquelles il s'établirait à 5,8 % en moyenne ce trimestre.

Mme Freeland a déjà exprimé sa confiance dans la capacité de la Banque du Canada à contenir l'inflation galopante et à empêcher les gains de prix de s'installer durablement, mais a déclaré qu'il n'y avait aucune garantie que l'économie éviterait une récession.

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© Zonebourse avec Reuters 2022

28 juin 2022 | Elmau (Allemagne)

Hier, le premier ministre Justin Trudeau a rencontré le président de la France, Emmanuel Macron, en marge du Sommet du G7.

Le premier ministre Trudeau et le président Macron ont échangé sur l'avancement des priorités du G7, notamment la lutte contre les changements climatiques, la sécurité alimentaire, l'énergie ainsi que la croissance et le développement durables. Ils ont convenu de l’importance d’offrir un soutien militaire, financier et humanitaire constant au gouvernement et au peuple ukrainiens.

Le premier ministre et le président ont discuté des prochaines étapes à franchir pour faire progresser leur partenariat bilatéral, notamment la convocation d'un Conseil des ministres conjoint dès que possible. Les dirigeants ont évoqué la nécessité d'accélérer de toute urgence les efforts de lutte contre les changements climatiques. Le président Macron s'est réjoui du fait que le Canada accueillera le Sommet des Nations Unies sur la biodiversité (COP 15) à Montréal, et il s'est engagé à soutenir les efforts déployés à cet égard. Les dirigeants ont également souligné la collaboration bilatérale en cours dans le domaine de l'intelligence artificielle ainsi que le travail accompli par le Partenariat mondial sur l'intelligence artificielle, basé à Montréal, qui est au cœur des efforts déployés dans ce secteur à l’échelle internationale.

Les deux dirigeants ont mis en relief le rôle important que joue l'Organisation internationale de la Francophonie pour relever les défis internationaux actuels et la nécessité de promouvoir les valeurs démocratiques et les droits de la personne dans le cadre de ses travaux.

Les dirigeants se sont dits impatients de poursuivre leur collaboration au Sommet de l'OTAN, qui se tiendra à Madrid, en Espagne, dans les prochains jours.

Liens connexes

Lire le communiqué

BELL Canada - BCE Global

 

Dentons Canada
 

Gowling WLG
 

Immétis Services Juridiques INC.

Institut de Leadership

Kennedy Garceau

Optimum Gestion Financière

 

Technicolor

L'effet A
 

Xavier VAN OVERMEIRE 
Associé 
DENTONS CANADA

Par Desjardins | Le Figaro | 07/07/22

Depuis plusieurs années maintenant, l'immigration de la France vers le Canada est en pleine croissance et de nombreux particuliers comme entreprises continuent de privilégier le Canada et notamment le Québec, comme terre d'accueil.

Parmi les institutions financières retenues pour les accompagner dans leurs démarches, Desjardins occupe une place de tout premier choix.

Contenu conçu et proposé par   

Desjardins est le premier groupe financier coopératif en Amérique du Nord, appliquant un principe mutualiste, bien connu en Europe, qui s'appuie sur des valeurs coopératives. En effet, avec plus de 7,5 millions de membres et clients, plus de 1 600 guichets, plus de 700 points de services et plus de 70 centres Desjardins Entreprises au Québec et en Ontario, Desjardins a tout ce qu'il faut pour être un allié de poids.

Étudiants, travailleurs, entrepreneurs ou investisseurs, que vous décidiez de vous installer au Québec ou en Ontario — la province la plus peuplée du Canada — Desjardins est là pour vous accompagner, et ce, dès les premières étapes de ce grand changement de vie.

Un accompagnement humain et personnalisé pour les particuliers…

Tant en France jusqu'à votre départ, qu'au Canada dès votre arrivée, les conseillers de Desjardins sont là pour vous guider à chaque étape de votre démarche avec, notamment, des guides gratuits et des webinaires d'information sur plusieurs sujets d'importance comme l'immigration, l'emploi, les études ou la vie quotidienne. Dans le cadre de cet accompagnement financier, Desjardins vous aidera à comprendre le système bancaire canadien, budgéter votre projet, ouvrir un compte bancaire avant votre départ, obtenir une carte de débit ou de crédit canadienne, un prêt immobilier ou des placements.

En règle générale, les démarches sont beaucoup plus simples au Canada qu'en France et l'accompagnement de Desjardins facilitera votre préparation et vos démarches.

…et pour les entreprises

Et qu'en est-il des entreprises voulant s'implanter de l'autre côté de l'Atlantique au nord de la frontière avec les États-Unis? Avec son économie florissante et un taux de chômage à un creux historique, le Canada est un pays ouvert aux affaires où la constitution d'une entreprise est une démarche relativement simple et où l'embauche est simple et moins coûteuse qu'en France. On doit toutefois s'attendre à découvrir une culture d'affaires différente et à laquelle il faudra impérativement s'adapter.

En amont de tout projet de cette nature, les spécialistes du Bureau de représentation Desjardins Europe à Paris offrent conseils et contacts tout en vous dirigeant vers l'équipe adéquate chez Desjardins. Ils sont également en mesure de vous mettre en communication avec des experts juridiques, comptables et commerciaux habitués aux échanges franco-canadiens afin de répondre rapidement à vos enjeux et vous permettre de « réseauter » efficacement. En effet, au Canada, le réseautage est une activité primordiale pour réussir un projet, tant sur le plan personnel que professionnel.

Aussi bien pour les particuliers que pour les entreprises, Desjardins est un partenaire incontournable, à tous les stades de votre projet d'implantation au Canada et au Québec.

Pour vous aider, n'hésitez pas à consulter les ressources suivantes :

  • Vous êtes une entreprise :

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  • Vous êtes un étudiant, un travailleur expatrié ou un investisseur

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Pour communiquer avec le Bureau de représentation Desjardins Europe à Paris : paris@desjardins.com ou 0153487964

Contenu conçu et proposé par Desjardins. La rédaction du Figaro n'a pas participé à la réalisation de cet article.
 

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Par Banque Nationale du Canada | Le Figaro

Vous souhaitez vous expatrier au Canada qui offre de nombreuses possibilités de travail ou vous êtes depuis peu en sol canadien ?

La Banque Nationale répond à vos questions pour vous guider dans l'obtention d'un futur emploi, des démarches administratives aux notions financières.

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SOMMAIRE

Quelles sont les principales démarches à effectuer ?

• Détenir un permis de travail

Vous devez être légalement autorisé à travailler au Canada, en tant que résident au statut temporaire ou permanent. Il faut vous assurer d'être en règle selon le visa qui vous sera délivré . Les critères de délivrance d'un permis de travail ou d'une résidence permanente sont détaillés sur le site canada.ca rubrique immigration et citoyenneté.

• Demandez votre numéro d'assurance sociale (NAS)

Ce numéro est personnel et confidentiel : il vous sera attribué dans un bureau de Service Canada.

• Ouvrez un compte bancaire canadien

Pour avoir facilement accès à vos fonds et simplifier votre nouvelle vie, il est conseillé d'ouvrir le plus tôt possible un compte bancaire canadien. Cela vous permettra notamment de procéder à des virements avant votre départ, d'accéder à votre argent dès votre arrivée et d'économiser de manière substantielle sur vos frais bancaires. De plus, votre nouvel employeur pourra déposer votre paie directement dans votre compte grâce au spécimen de chèque fourni par votre institution financière canadienne.

• Faites reconnaître vos diplômes et titres professionnels

Pour certaines professions, des ententes d'équivalence de diplôme existent entre certains pays et le Canada. Si vous travaillez dans une profession réglementée, contactez l'ordre professionnel et, lorsque admissible, vous pouvez demander un certificat de qualification dans la province canadienne où vous prévoyez pratiquer. Enfin, si vous immigrez comme travailleur qualifié, vous aurez besoin d'un rapport d'évaluation des diplômes d'études (EDE).

Et vos finances ?

• Amassez les fonds nécessaires

Si vous présentez une demande d'immigration à titre de travailleur qualifié (Entrée express), le gouvernement fédéral vous demandera de fournir une preuve de fonds suffisants au bureau canadien des visas.

• Commencez à bâtir votre dossier de crédit

Un employeur pourrait, avec votre consentement, vérifier votre dossier de crédit . Ce dossier de crédit pourrait être un critère d'embauche dans certaines organisations, d'où l'importance de le bâtir et de l'entretenir. Pour ce faire, la méthode la plus simple est d'obtenir une carte de crédit émise par votre institution financière canadienne.

• Le calcul de la paie

Votre futur employeur devrait vous présenter un contrat qui détaille votre rémunération, que ce soit sur un taux horaire ou un salaire annuel fixe. En général, les Canadiens travaillent entre 35 et 40 heures par semaine.

Le détail de vos heures travaillées, les montants gagnés et les différentes retenues se trouvent sur la fiche de paie (appelé talon de paie au Canada) émise par votre employeur. Il est conseillé de la vérifier pour s'assurer qu'il n'y a pas d'erreurs.

• Analysez tous les avantages qui accompagnent un emploi

Au-delà du salaire, les avantages sociaux doivent être pris en compte lors de votre recherche d'emploi : plans de retraite, assurances collectives, assurances médicaments, vacances, etc. Si votre employeur n'offre pas de tels avantages, vous devrez prévoir des solutions individuelles comme un REER (Régime enregistré d'épargne-retraite) ou des assurances personnelles. Parfois, il est plus intéressant d'accepter un taux horaire plus bas si les avantages sociaux sont nombreux.

• Le salaire minimum au Canada

Le salaire minimum varie d'une province à l'autre. Mais la loi reste partout la même : un employeur ne peut pas vous proposer, et vous ne devriez jamais accepter un travail qui vous paie moins que le salaire minimum établi dans votre province. Les salaires à pourboire et à commission ne rentrent pas dans cette catégorie.

• Savoir si un emploi est bien payé

Il faut dans ce domaine répondre en comparant les différents trains de vie. En effet, s'il existe des écarts de salaire non négligeables d'une province et même d'une région à l'autre, c'est aussi le cas pour les dépenses, notamment en matière de logement.

Pour bien juger un salaire, il est conseillé de bien analyser le coût de la vie dans la région où vous vous installez. Le moteur de recherche du gouvernement fédéral vous permettra de connaître le salaire moyen par profession et par province.

Que savoir en matière d'emploi ?

• Choisir un emploi salarié, un travail en indépendant ou l'entrepreneuriat

Être employé procure plus de sécurité et de stabilité financière, mais travailler à son compte offre un plus grand potentiel de croissance et plus de liberté sur l'évolution de votre carrière.

Bien des emplois salariés au Canada présentent des avantages qu'il vous faudra combler par vous-même si vous choisissez d'être travailleur autonome (indépendant). C'est souvent le cas des assurances collectives, du régime de retraite, des congés payés, etc.

Vous avez plutôt la fibre entrepreneuriale? Consultez ce guide pour découvrir comment immigrer à titre d'entrepreneur.

• Les secteurs qui recrutent

Les provinces publient régulièrement une liste des débouchés dans différentes industries en demande. Un programme a été mis sur pied par les gouvernements pour faciliter l'immigration des travailleurs qualifiés dans les secteurs suivants :

  • Santé
  • Agriculture
  • Informatique
  • Transport
  • Numérique, référencement et analytique Web
  • Effets visuels et des jeux vidéo
  • Construction
  • Secteurs spécialisés : journaliers, soudeurs, conducteurs, électriciens et mécaniciens

Une excellente façon de vous démarquer sur le marché du travail est d'acquérir une spécialisation. Les employeurs sont souvent à la recherche de candidats aux expertises pointues.

De nombreuses ressources existent pour faciliter votre arrivée au Canada et votre intégration sur le marché du travail. N'hésitez pas à faire appel à des experts pour bien vous renseigner, vous outiller, et surtout, vous entourer. Pour toutes vos questions, la Banque Nationale du Canada est là

Banque Nationale du Canada n'est pas une banque agréée en France.

Contenu conçu et proposé par Banque Nationale du Canada. La rédaction du Figaro n'a pas participé à la réalisation de cet article.

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Marie-Sophie de WAUBERT
Directrice Générale 
​UBISOFT Paris

Power Corporation du Canada


 

Power Corporation du Canada


 

Groupe Adaming

Webinaire : 6 sept. 2022 12:30 PM heure de Montréal

Dans un contexte de pénurie de main-d'œuvre persistante, de plus en plus d'employeurs font le choix de se tourner vers l'international pour recruter de nouveaux travailleurs.

Sujet :            Atelier Immigration - Embaucher un talent étranger sous EIMT : le processus simplifié du Québec

Description :  Au Québec, il est possible de bénéficier de démarches simplifiées pour une liste de professions éligibles.

Les professionnels d'Immétis vous proposent un Atelier Immigration, dédié à l'embauche d'un talent étranger sous une EIMT simplifiée du Québec.

Cette activité vise à informer les professionnels des Ressources Humaines confrontés à des enjeux de recrutement à l’international, et ayant recours à l'embauche de talents étrangers.

Tous les aspects de l'embauche d'un travailleur étranger sous le Processus Simplifié du Québec seront abordés :
️ Professions visées par le traitement simplifié du Québec ;
️ Délais et coûts à anticiper pour les employeurs ;
️ Nouvelles obligations en vigueur depuis le mois de mai 2022 ;
️ Étapes pour présenter une demande sous ce programme ;
️ Enjeux de rétention des talents étrangers, et obligations de conformité.

Des temps seront dédiés aux échanges et aux questions.

Le nombre de places étant limité, cette activité est exclusivement réservée aux professionnels des Ressources Humaines ayant à leur embauche des travailleurs étrangers temporaires ou souhaitant recourir au recrutement à l'international.

S'inscrire ici

le 28 août 2022 à 09h35
Province des Prairies, dans l’Ouest canadien, la Saskatchewan a le vent en poupe.

Province des Prairies, dans l’Ouest canadien, la Saskatchewan a le vent en poupe, relève “The Economist”. La guerre en Europe a fait grimper le prix de nombreux produits dont elle regorge, notamment grâce à une colonisation ukrainienne largement centenaire. Prochaine étape : accélérer l’exploitation de son sous-sol riche en potasse.

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Courrier international

Publié le 28 août 2022 à 09h35 Lecture 1 min.

Kaden Piper à Stoughton, dans la Saskatchewan, avant un concours de rodéo, le 31 juillet 2022. Kaden Piper à Stoughton, dans la Saskatchewan, avant un concours de rodéo, le 31 juillet 2022. LEAH HENNEL/REUTERS

Lorsque les immigrants ukrainiens ont afflué pour la première fois au Canada à la fin du XIXsiècle, écrit The Economistle gouvernement “avait une mission pour eux : coloniser les vastes prairies entre les forêts de l’Ontario et les montagnes Rocheuses”.

C’est par dizaines de milliers qu’ils se sont installés dans un paysage au sol riche et bon marché, qui leur rappelait la Bucovine et la Galicie, pour former aujourd’hui la seconde plus importante diaspora ukrainienne du monde après celle de Russie.

Aujourd’hui, la Saskatchewan, dont le nom en langue crie signifie “rivière aux flots rapides”, voit les prix des denrées qu’elle produit en abondance monter en flèche en raison de la guerre en Ukraine : blé, avoine, colza, légumineuses et moutarde. En conséquence, l’économie de la Saskatchewan “devrait croître de 6 % cette année, plus que toute autre province canadienne”, souligne l’hebdomadaire britannique.

“Or rose”

Et encore, ces ressources ne sont pas les plus importantes. Dans le sol de la Saskatchewan se trouvent du pétrole, du gaz, de l’uranium “et, par-dessus tout, de la potasse”. Ce composant essentiel de l’engrais “est parfois appelé ‘or rose’, en raison de la teinte que ce minerai salin prend avant d’être affiné en poudre blanche”.

La province en assure le tiers de la production mondiale, alors que des importateurs comme l’Europe ont perdu leur accès aux deux autres grands producteurs, la Russie et la Biélorussie, en raison des sanctions et des problèmes de chaînes d’approvisionnement.

LIRE AUSSI Emploi. Canada : l’embauche massive d’étrangers

Cet essor économique est assombri par deux facteurs, note The Economist : comme presque partout ailleurs au Canada, la Saskatchewan souffre d’une pénurie de travailleurs. De plus, avec à peine 1,2 million d’habitants sur un territoire plus grand que la France, sa population demeure faible.

“Le gouvernement provincial tient à accueillir autant de réfugiés ukrainiens que possible. Mais malgré de nombreux emplois, des logements bon marché et une diaspora, les Ukrainiens n’y viennent pas en masse.”

Martin Gauthier

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MONTRÉAL, le 31 août 2022 /CNW Telbec/ 

Le rapport de 2021 détaille les progrès réalisés dans le cadre des différentes initiatives en lien avec l'environnement, les collectivités et les employés

Air Canada a publié l'édition 2021 du rapport Citoyens du monde, qui décrit la manière dont le transporteur a soutenu un éventail de programmes de développement durable malgré les répercussions de la COVID-19 sur l'industrie mondiale du transport aérien. Le document, qui constitue le rapport annuel d'Air Canada en matière de développement durable, présente en détail les progrès réalisés par le transporteur aérien dans des domaines comme la sécurité, le bien-être, l'environnement, la mobilisation des employés et l'engagement envers les collectivités.

« La COVID-19 a eu des répercussions sans précédent sur l'ensemble de l'industrie du transport aérien, mais je suis fier qu'Air Canada ait continué d'aller de l'avant avec ses initiatives relatives aux enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance, et qu'elle reste concentrée sur ses objectifs de développement durable à long terme, a déclaré Michael Rousseau, président et chef de la direction d'Air Canada. Les efforts déployés pour garder nos clients et nos employés en sécurité, réduire notre empreinte environnementale et contribuer au bien-être des collectivités que nous servons, notamment par l'intermédiaire de la Fondation Air Canada, faisaient partie intégrante de ces initiatives. Nous savons que les effets de la pandémie sont temporaires, mais il faut un engagement et une stratégie à long terme pour gérer les risques et les occasions liés au développement durable, et favoriser une industrie de l'aviation plus durable. Et le fait de rendre compte de nos progrès en publiant le rapport Citoyens du monde est l'une des manières dont nous démontrons notre détermination. »

Citoyens du monde, le rapport de développement durable 2021 d'Air Canada, peut être consulté à www.aircanada.com. Il explique en détail la manière dont le transporteur intègre les facteurs environnementaux et sociaux dans ses activités quotidiennes selon trois fils conducteurs du développement durable : Notre entreprise, Nos employés et Notre planète. Afin de garantir la transparence, l'intégrité et la responsabilisation, les services d'un tiers indépendant ont été retenus pour mener une mission de certification de portée limitée à l'égard de certains indicateurs de rendement. Voici ce qui ressort, entre autres, du rapport de cette année :

  • en 2021, Air Canada a publié son nouveau plan d'action climatique, assorti d'ambitieux jalons pour atteindre son objectif de carboneutralité à long terme d'ici 2050;
     
  • Air Canada a lancé le programme de voyages Laissez moins, qui donne l'occasion à ses entreprises clientes de diminuer leur empreinte carbone liée aux voyages d'affaires;
     
  • Air Canada a rappelé plus de 10 000 employés et embauché de nouvelles recrues au sein des groupes de l'Exploitation en 2021, en plus de lancer des programmes de formation connexes pour appuyer le retour, la croissance et le perfectionnement des employés dans leurs fonctions, y compris en matière de sécurité;
     
  • pour concrétiser son engagement à l'égard de la sécurité de la clientèle et du personnel, le transporteur a mené tout au long de l'année Air Canada SoinPropre+, un programme complet de mesures de biosécurité les plus avancées de l'industrie à chacune des étapes du voyage;
     
  • en 2021, la Fondation Air Canada a amassé plus de 1 000 000 $, versé près de 600 000 $ et soutenu environ 160 organismes caritatifs;
     
  • Air Canada a célébré le 15e anniversaire de son Programme d'entraide Aéroplan. En 2021, près de 65 millions de points ont été donnés par Aéroplan et ses membres au moyen du Programme d'entraide Aéroplan.

Air Canada surveille de près l'évolution de la communication d'information sur les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance. En 2022, la Société a également publié son premier rapport aligné sur le cadre du Groupe de travail sur l'information financière reliée aux changements climatiques (GIFCC), qui peut aussi être consulté à www.aircanada.com.

À propos d'Air Canada

Air Canada est la plus importante société aérienne du Canada, le transporteur national du pays et un membre cofondateur du réseau Star Alliance -- le plus vaste regroupement mondial de sociétés aériennes, qui célèbre son 25e anniversaire en 2022. Les lignes passagers régulières d'Air Canada relient sans escale 51 aéroports au Canada, 51 aux États-Unis et 86 sur le reste du globe. En Amérique du Nord, Air Canada constitue le seul transporteur aérien d'envergure internationale offrant une gamme complète de services à détenir la cote quatre étoiles de Skytrax qui, en 2021, lui a décerné les prix Meilleur personnel au sol et à bord en Amérique du Nord, Meilleur personnel au sol et à bord au Canada, Meilleur salon de classe affaires en Amérique du Nord ainsi qu'un Prix d'excellence dans la gestion de la COVID-19. Par Aéroplan, son programme de fidélité phare du secteur du voyage, Air Canada donne la possibilité d'accumuler ou d'échanger des points auprès du plus grand réseau mondial de transporteurs partenaires, au nombre de 45, et contre un éventail considérable de primes -- marchandises, séjours hôteliers ou locations de véhicules. Air Canada Cargo, division fret d'Air Canada, dispose de la capacité d'emport et de la connectivité pour desservir des centaines de destinations sur six continents au moyen des vols passagers d'Air Canada et des vols tout-cargo de sa flotte d'avions-cargos 767-300 de Boeing. Air Canada s'est fixé un objectif de carboneutralité de toutes ses activités à l'échelle mondiale d'ici 2050.

Internet : aircanada.com/medias

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Publié  I 

En France, le recours à l’avocat peut faire peur. Au Canada, son rôle de conseiller et de facilitateur est largement reconnu en matière d’immigration.

En France, le recours à l’avocat peut faire peur. Au Canada, son rôle de conseiller et de facilitateur est largement reconnu en matière d’immigration. Installé au Québec, le cabinet Immétis vous livre ainsi quelques précieux conseils avant de faire le grand saut.

L’avocat, un partenaire incontournable pour immigrer au Canada

« L’immigration au Canada est un domaine complexe, annonce d’emblée Natacha Mignon, fondatrice du cabinet d’avocats Immétis à Montréal, dédié à l’immigration et la mobilité professionnelle au Canada. Nous évaluons d’abord les options de nos clients et leur recommandons le programme le mieux adapté à leur situation. Nous nous chargeons ensuite de la préparation de leur dossier de A à Z et demeurons à leurs côtés jusqu’à la délivrance du visa. » Immétis conseille également ses clients pour toute problématique spécifique telle qu’une condition médicale, une situation de recomposition familiale ou encore un précédent refus. Comme dans de nombreux autres domaines du droit, le recours à l’avocat n’est pas obligatoire. Les personnes qui choisissent d’engager un avocat pour les démarches d’immigration souhaitent avoir les conseils d’un professionnel du droit, connaissant le droit de l’immigration et ses subtilités, pour préparer au mieux leur projet. « Il n’est pas rare que nous soyons consultés par des personnes qui sont arrêtées sur un programme et que nous les fassions réaliser qu’elles ne répondent pas aux critères », reconnaît Me Mignon. Quant à exercer le métier d’avocat au Canada, il y a une différence entre le Québec et le reste des provinces. Les avocats membres d’un barreau français peuvent devenir membres du barreau du Québec, en demandant l’application des dispositions des accords de reconnaissance mutuelle (ARM) applicables à la profession, et à condition de prouver qu’ils appartiennent à un barreau en France. « Ils doivent alors remplir un dossier d’admission et réussir un examen de déontologie et pratique professionnelle », précise Me Mignon. Dans le reste du Canada, les avocats français devront retourner sur les bancs de la faculté, avec toutefois la possibilité de voir certains cours reconnus.

Des arguments pour séduire

Le cabinet Immétis recommande ainsi aux futurs immigrants de se renseigner sur le Canada, sur ses provinces, et sur les différentes possibilités pour s’y installer. « Je rencontre tellement de familles ayant perdu de précieux mois, voire des années, simplement parce qu’elles n’ont pas suivi la voie adaptée à leur situation », témoigne Me Mignon, qui précise : « Je ne peux pas dire qu’une province est plus accueillante qu’une autre pour un Français. Chacune a ses spécificités et des arguments pour séduire de nouveaux arrivants. C’est la raison pour laquelle j’incite toujours mes clients à se renseigner sur le Canada et à questionner leur projet. Ils doivent savoir ce qu’ils veulent dans leur nouvelle vie. » Le pays a tellement à offrir, que l’on cherche une grande métropole, des centres économiques et culturels, ou au contraire une vie en pleine nature qui fait la part belle aux activités extérieures.

Les futurs immigrants doivent aussi se demander s’ils souhaitent évoluer dans un environnement francophone, anglophone ou bilingue. D’ailleurs, les Français doivent savoir que la maîtrise de la langue de Molière leur assure un avantage certain tant pour l’obtention d’un permis de travail que pour l’obtention du statut de résident permanent par la voie de « l’Entrée Express » dans les provinces anglophones. « Quant au changement de province, il est parfois possible avec un permis de travail, non limité géographiquement, explique Me Mignon. Une fois devenu résident permanent, un immigrant doit s’assurer de vivre initialement dans sa province de choix, avant de s’établir en dehors de celle-ci. » Il convient également de bien définir son projet : étudier, travailler, investir ou tout simplement vivre au Canada ? En accord avec le projet et le profil des candidats à l’immigration, une ou plusieurs voies d’immigration pourront être envisagées. La clé est de définir la bonne.

Anticiper son installation

Quant aux délais de traitement de permis de travail, ils sont actuellement assez longs mais aussi très disparates. « Un permis de travail classique demandé auprès de l’ambassade à Paris prend actuellement dix semaines à être émis, les permis jeune professionnel cinq à six semaines, détaille Me Mignon. En Inde, il faut compter quarante-deux semaines ! Pour un renouvellement de permis demandé depuis le Canada, il faut attendre 154 jours. Il ne faut donc pas paniquer et connaître la réalité des délais pour la procédure qu’on envisage. » Lancer des demandes de permis de travail depuis la France est donc tout à fait possible, mais cela suppose d’anticiper son installation de quelques mois. « Quand une famille française a des impératifs de rentrée scolaire, je recommande même de débuter les démarches très en amont dès le premier trimestre de l’année pour éviter les mauvaises surprises et assurer son arrivée au Québec courant août en toute sérénité », ajoute Me Mignon. Enfin, un Français, comme tout étranger, peut être actionnaire d’une société au Canada. Au Québec et en Colombie-Britannique, tous les administrateurs d’une société peuvent également être étrangers. En revanche, il faut bien comprendre que le fait d’ouvrir une société au Canada ne donne pas de statut au regard de l’immigration. « Une fois la société créée, il faut donc se tourner vers les autorités d’immigration pour demander un permis de travail, si l’actionnaire souhaite exploiter sa société sur place. C’est là une nuance capitale », prévient Me Mignon.

Aller plus loin

Le cabinet d’avocats Immétis

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MONTRÉAL, le 31 août 2022 /CNW Telbec/ 

Le rapport de 2021 détaille les progrès réalisés dans le cadre des différentes initiatives en lien avec l'environnement, les collectivités et les employés

Air Canada a publié l'édition 2021 du rapport Citoyens du monde, qui décrit la manière dont le transporteur a soutenu un éventail de programmes de développement durable malgré les répercussions de la COVID-19 sur l'industrie mondiale du transport aérien. Le document, qui constitue le rapport annuel d'Air Canada en matière de développement durable, présente en détail les progrès réalisés par le transporteur aérien dans des domaines comme la sécurité, le bien-être, l'environnement, la mobilisation des employés et l'engagement envers les collectivités.

« La COVID-19 a eu des répercussions sans précédent sur l'ensemble de l'industrie du transport aérien, mais je suis fier qu'Air Canada ait continué d'aller de l'avant avec ses initiatives relatives aux enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance, et qu'elle reste concentrée sur ses objectifs de développement durable à long terme, a déclaré Michael Rousseau, président et chef de la direction d'Air Canada. Les efforts déployés pour garder nos clients et nos employés en sécurité, réduire notre empreinte environnementale et contribuer au bien-être des collectivités que nous servons, notamment par l'intermédiaire de la Fondation Air Canada, faisaient partie intégrante de ces initiatives. Nous savons que les effets de la pandémie sont temporaires, mais il faut un engagement et une stratégie à long terme pour gérer les risques et les occasions liés au développement durable, et favoriser une industrie de l'aviation plus durable. Et le fait de rendre compte de nos progrès en publiant le rapport Citoyens du monde est l'une des manières dont nous démontrons notre détermination. »

Citoyens du monde, le rapport de développement durable 2021 d'Air Canada, peut être consulté à www.aircanada.com. Il explique en détail la manière dont le transporteur intègre les facteurs environnementaux et sociaux dans ses activités quotidiennes selon trois fils conducteurs du développement durable : Notre entreprise, Nos employés et Notre planète. Afin de garantir la transparence, l'intégrité et la responsabilisation, les services d'un tiers indépendant ont été retenus pour mener une mission de certification de portée limitée à l'égard de certains indicateurs de rendement. Voici ce qui ressort, entre autres, du rapport de cette année :

  • en 2021, Air Canada a publié son nouveau plan d'action climatique, assorti d'ambitieux jalons pour atteindre son objectif de carboneutralité à long terme d'ici 2050;
     
  • Air Canada a lancé le programme de voyages Laissez moins, qui donne l'occasion à ses entreprises clientes de diminuer leur empreinte carbone liée aux voyages d'affaires;
     
  • Air Canada a rappelé plus de 10 000 employés et embauché de nouvelles recrues au sein des groupes de l'Exploitation en 2021, en plus de lancer des programmes de formation connexes pour appuyer le retour, la croissance et le perfectionnement des employés dans leurs fonctions, y compris en matière de sécurité;
     
  • pour concrétiser son engagement à l'égard de la sécurité de la clientèle et du personnel, le transporteur a mené tout au long de l'année Air Canada SoinPropre+, un programme complet de mesures de biosécurité les plus avancées de l'industrie à chacune des étapes du voyage;
     
  • en 2021, la Fondation Air Canada a amassé plus de 1 000 000 $, versé près de 600 000 $ et soutenu environ 160 organismes caritatifs;
     
  • Air Canada a célébré le 15e anniversaire de son Programme d'entraide Aéroplan. En 2021, près de 65 millions de points ont été donnés par Aéroplan et ses membres au moyen du Programme d'entraide Aéroplan.

Air Canada surveille de près l'évolution de la communication d'information sur les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance. En 2022, la Société a également publié son premier rapport aligné sur le cadre du Groupe de travail sur l'information financière reliée aux changements climatiques (GIFCC), qui peut aussi être consulté à www.aircanada.com.

À propos d'Air Canada

Air Canada est la plus importante société aérienne du Canada, le transporteur national du pays et un membre cofondateur du réseau Star Alliance -- le plus vaste regroupement mondial de sociétés aériennes, qui célèbre son 25e anniversaire en 2022. Les lignes passagers régulières d'Air Canada relient sans escale 51 aéroports au Canada, 51 aux États-Unis et 86 sur le reste du globe. En Amérique du Nord, Air Canada constitue le seul transporteur aérien d'envergure internationale offrant une gamme complète de services à détenir la cote quatre étoiles de Skytrax qui, en 2021, lui a décerné les prix Meilleur personnel au sol et à bord en Amérique du Nord, Meilleur personnel au sol et à bord au Canada, Meilleur salon de classe affaires en Amérique du Nord ainsi qu'un Prix d'excellence dans la gestion de la COVID-19. Par Aéroplan, son programme de fidélité phare du secteur du voyage, Air Canada donne la possibilité d'accumuler ou d'échanger des points auprès du plus grand réseau mondial de transporteurs partenaires, au nombre de 45, et contre un éventail considérable de primes -- marchandises, séjours hôteliers ou locations de véhicules. Air Canada Cargo, division fret d'Air Canada, dispose de la capacité d'emport et de la connectivité pour desservir des centaines de destinations sur six continents au moyen des vols passagers d'Air Canada et des vols tout-cargo de sa flotte d'avions-cargos 767-300 de Boeing. Air Canada s'est fixé un objectif de carboneutralité de toutes ses activités à l'échelle mondiale d'ici 2050.

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GOWLING WLG nommé « cabinet de l’année » en droit de la publicité et du marketing

25 août 2022

Prix et distinctions

L’édition 2023 de Best LawyersMC in Canada a reconnu 226 avocats de Gowling WLG, pour un total de 414 classements dans 57 domaines de pratique.

Cabinet juridique de l’année

Gowling WLG a été nommé « Cabinet de l’année » en Droit de la publicité et du marketing au Canada pour 2023. Il s’agit de la seconde année consécutive que Best LawyersMD décerne ce prestigieux titre au cabinet pour son travail dans le domaine.

Avocat de l’année

Dix-huit associés de Gowling WLG ont été nommés « Avocat de l’année ». Cette reconnaissance est décernée aux juristes qui, dans leur région et leur domaine de pratique respectifs, ont reçu la note la plus élevée selon l’appréciation de leurs pairs.

....

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AGENCE QMI I MISE À JOUR 

Le géant français du sport Décathlon s’installera à l’été 2023 dans un nouvel espace de vente du centre commercial Marché Central, sur le boulevard de l’Acadie à Montréal. 

AFP

Décathlon rejoindra ainsi les 60 locataires actuels du Marché Central.

«Nous sommes très heureux d'ouvrir un nouveau magasin dans le centre commercial du Marché Central», a déclaré Marion Nadeau, directrice régionale du Québec chez Décathlon Canada, dans un communiqué mercredi.

«Cet emplacement permettra aux habitants de la grande région de Montréal d'avoir un accès encore plus grand à nos équipements sportifs abordables et de qualité. Nous avons hâte de créer des liens durables au sein de la communauté et nous espérons partager notre amour du sport et de la vie active avec toutes les personnes qui entrent dans le magasin», a-t-elle ajouté.

Le magasin Décathlon du Marché Central, dont l'ouverture est prévue à l'été 2023, sera le 14e de la marque au pays et le cinquième à Montréal.

Une sixième phase de vente

La succursale sera située dans un nouvel espace de vente au détail du Marché Central, situé sur un terrain adjacent de 30 acres, acquis par Groupe immobilier QuadReal à des fins de développement.

«La sixième phase est en cours de construction et comprendra un Supercentre Walmart Canada à la fine pointe de la technologie de 140 000 pieds carrés doté d'un toit vert de 125 000 pieds carrés», a expliqué le centre commercial par communiqué.

Actuellement, le centre commercial comprend cinq phases de vente au détail sous la forme de 16 bâtiments totalisant une superficie locative brute de plus d'un million de pieds carrés.

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GOWLING WLG nommé « cabinet de l’année » en droit de la publicité et du marketing

25 août 2022

Prix et distinctions

L’édition 2023 de Best LawyersMC in Canada a reconnu 226 avocats de Gowling WLG, pour un total de 414 classements dans 57 domaines de pratique.

Cabinet juridique de l’année

Gowling WLG a été nommé « Cabinet de l’année » en Droit de la publicité et du marketing au Canada pour 2023. Il s’agit de la seconde année consécutive que Best LawyersMD décerne ce prestigieux titre au cabinet pour son travail dans le domaine.

Avocat de l’année

Dix-huit associés de Gowling WLG ont été nommés « Avocat de l’année ». Cette reconnaissance est décernée aux juristes qui, dans leur région et leur domaine de pratique respectifs, ont reçu la note la plus élevée selon l’appréciation de leurs pairs.

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Air Canada


 

Alfid Services Immobiliers Ltée


 

 

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INVESTIR.FR |  | 

2022 est une « année historique pour l’ensemble du groupe Technicolor. [Elle est] marquée par l’avènement de deux nouvelles histoires créatrices de valeur », a souligné Anne Bouverot, la présidente du conseil d’administration.

Les actionnaires ont approuvé la distribution de 65% du capital de TCS aux porteurs de Technicolor SA sous forme de dividende en nature.

La scission de Technicolor interviendra à la fin du mois | Crédits photo : Technicolor
La scission de Technicolor interviendra à la fin du mois | Crédits photo : Technicolor

Sept mois après son annonce, la scission (spin-off en anglais) de Technicolor est en passe d’être effective. Elle le sera le 27 septembre, très exactement. Réunis en assemblée générale pour la troisième fois de l’année ce mardi, les actionnaires ont voté en faveur de la distribution de 65% du capital de Technicolor Creative Studios aux porteurs de titres Technicolor SA sous forme de dividende en nature.

Le groupe, en quasi-faillite en 2020, sera donc divisé en deux entreprises distinctes. La première, qui est aussi la plus lucrative et la plus prometteuse, regroupera les activités d’effets spéciaux pour l'industrie des films, des séries et des jeux vidéo et sera baptisée Technicolor Creative Studios, ou TCS. La seconde, focalisée sur le métier historique de la maison connectée (set-top box pour les câblo-opérateurs) et la duplication de DVD pour les majors de la musique et du cinéma, prendra le nom de Vantiva. Toutes deux seront cotées séparément à la Bourse de Paris.

Création de valeur

2022 est une « année historique pour l’ensemble du groupe Technicolor. [Elle est] marquée par l’avènement de deux nouvelles histoires créatrices de valeur », a souligné Anne Bouverot. La présidente du conseil d’administration, comme le directeur général Richard Moat, ont insisté sur la « création de valeur pour toutes les parties prenantes pour les années à venir » que l’opération doit permettre. Elle doit aussi redonner des marges de manœuvre financière pour chaque entité. Un gros travail a été fait sur la dette. Vantiva a reçu des engagements de dette privée pour 375 millions d’euros de la part de Barclays et du fonds Angelo Gordon. TCS, lui, affiche une dette de 673 millions et dispose d’une facilité de crédit renouvelable de 40 millions d’euros. « Comment le conseil d’administration a-t-il choisi de répartir la dette entre les deux entités ? », a interrogé Jean-François Delcaire, gérant chez HMG Finance. « Le groupe avait une dette d’à peu près 1 milliard, a rappelé le directeur financier Laurent Carozzi. Nous avons fait ce que le marché nous a permis de faire. Vantiva est notée CCC, il a donc fallu trouver des prêteurs. Le montant maximum que nous avons pu lever est de 375 millions, via une dette unitranche de type privé. Le reliquat est donc porté par TCS, qui affiche, certes, un gearing élevé, supérieur à 5, mais la société TCS est en croissance, elle doit générer du free cash-flow et se désendetter. Elle peut donc le supporter. » Quel prix pour l’action TCS ? « Le conseil d’administration le déterminera le 22 septembre en se fondant sur l’analyse du cabinet Finexsi », a précisé le directeur financier. 

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Services économiques français au Canada I Direction générale du Trésor

 

 

Sommaire

 

Politiques économiques et commerciales

 

Entreprises

  • Les pénuries sur le marché du travail trouveraient en partie leur origine dans des salaires suffisamment attractifs
  • Une nouvelle obligation sur le remboursement des billets d’avions au Canada fait l’unanimité contre elle
  • Les syndicats obtiennent de fortes augmentations de salaire sur fond d’inflation persistante et de pénurie de travailleurs

 

 

 

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Par Rozenn Gourvennec I Publié le 14-09-22 I Le Figaro International

La deuxième plus grande province du Canada après le Québec concentre près de 40% de la population canadienne. Elle constitue le moteur économique et financier du pays.

Considérée comme la ville la plus multiculturelle au monde avec 49% de sa population née à l'étranger, Toronto est le cœur financier du Canada. Adobestock

La deuxième plus grande province du Canada après le Québec concentre près de 40% de la population canadienne. Elle constitue le moteur économique et financier du pays.

Au cœur de la région des Grands Lacs, l'Ontario représente un territoire aussi vaste que la France et l'Espagne réunies. Paysages splendides, multiculturalisme, bonnes structures d'éducation et de santé... la province a tout pour plaire, d'autant qu'elle offre d'excellentes opportunités de carrière, notamment dans les secteurs des biotechnologies, de l'industrie (aéronautique, agroalimentaire, automobile et mécanique), des services financiers et des technologies de l'information.

À découvrir

Toronto, ville cosmopolite

La province abrite deux villes principales : Toronto, sa capitale et Ottawa, la capitale fédérale. Située à proximité du Québec, cette dernière jouit d'une qualité de vie sans pareil grâce à 880 parcs, un grand domaine de ski de fond, un taux de criminalité parmi les plus bas du pays, deux universités prestigieuses et un coût de la vie raisonnable.

À LIRE AUSSIEntreprendre en Ontario : 6 bonnes adresses

Considérée comme la ville la plus multiculturelle au monde avec 49% de sa population née à l'étranger, Toronto est le cœur financier du Canada, avec la troisième bourse d'Amérique du Nord et un grand nombre de sièges sociaux de banques et établissements financiers. Pas moyen de s'ennuyer dans cette ville à la fois culturelle et sportive. Manifestations et festivals se succèdent tout au long de l'année, tandis que les parcs et forêts offrent une multitude de loisirs, du bateau aux matchs de beach-volley en passant par le vélo et la balade en canoë.

5% d'inflation

Province majoritairement anglophone, l'Ontario accueille la plus grande communauté francophone du Canada en dehors du Québec, soit environ 600.000 personnes de langue française. Les enfants ont accès gratuitement à l'éducation en français et en anglais, et ce jusqu'à l'université, puisque la province compte 455 écoles de langue française et deux collèges publics en français. Enfin, si vous parlez anglais, vous aurez toutes vos chances de trouver facilement un travail car les talents bilingues sont très prisés des entreprises ontariennes.

 

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Aujourd'hui marque le cinquième anniversaire de l'application provisoire de l'accord économique et commercial global entre l'UE et le Canada (CETA).

Pictures of EU and Canadian flags in front of the Berlaymont building

Aujourd'hui marque le cinquième anniversaire de l'application provisoire de l'accord économique et commercial global entre l'UE et le Canada (CETA). L'accord a contribué à stimuler le commerce de l'UE avec le Canada et a fourni à l'UE une source d'approvisionnement solide et fiable pour des ressources clés telles que l'énergie et les matières premières. S'appuyant sur cette relation plus étroite, le partenariat stratégique UE-Canada sur les matières premières, signé en juin 2021, s'est avéré particulièrement important dans le contexte géopolitique actuel.

Le vice-président exécutif et commissaire chargé du commerce, Valdis Dombrovskis, a déclaré :

« Nous avons maintenant cinq ans de preuves solides que le CETA contribue à soutenir l'emploi et la croissance dans l'UE, sans aucun inconvénient. Grâce au CETA, les échanges commerciaux entre l'UE et le Canada ont augmenté. Il a soutenu un nombre impressionnant de 700 000 emplois dans l'UE. Tous les secteurs économiques en profitent. Le CETA a cimenté notre solide relation avec le Canada, un partenaire de confiance aux vues similaires. Le CETA a fait progresser le commerce des produits verts et nous a donné un accès privilégié à l'énergie et aux matières premières, comme en témoigne la croissance fulgurante des importations de l'UE dans ces ressources clés. C'est le type de partenariat dynamique dont nous avons besoin dans le climat géopolitique turbulent d'aujourd'hui. »

Plus d'informations sont disponibles dans notre communiqué de presseRechercher les traductions disponibles de ce lienEN••• en ligne. À l'occasion du cinquième anniversaire de l'application provisoire du CETA, la Direction générale du commerce et la Délégation de l'Union européenne au Canada, en collaboration avec le Service des instruments de politique étrangère (FPI) de la Commission européenne, organisent aujourd'hui un événement intitulé « Cinq ans de CETA : un commerce durable et fiable en des temps incertains »Rechercher les traductions disponibles de ce lienEN•••.

L'événement montrera comment le CETA est efficace à la fois sur le plan économique et en tant qu'accord global englobant un large éventail de relations entre l'UE et le Canada et facilitant les transitions numérique et verte dans les deux économies.

Pour en savoir plus

Plus d'informations ici

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Par CCCF - Cyclo Club Canadien de France I Le figaro

Les Canadiens de Paris et les entrepreneurs français du Canada se retrouvent désormais à vélo au sein du CCCF, le nouveau club cycliste de la communauté franco-canadienne. Alors, le vélo est-il la version décontractée des cocktails d'entrepreneurs ?

L'équipe Cyclo Club Canadien de France Service Presse CCCF

Lorsque l'on pense vélo à Paris, on pense moyen de transport. C'est normal, car entre les cyclistes qui se pressent dans les embouteillages et les coursiers qui grillent les feux, il est rare que l'on pense à l'aspect convivial de la pratique de la petite reine, surtout lorsqu'on vient d'arriver. Ainsi, les néophytes du vélo ou les canadiens qui emménagent à Paris n'imaginent pas toutes les sorties que l'on peut faire dans un mouchoir de poche.

Fort de ce constat, Philippe Holl – président de l'agence CH&C, spécialisée dans les relations entre la France et le Canada – a eu l'idée de créer un club dédié à la communauté franco-canadienne. Sortie après sortie, le club veut faire découvrir les routes parisiennes aux Canadiens qui s'installent en France, mais aussi créer une synergie entre les acteurs économiques et culturels franco-canadiens, dans une ambiance moins rigide que celle des cocktails habituels. Favorable aux nouvelles idées, la Chambre de Commerce France-Canada l'a assuré de son appui, tandis que Desjardins et Air Canada ont également été séduits par l'aventure.

« Si CCCF correspond aux initiales du Cyclo Club Canadien de France, cela pourrait tout aussi bien être le résumé des points-clés de notre manifeste : communauté, cyclisme, convivialité et fraternité. C'est donc le club d'une communauté, qui se rassemble grâce au vélo, dans une ambiance sympathique et tout à fait inclusive. »

Philippe Holl, président de CH&C

Organisée à l'occasion de la fête nationale canadienne, la première sortie a eu lieu en direction de l'ouest parisien. Unis par leur élégant maillot rouge, les pionniers ont profité des longues pistes cyclables qui bordent la Seine et terminé leur boucle par ce qui figure déjà comme la pierre angulaire du club : le brunch de fin de sortie.

Si l'on connaissait les vertus écologiques ou sportives du vélo, les entrepreneurs des deux pays ont découvert ses vertus économiques. Dans un peloton, il n'y a plus de petits ou de grands patrons, de sportifs de toujours ou de débutants post-confinement mais uniquement des cyclistes, unis par l'effort ou le plaisir de rouler. En effet, le vélo nivelle les différences comme l'uniforme, tandis que la gêne du face-à-face disparaît lorsque l'on roule côte à côte.

Ainsi, au sein du groupe, les contacts se sont noués spontanément et les participants enchantés n'ont eu qu'un regret : le manque de participantes. En discutant avec les femmes de la communauté d'affaires, Philippe Holl a alors réalisé que leurs barrières étaient simplement celles de toute personne qui démarre le vélo : celles de ne pas y arriver, de retarder les autres ou encore de s'afficher en lycra… C'est pourquoi, le principe du CCCF est simple : chacun vient comme il veut, dans la tenue avec laquelle il se sent le plus à l'aise pour rouler. La seule condition est d'être à l'heure au rendez-vous, avec un vélo de route ou un VAE correctement entretenu. Afin de convenir à tous les niveaux, les sorties sont ensuite proposées sous trois formes – baladeurs (10/15 km), initiés (40 km) et performeurs (70 km) – et tout le monde se retrouve ensuite pour le brunch.

Mais Paris à vélo alors, est-ce que ça vaut vraiment le coup ? Si l'on prend le point précis dit du « kilomètre zéro des routes de France » sur le parvis de Notre-Dame de Paris, la Marne et ses guinguettes sont à 11 km, le polygone du bois de Vincennes (une route de trois kilomètres réservée aux cyclistes) à 8 km seulement et le château de Versailles vous ouvre ses portes après 20 kilomètres de routes forestières.

Pour les plus aguerris, les parcs naturels entourent la capitale. Il y a bien sûr la Haute vallée de Chevreuse, bien connue des cyclosportifs parisiens, mais aussi le Vexin ou encore le Gâtinais Français, dont il est aisé de rentrer en train depuis Fontainebleau, en compagnie de tout ce que la capitale compte de randonneurs et de trail runners.

Quant aux prochaines étapes, le CCCF se retrouvera pour une sortie de rentrée le 30 septembre, ouverte à tous les Franco-Canadiens sur simple demande par courriel. Le club roulera ensuite en hommage aux Canadiens engagés dans la Première Guerre mondiale à l'occasion d'une sortie entre Péronne et Vimy le 11 novembre.

Renseignements et inscriptions : contact@cccfrance.fr

Contenu conçu et proposé par CCCF Cyclo Club Canadien de France. La rédaction du Figaro n'a pas participé à la réalisation de cet article.

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Électrification des réseaux de transports, décarbonation des bâtiments, virage numérique de l’industrie agricole : les projets dans le secteur des technologies propres bouillonnent dans le Grand Montréal. On peut penser à JLL et Alstom qui ont tous deux inauguré des centres d’innovation en durabilité, ou à l’implantation de 7Gen qui accompagne les gestionnaires de flottes dans l’électrification de leurs véhicules.

Comment la métropole peut-elle propulser les projets de technologies propres? Comment les investisseurs étrangers peuvent-ils contribuer à la décarbonation de notre économie? Des intervenants au cœur de ce secteur en pleine effervescence ont partagé leurs réflexion lors d’un panel organisé par Montréal International dans le cadre de l’événement C2 Montréal.

De gauche à droite : Nathalie Ouellet (animatrice), Catherine Bérubé (Cycle Capital), Olivier Marcil (Alstom), Teodora Toteva (Montréal International), Frédéric Bel (7Gen)

 

Selon Teodora Toteva, directrice, Technologies propres chez Montréal International, la diversité de l’écosystème des technologies propres fait toute la différence auprès des investisseurs. « Les technologies propres représentent l’un des secteurs les plus prometteurs au Québec. On y retrouve plus de 1 000 organisations, 15 campus universitaires, des centres de recherche publics et un énorme bassin de talents hautement qualifiés. Tant le secteur public que le secteur privé est mobilisé, ce qui nous donne un bel élan dans la lutte aux changements climatiques. »

Pour sa part, Catherine Bérubé, vice-présidente chez Cycle Capital, observe une grande mobilisation sur le terrain. « Les opportunités sont nombreuses dans le Grand Montréal pour y développer des projets en AgTech, en mobilité durable et en chimie verte. Nous avons beaucoup de startups, de joueurs qui ont beaucoup d’ambition en matière de technologies vertes. Nous avons beaucoup de solutions prêtes à transformer notre économie. Il faut passer à l’action rapidement. »

Plus particulièrement, le secteur de la mobilité durable de la métropole présente des atouts notables, selon Olivier Marcil, vice-président, Affaires publiques, Alstom. Il affirme que le Québec et le Grand Montréal se démarquent notamment en raison de son électricité produite à plus de 99 % de sources propres et renouvelables. « Nous sommes un fournisseur à l’échelle pancanadienne de métros alimentés d’énergie renouvelable. Nous en sommes fiers, mais qu’en est-il des autres types de transports tel que les trains, les avions, les camions? Nous avons encore beaucoup de chemin à faire. »

C’est d’ailleurs un mandat que s’est donné 7Gen. L’entreprise vancouveroise s’est récemment implantée à Montréal pour accompagner les entreprises locales dans l’électrification de leur flotte de véhicules. Son vice-président, Frédéric Bel, explique que malgré les dépenses élevées reliées à ce type de projets, le Québec se classe parmi les provinces les plus généreuses et mobilisées, tel que le démontre l’électrification en cours de ses quelque 10 000 autobus scolaires. « Le Québec et le Grand Montréal se classe parmi les meilleurs endroits pour partir un projet en technologies vertes en raison de son écosystème et des incitatifs gouvernementaux. Mais nous devons en faire plus pour accélérer la transition. »

Le panel était animé par Nathalie Ouellet, consultante en stratégie et développement durable.

5 raisons d’investir en technologies vertes dans le Grand Montréal:

  1. Montréal est la première ville au Canada pour le financement de recherche universitaire.
  2. L’écosystème cleantech au Québec compte 85 000 emplois et 1 000 organisations
  3. Le Québec est le 1er producteur d’énergie renouvelable en Amérique du Nord
  4. Le secteur des TI permet le développement d’infrastructures intelligentes
  5. Une douzaine d’organisations internationales spécialisées en développement durable sont établies à Montréal

Pour en savoir plus sur les opportunités dans le Grand Montréal, consultez notre profil sectoriel.

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L’entreprise française Soprema se spécialise dans les produits d’étanchéité et d’isolation.

L'usine Soprema de Drummondville.

PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-FRANÇOIS DUMAS

L’entreprise française Soprema, qui se spécialise dans les produits d’étanchéité et d’isolation, a annoncé jeudi qu'elle construira une nouvelle usine à Drummondville. Ce projet sera rendu possible grâce à un investissement de 30 millions de dollars et à un soutien remboursable d'un million de la part du fédéral. L'objectif de l'entreprise est ainsi de bâtir sa propre chaîne d'approvisionnement, tout en réduisant son empreinte écologique.

L'usine traitera le polyol recyclé. Cette matière est entre autres présente dans les bouteilles de plastique et servira à fabriquer des panneaux isolants.

Ce qu’on va faire, c'est recycler d’une part des produits qui sont assez traditionnels et qui peuvent être recyclés, comme les bouteilles de [...] liqueur, mais ça peut aller jusqu’au recyclage de vêtements, aussi. Ce que nous sommes en train de développer, c'est une filiale de recyclage de matériaux, explique le vice-président de Soprema, Richard Voyer.

Présentement, des panneaux isolants de l'entreprise sont en partie fabriqués avec des matières américaines, ce qui est loin d'être idéal, concède-t-il.

La situation des matières premières est criante pour toute l'entreprise. On se fiait souvent aux États-Unis, et on s'est rendu compte que, malgré le libre-échange, les gens pensent à eux en premier, explique-t-il.

Dix emplois seront créés par le projet. La construction de la nouvelle usine devrait s'amorcer au printemps, aux abords de l’usine existante.

C'est une usine qui va être hyperperformante, avec peu d'employés, mais qui va générer des bienfaits économiques et environnementaux pour la société, souligne Richard Voyer.

La mairesse de Drummondville, Stéphanie Lacoste, le ministre du Patrimoine canadien, Pablo Rodriguez, le vice-président de Soprema en arrière, Richard Voyer et le directeur d’usine chez Soprema, Pascal Proulx.

La mairesse de Drummondville et le ministre du Patrimoine canadien Pablo Rodriguez étaient sur place lors de l'annonce.
PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-FRANÇOIS DUMAS

La mairesse de Drummondville, Stéphanie Lacoste, accueille le projet de manière très positive.

Soprema est vraiment une industrie qui va nous aider dans notre nouvelle vision économique qu’on veut implanter à Drummondville, souligne t-elle.

Le ministre canadien du Patrimoine, Pablo Rodriguez, était sur place jeudi pour annoncer l'aide remboursable fédérale.

C’est une contribution qui est remboursable sans intérêt, et qui va permettre de donner un petit coup de pouce. C’est notre façon à nous de venir encourager ceux qui vont de l’avant et ceux qui innovent, a-t-il déclaré en conférence de presse.

Avec les informations de Jean-François Dumas

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Groupe Adaming

Think straight, Talk straight

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Discours de bienvenue dans le cadre de la Table ronde organisée par l’ambassade du Canada en France

En partenariat avec la Chambre de commerce France-Canada

Paris, Ambassade du Canada, 13 octobre 2022

 

Les cinq ans de l’Accord économique et commercial global, le CETA

Stéphane Dion

Ambassadeur du Canada en France et à Monaco et

Envoyé spécial pour l’Europe et l’Union européenne

 

LE DISCOURS PRONONCÉ FAIT FOI

Mesdames et Messieurs,

 

C’est très réconfortant pour le nouvel ambassadeur que je suis de savoir que, pour promouvoir toujours davantage les échanges économiques entre la France et le Canada, il existe un regroupement de gens d’affaire au sein de la Chambre de Commerce France-Canada, guidés par un formidable président, Daniel Jouanneau, ancien consul général de France à Québec et ancien ambassadeur de France à Ottawa et grand ami du Canada, lui-même solidement appuyé par Madame Caroline Garnier, Directrice de la CCFC et toute son équipe.

C’est un honneur pour moi de me retrouver devant vous, entrepreneurs et représentants qui incarnez concrètement, par vos exportations, par vos investissements, la force des liens économiques entre la France et le Canada. Vous pouvez compter sur moi et l’ambassade toute entière pour vous aider à développer encore davantage les relations économiques entre nos deux pays.

L’un de nos outils pour y parvenir est l’AECG, ou CETA, l’Accord économique et commercial global entre l’Union européenne et le Canada.  Merci à chacune et chacun d’être ici présents pour en souligner les cinq années de mise en œuvre. Les retombées positives de cet accord commercial sont substantielles. Je laisserai le soin à Mme Marie-France Paquet, Économiste en chef d’Affaires mondiales Canada, d’en faire état. Je vous en remercie, Mme Paquet.

Le CETA est mis en œuvre depuis cinq ans et a été ratifié par 16 des 27 États membres de l’Union européenne, mais pas encore par la France. Les Pays-Bas viennent de ratifier, on espère que l’Allemagne suivra bientôt. Je sais qu’ici en France votre Chambre de commerce est une voix active appelant à la ratification. Nous continuerons à travailler ensemble en ce sens, mais sans risquer de précipiter un vote parlementaire que nous ne serions pas assurés de gagner.

Les raisons abondent pour célébrer ce cinquième anniversaire du CETA et en recommander la ratification. Au-delà des chiffres, que Mme Paquet va nous présenter, qui attestent l’étendue des bénéfices commerciaux du CETA pour nos deux pays, permettez que je mentionne trois aspects qui soulignent l’importance de cet accord commercial pour générer plus de prospérité dans nos deux pays.

Premièrement, le CETA ça marche, y compris pour les petites et moyennes entreprises.

Depuis son entrée en vigueur le 21 septembre 2017, le CETA a aidé un nombre considérable d’entreprises de toutes tailles à réduire leurs risques en diminuant les barrières à l’exportation.

Juste avant la pandémie, près de 3 100 exportateurs canadiens étaient présents en France, soit 300 entreprises de plus qu’en 2016. Et plus de 10 000 exportateurs français étaient présents au Canada, 400 de plus qu’en 2016. Et ces entreprises ne sont pas seulement à Montréal ou à Paris. Elles se retrouvent dans les différentes régions françaises et provinces canadiennes.

Deuxièmement, le CETA ça marche aussi pour l’environnement naturel. Le commerce de biens environnementaux entre le Canada et l’Union européenne a augmenté de près de 22% depuis l’entrée en vigueur du CETA. On parle de produits qui contribuent notamment à réduire la pollution atmosphérique, facilitent le traitement de l’eau et aident à la gestion des déchets. Le CETA a éliminé les droits de douane sur ces produits, tout environnementaliste doit s’en réjouir!

Grâce au CETA nous avons créé un cadre institutionnel fort pour le développement durable : 50 dialogues, comités et groupes de travail dans les domaines des changements climatiques, de la biodiversité et de la transition écologique.

Le Comité mixte sur le commerce, le climat et l’Accord de Paris travaille par exemple à élargir la tarification du carbone au niveau mondial, alors que le Comité sur le commerce et le développement durable facilite la collaboration en matière de gestion des produits chimiques, du développement de produits durables et de l’économie circulaire.

Le CETA s’avère ainsi un levier pour un environnement naturel plus sain et une lutte plus efficace contre les changements climatiques. 

Troisièmement, le CETA est encore plus nécessaire maintenant que les États démocratiques réalisent encore plus clairement, depuis la guerre d’agression de Poutine contre l’Ukraine, combien ils ont intérêt à renforcer leurs liens économiques pour être moins dépendants de régimes autoritaires comme la Russie et la Chine.

Les États démocratiques européens cherchent à sortir de leur dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie mais aussi de leur dépendance aux minéraux critiques de la Chine.

L’importance du CETA ressort en pleine lumière, alors même que l’Europe réfléchit de manière plus stratégique à ses vulnérabilités économiques et à la manière d’y faire face. Tandis que la prévisibilité, la sécurité des approvisionnements et l’accès aux marchés sont remis en cause, la question de la résilience de nos économies et de nos entreprises se pose avec beaucoup d’acuité.

L’Europe est à la recherche d’une politique calibrée pour un monde où les relations de dépendance économique avec les pays non démocratiques sont de plus en plus considérées comme un facteur de risque.

Une réorientation stratégique est donc en cours pour une adaptation à un monde où la sécurité des approvisionnements, en particulier l’approvisionnement en énergie et en matières premières, n’est plus déterminée uniquement par les lois de l’offre et de la demande, mais doit être placée dans un contexte qui inclut des considérations géopolitiques et environnementales.

Il y a ainsi, en France et en Europe, un intérêt accru pour le Canada, une démocratie stable, alliée, forte en technologie et en R&D, et dotée en abondance de ressources naturelles critiques. Le CETA, qui a éliminé les barrières tarifaires et considérablement réduit les obstacles non tarifaires, devient plus que jamais un outil précieux, économique, social, environnemental, mais aussi géopolitique.

À court terme, le Canada peut aider à substituer certains des intrants russes dont l’Europe dépend, comme l’uranium et la potasse. Pour le gaz et le pétrole, nous avons annoncé une augmentation de la production et des exportations de 300 000 barils par jour d’ici la fin de 2022, mais nous sommes conscients qu’il faut en faire davantage.

À plus long terme, il est envisageable d’augmenter les exportations de gaz naturel liquéfié vers l’Europe, dans une démarche de transition énergétique. Il est primordial que les infrastructures qui seront construites puissent être converties pour la production et l’exportation d’hydrogène propre. Nos pays se sont engagés à atteindre la neutralité carbone pour 2050, et nous entendons y parvenir pour éviter à l’humanité les pires conséquences du réchauffement planétaire.

Il faut renforcer les liens économiques et commerciaux transatlantiques dans des secteurs industriels d’avenir, comme les batteries pour véhicules électriques, le stockage stationnaire, les rénovations écologiques, l’intelligence artificielle, ou les minéraux critiques.

Le plus récent budget du gouvernement canadien, prévoit un investissement de 2.8 milliards d’euros pour la mise en œuvre de la première Stratégie sur les minéraux critiques du Canada.

Mon pays produit aujourd’hui plus de 60 minéraux et métaux et possède toutes les ressources nécessaires pour adopter une approche « de la mine à la mobilité ». De l'extraction et du traitement des minerais, en passant par le recyclage des matériaux, il faut développer, au Canada, des chaînes d'approvisionnement en minéraux critiques compétitives à l'échelle mondiale.

Le Canada souhaite envoyer à ses partenaires un signal clair qu’il est un endroit de choix où investir dans le développement de l’économie verte et numérique. Parce qu’il est impératif de se donner les moyens d’affronter, ensemble, l’une des crises structurelles les plus importantes de nos vies : celle des changements climatiques. Le CETA peut et doit favoriser une transition vers une économie décarbonée.

La guerre de Poutine a rendu cette transition encore plus difficile à accomplir. En effet, maintenant que l’Europe doit se sevrer rapidement du gaz russe, plusieurs pays reviennent au charbon qui, comme vous le savez, émet deux fois plus que le gaz naturel.

Pour rester sur la bonne voie et atteindre ses objectifs climatiques exigeants, l’Europe voit qu’elle a besoin du Canada, de notre expertise technologique, de notre énergie propre et de nos ressources naturelles.

L’obligation de s’adapter aux effets néfastes croissants des changements climatiques accroît l’intérêt des Européens pour le savoir-faire canadien, par exemple pour notre capacité à détecter et à combattre les incendies de forêt, ou pour notre expertise en gestion de l’eau.

En conclusion, mesdames et messieurs, en cinq ans, le CETA a démontré toute sa valeur économique, sociale, et environnementale. Je sais que vous en êtes convaincus, je voulais simplement faire ressortir à quel point nos arguments pour convaincre sont solides.

Quant à l’avenir, nous savons qu’il est nécessaire aujourd’hui plus que jamais de développer les liens commerciaux entre pays alliés, qui partagent des normes environnementales, sociales et de gouvernance élevées, et des valeurs démocratiques communes. Le CETA est essentiel pour faciliter cette transition.

À titre d’Ambassadeur du Canada en France et à Monaco, et comme Envoyé spécial du premier ministre Trudeau pour l’Europe et l’Union européenne, je m’engage à promouvoir le CETA en France comme partout dans l’Union européenne. Et mon équipe à l’ambassade est mobilisée pour travailler avec la communauté d’affaires des deux côtés de l’Atlantique pour que les relations commerciales se renforcent encore davantage au cours des prochaines années.

Je vous souhaite à toutes et tous une excellente table ronde.

Il me fait plaisir d’y participer afin d’entendre vos expériences, recueillir vos témoignages et discuter de votre vision de l’avenir du CETA.

Mme Marie-France Paquet va maintenant nous présenter plus en détails l’étendue des bénéfices commerciaux du CETA pour nos deux pays. Rappelons-nous simplement qu’au-delà des bons chiffres, cet accord a permis de créer de nouvelles occasions d’affaires respectueuses des gens, de l’environnement et des intérêts supérieurs de nos pays démocratiques.

     

     

 

QUÉBEC, le 20 oct. 2022 /CNW Telbec/ - Le premier ministre du Québec, François Legault, a dévoilé aujourd'hui, avec fierté, la composition de son Conseil des ministres. Au total, 30 personnes ont été nommées, dont 14 femmes, ce qui place le Conseil en zone paritaire. Le premier ministre a notamment souligné que, pour une première fois dans l'histoire du Québec, une femme autochtone accède à un poste de ministre.

La répartition des responsabilités au sein de ce Conseil des ministres est la suivante :

M. François Legault
Premier ministre

Mme Geneviève Guilbault
Vice-première ministre
Ministre des Transports et de la Mobilité durable

M. Eric Girard
Ministre des Finances
Ministre responsable des Relations avec les Québécois d'expression anglaise

Mme Sonia LeBel
Ministre responsable de l'Administration gouvernementale et présidente du Conseil du trésor

M. Christian Dubé
Ministre de la Santé

Mme Christine Fréchette
Ministre de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration

M. Pierre Fitzgibbon
Ministre de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie
Ministre responsable du Développement économique régional
Ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

Mme Pascale Déry
Ministre de l'Enseignement supérieur

M. Benoit Charette
Ministre de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs
Ministre responsable de la région des Laurentides

Mme Andrée Laforest
Ministre des Affaires municipales
Ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean

M. Simon Jolin-Barrette
Ministre de la Justice

Mme Martine Biron
Ministre des Relations internationales et de la Francophonie
Ministre responsable de la Condition féminine

M. Bernard Drainville
Ministre de l'Éducation
Ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches

Mme Caroline Proulx
Ministre du Tourisme
Ministre responsable de la région de Lanaudière

M. Mathieu Lacombe
Ministre de la Culture et des Communications
Ministre responsable de la Jeunesse
Ministre responsable de la région de l'Abitibi-Témiscamingue et de la région de l'Outaouais

Mme Isabelle Charest
Ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air

M. Lionel Carmant
Ministre responsable des Services sociaux

Mme Sonia Bélanger
Ministre déléguée à la Santé et aux Aînés

M. Jean-François Roberge
Ministre de la Langue française
Ministre responsable des Relations canadiennes et de la Francophonie canadienne
Ministre responsable des Institutions démocratiques
Ministre responsable de l'Accès à l'information et de la Protection des renseignements personnels
Ministre responsable de la Laïcité

Mme Chantal Rouleau
Ministre responsable de la Solidarité sociale et de l'Action communautaire

M. François Bonnardel
Ministre de la Sécurité publique
Ministre responsable de la région de l'Estrie

Mme Suzanne Roy
Ministre de la Famille
Ministre responsable de la région de la Montérégie

M. Éric Caire
Ministre de la Cybersécurité et du Numérique

Mme Kateri Champagne Jourdain
Ministre de l'Emploi
Ministre responsable de la région de la Côte-Nord

M. André Lamontagne
Ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation
Ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

Mme France-Élaine Duranceau
Ministre responsable de l'Habitation

Mme Maïté Blanchette Vézina
Ministre des Ressources naturelles et des Forêts
Ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

M. Christopher Skeete
Ministre délégué à l'Économie
Ministre responsable de la Lutte contre le racisme
Ministre responsable de la région de Laval

M. Jonatan Julien
Ministre responsable des Infrastructures
Ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale

M. Jean Boulet
Ministre du Travail
Ministre responsable de la région de la Mauricie et de la région du Nord-du-Québec

M. Ian Lafrenière
Ministre responsable des Relations avec les Premières Nations et les Inuit

Autres responsabilités :

M. Éric Lefebvre
Whip en chef du gouvernement*

M. Mario Laframboise
Président du caucus du gouvernement*

*Ces personnes ne font pas partie du Conseil des ministres.

Création du Comité sur l'économie et la transition énergétique

Le premier ministre a également annoncé la création du Comité sur l'économie et la transition énergétique qu'il présidera lui-même. Ce comité va être composé des ministres de l'Économie, des Finances, de l'Environnement, des Relations avec les Premières Nations et les Inuit ainsi que de la présidente-directrice générale d'Hydro-Québec, Mme Sophie Brochu.

Citation :

« Le 3 octobre 2022, les Québécoises et les Québécois nous ont donné un mandat clair : celui de continuer à travailler pour eux. Ce témoignage de confiance vient avec de très grandes responsabilités et je suis heureux de pouvoir compter un des conseils des ministres les plus forts de notre histoire. On va tout faire pour être au service du Québec. On va être votre gouvernement. »

François Legault, premier ministre du Québec

 

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Fournisseur éco-responsable de services d'infrastructures et de solutions Web3 grâce à une alimentation électrique décarbonée1 et à la mise en place de mesures de sobriété (remise à niveau de supercalculateurs, récupération de chaleur fatale), Exaion franchit une nouvelle étape dans son développement international et renforce son offre à destination des clients nord-américains en s’implantant au Canada. L’objectif : enrichir l’offre infonuagique proposée aux acteurs du continent en mettant à leur disposition des solutions et des services performants, innovants et souverains dans les domaines du cloud 3D, du métavers, du calcul hauteperformance et de la blockchain.

 

Photo d'une ville connectée

 

Exaion Inc., basée à Montréal et représentée sur le territoire par Christophe Rodrigues, directeur de l’innovation, sera le siège social des activités de l’entreprise en Amérique du Nord. En lien avec la raison d’être du groupe EDF, la filiale canadienne déploiera des centres de données décentralisés alimentés par un mix énergétique décarboné à 83 %2 et dont la chaleur fatale sera récupérée pour être valorisée. Elle développera, en partenariat avec des entreprises canadiennes, une offre infonuagique souveraine et parfaitement sécurisée.

Pour ce faire, Exaion Inc. mettra à profit les ressources techniques, l’expertise en gestion d’infrastructures et le savoir-faire unique développés par Exaion sur l’ensemble de la chaîne de valeur du Web3 depuis sa création. Elle s’appuiera également sur les synergies développées avec le groupe EDF dans de nombreux domaines tels que la cybersécurité, le calcul scientifique, le quantique et la gestion de l’énergie. Exaion Inc. créera un laboratoire d’innovation à Sherbrooke afin de travailler sur des services infonuagiques plus responsables, conçus autour de l’informatique durable.

Un premier centre de données décentralisé, baptisé « QC1 », sera mis en service à Sherbrooke dès le mois d’octobre 2022, en partenariat avec l’Université de Sherbrooke. À terme, l’objectif sera de déployer 20 centres de données sur tout le territoire canadien.

Fatih Balyeli, CEO et co-fondateur d’Exaion, a déclaré : « Ce lancement s’inscrit dans le plan d’accélération d’Exaion pour les prochaines années. Nous sommes résolument convaincus que l’Amérique du Nord recèle un formidable potentiel de développement pour un Internet décentralisé, ouvert, plus respectueux de l’environnement et garantissant la protection des données. Nous allons investir dès la première phase de cette implantation pour en faire un succès et parvenir à proposer aux professionnels une offre plus vertueuse et durable. »

Au 1er rang nord-américain et au 6ème rang mondial en matière de centres de données, le Québec est une province leader dans de nombreux secteurs clés (quantique, intelligence artificielle, création numérique…) et offre de nombreuses opportunités en matière de développement commercial et technologique.

Dans le cadre de son implantation au Québec, Exaion a bénéficié de l’appui et des conseils des équipes d’Investissement Québec International : « Nous sommes heureux qu’Exaion ait choisi d’installer le siège de leur développement en Amérique au Québec. Leur choix démontre l’attractivité du Québec dans le secteur des technologies. Leur expertise contribuera à développer le savoir-faire québécois et permettra de renforcer les liens entre l’industrie et le milieu universitaire, grâce à leur collaboration avec l’Université de Sherbrooke. » - souligne Hubert Bolduc, président d’Investissement Québec International.

1 En France, l’électricité produite par EDF était en 2021 à plus de 97 % sans émission de CO2, grâce au nucléaire et aux énergies renouvelables. Périmètre EDF SA / Source : EDF

2 Agence internationale de l'énergie, AIE. (2022). Canada 2022 - Energy Policy Review. https://iea.blob.core.windows.net/assets/7ec2467c-78b4-4c0c-a966-a42b8861ec5a/Canada2022.pdf

 

Plus de 3 millions de dollars canadiens investis dans le cadre de la première phase d'implantation

Plus d'une vingtaine d'emplois créés d'ici 2026

90% des collaborateurs recrutés localement pour être formés à nos métiers

2 villes sélectionnées: Montréal (siège social) et Sherbrooke (laboratoire d'innovation)

20 centres de données déployés au plus près des usages, avec récupération et valorisation de la chaleur fatale

 

À propos d'Exaion

Exaion est une filiale à 100 % du groupe EDF. En lien avec la raison d’être du Groupe, elle accompagne les industries dans leur transformation numérique vers le Web3 avec une approche responsable et durable : remise à niveau d’anciens supercalculateurs, alimentation en électricité décarbonée3, récupération de la chaleur fatale. Sa mission est tournée vers la donnée : en accélérer le traitement, la sécuriser et en faciliter l’accès et le contrôle aux utilisateurs. Ses experts développent des solutions et des services performants, innovants et souverains.

 

3 En France, l’électricité produite par EDF était en 2021 à plus de 97 % sans émission de CO2, grâce au nucléaire et aux énergies renouvelables. Périmètre EDF SA / Source : EDF

 

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Publié , mis à jour  I Le Figaro

UNE HEURE DANS LE BUREAU DE ... Par 

ETUDIER ET TRAVAILLER

Michèle Boisvert : « La France et le Québec partagent une histoire, une langue et des valeurs »

Entretien avec, la déléguée générale du Québec à Paris, dont le but est de représenter les intérêts du Québec auprès de la France et de faire connaître la culture québécoise en France et en Europe.

 

Michèle Boisvert : « La France et le Québec partagent une histoire, une langue et des valeurs »

Les Français sont-ils recherchés au Québec ?

Les entreprises québécoises vivent en ce moment une rareté de main-d’œuvre et ont de la difficulté à recruter. Elles sont confrontées au départ à la retraite de toute une cohorte de baby-boomers et à un dynamisme économique auquel elles peinent à répondre. Certaines études évaluent que 1,4 million de postes seront à pourvoir entre 2019 et 2028. Dans ce contexte, l’accueil de travailleurs qualifiés est incontournable.

Actuellement, le Québec recherche de la main-d’œuvre dans des secteurs jugés prioritaires : éducation, génie (civil, mécanique, électrique et automatisation), santé et services sociaux, services de garde éducatifs à l’enfance et technologies de l’information. Le Québec a aussi la responsabilité de protéger et promouvoir la langue française, toujours fragile en Amérique du Nord. Dès lors, les Françaises et les Français sont les bienvenus au Québec. Ils contribuent à la vitalité de notre langue commune, valeur fondamentale de la société québécoise.

Comment le Québec s’organise-t-il pour recruter ?

Au Canada, le Québec a la particularité de sélectionner les travailleurs étrangers qu’il accueille sur son territoire. Notre direction des services de l’immigration fait la promotion du Québec, de ses avantages, mais aussi des réalités qui lui sont spécifiques. Le Québec organise des séances d’information, ainsi que des missions de recrutement ciblées pour combler les besoins en main-d’œuvre : Les Journées Québec. La prochaine édition des Journées Québec France, qui se tiendra les 10 et 11 décembre prochains à Paris. Elle accueillera plus de 100 entreprises québécoises qui offriront plus de 1000 postes aux travailleuses et travailleurs français qui souhaitent acquérir une expérience de travail au Québec, et éventuellement s’y installer sur une base permanente.

Y a-t-il des nouveautés en matière d’immigration au Québec ?

Parmi les nouveautés en matière d’immigration, quelques éléments peuvent être soulignés, notamment le fait que tous les permis de travail temporaires sont désormais d’une durée minimale de deux ans, ce qui n’était pas le cas avant. En effet, lorsque les travailleurs étaient recrutés pour des postes à bas salaire, leur permis de travail n’était que d’une année seulement.

Autre élément à mentionner, la liste des professions admissibles au traitement simplifié (c’est-à-dire les emplois pour lesquels les employeurs n’ont pas à prouver qu’ils ne peuvent pas recruter au Québec) a été élargie, ce qui facilite le recrutement pour un plus grand nombre de professions.

Pour les étudiants, la nouveauté est que les étudiants internationaux ne sont plus limités à travailler seulement 20 heures par semaine parallèlement à leurs études.

Où en sont les échanges entre la France et le Québec ?

Vous le savez, la France et le Québec, seul État fédéré francophone en Amérique du Nord, partagent une histoire, une langue et des valeurs. Les plus hautes autorités de la République française et du Québec entretiennent une relation directe et privilégiée depuis plus de 60 ans.

Dans le contexte de l’urgence climatique et des conséquences de la guerre menée par la Russie en Ukraine, les deux gouvernements travaillent conjointement à la relance de leurs économies en accélérant la transition énergétique et la décarbonation des modes de production et de consommation.

Ces enjeux nécessitent plus que jamais que nous innovions. Les Premiers ministres ont ainsi décidé de faire de 2023 l’Année de l’innovation franco-québécoise, qui mettra à contribution l’expertise française et québécoise pour développer de nouveaux partenariats dans des secteurs de pointe.

SUJETS ASSOCIÉS:# # # #

Aujourd'hui, le #CETA, accord commercial entre l'Union européenne et le Canada a 5 ans.

Cet accord commercial a profité à notre économie: grâce à la simplification des procédures douanière, les exportations ont progressé de 15% sur 5 ans, malgré les pertubations des échanges liées à la pandémie.

Pour en savoir plus, regardez "la minute éco' diplo" avec le ministre délégué, Olivier Becht

Miles Consulting & Audit

 

 

 

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Avec les Journées Québec France, découvrez des centaines d’opportunités d’emploi dans plus de 120 entreprises québécoises !

 

Déjà la 26e édition des Journées Québec France !
Un marché de l’emploi dynamique, un bon équilibre travail-vie personnelle, et si votre avenir était au Québec !

Les Journées Québec France se tiendront les 10 et 11 décembre 2022 à Paris.
Pôle emploi s’associe à l’événement organisé par le gouvernement du Québec et ses partenaires Montréal International, Québec International et la Société de développement économique de Drummondville.

Une centaine d’employeurs proposent des postes à pourvoir dans des secteurs d’activité variés.

Les inscriptions sont ouvertes du 10 octobre au 21 novembre
► S’inscrire et candidater

 

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Poste à pourvoir à la Maison des étudiants canadiens 

Les personnes intéressées sont invitées à soumettre leur candidature accompagnée d’un CV et d’une lettre de motivation à PARISTD@international.gc.ca avant le 5 décembre 2022.

 

Fondée en 1926, la Maison des étudiants canadiens à Paris (www.https://etudiantscanadiens.org) ), située à la Cité internationale universitaire de Paris (https://ciup.fr  accueille dans ses chambres et studios 145 étudiants universitaires canadiens inscrits aux cycles supérieurs dans des universités et écoles de la région parisienne. Environ le tiers de ceux-ci sont « brassés » dans d’autres résidences de la Cité, et en échange, la MEC reçoit un nombre égal d’étudiants d’autres nationalités. Elle offre un milieu de vie multiculturel dans une ambiance quasi-familiale.

Depuis 2010, la MEC est une fondation reconnue d’utilité publique, dotée d’un conseil d’administration présidé par l’Ambassadeur du Canada en France. Y siègent également la Déléguée générale du Québec, des représentants de la Cité universitaire et du Rectorat de l’Académie de Paris, du Comité au Canada de la MEC, ainsi que deux personnalités qualifiées.

Présentement, un de ces postes, réservé à une « personnalité du monde des affaires œuvrant en France », est à pourvoir. La personne recherchée aura un lien avéré avec le Canada, résidera de préférence en France et elle aura vécu au Canada durant un certain nombre d’années. Outre une expérience professionnelle reconnue, ainsi qu’une familiarité avec les conseils d’administration, des compétences en gestion financière et de trésorerie serait fort utile. Cette fonction n’est pas rémunérée.

Les personnes intéressées sont invitées à soumettre leur candidature accompagnée d’un CV et d’une lettre de motivation à PARISTD@international.gc.ca avant le 5 décembre 2022.

JOUX-LA-VILLE, France, le 15 sept. 2022 /CNW Telbec/ - Stockage d'énergie EVLO (« EVLO ») a participé aujourd'hui à l'inauguration de l'installation de Tonnerre d'Innergex, dans la région de Bourgogne-Franche-Comté. Ce système de stockage d'énergie par batterie d'une taille de 9 MW / 9 MWh assurera une stabilité au réseau de transport d'électricité de France.

 

EVLO a été retenue par la société québécoise Innergex afin de fournir le système de stockage d'énergie nécessaire à la réalisation du projet. En offrant une solution clés en main comprenant le système de stockage d'énergie par batterie, son installation, sa mise en service, sa surveillance et sa maintenance, EVLO contribue à la stabilité et à la sûreté du réseau français. Les systèmes conçus par EVLO permettent ainsi, depuis le 22 juillet dernier, de réguler la fréquence et la tension du réseau, afin d'en minimiser les excursions et de participer au marché de capacité.

Sonia St-Arnaud, présidente-directrice générale d'EVLO, a eu l'occasion de faire valoir l'importance de cette première installation internationale pour l'entreprise qu'elle dirige, tout en soulignant le rôle incontournable de tels partenariats transfrontaliers dans la réussite de la transition énergétique à l'échelle mondiale.

« Dans un monde en pleine transition énergétique, les systèmes de stockage d'énergie par batterie d'EVLO soutiennent la stabilité et la résilience des réseaux électriques d'aujourd'hui et de demain tout en propulsant l'intégration des énergies renouvelables. L'incorporation de nos produits par Innergex dans la réalisation de Tonnerre en constitue un exemple crédible et concret. »
- Sonia St-Arnaud, pdg d'EVLO

Les systèmes de stockage d'énergie par batterie proposés par EVLO sont le résultat de plusieurs décennies de recherche-développement au sein de l'Institut de recherche d'Hydro-Québec, où s'est forgée une expertise pointue sur la chimie des batteries à base de phosphate de fer lithié (LFP). Cette technologie est reconnue pour sa stabilité thermique supérieure. Certifiées selon les normes rigoureuses IEC 62933 et testées selon UL 9540A, les unités de stockage fournies répondent aux exigences de performance avancées des services publics d'électricité. De plus, EVLO met en valeur son expertise en modélisation numérique et simulations dans le développement de sa suite logicielle, et pour soutenir les clients dans la réalisation de leurs études d'intégration au réseau.

À propos de Stockage d'énergie EVLO inc.

Établie au Québec, Stockage d'énergie EVLO inc. (EVLO) est une filiale d'Hydro-Québec, le plus grand producteur d'énergie renouvelable d'Amérique du Nord. EVLO est un intégrateur clés en main qui offre des systèmes personnalisés de stockage d'énergie par batterie et des logiciels de commande ainsi que des services d'installation, de mise en service, de surveillance et de maintenance. La gamme de produits de stockage d'énergie EVLO comprend des équipements conteneurisés de grande capacité. Pour en savoir plus : https://www.evloenergy.com.

SOURCE Hydro-Québec

Renseignements: Francis Labbé, Porte-parole, Hydro-Québec, labbe.francis@hydroquebec.com, 514 268-1394; Anne Vincent, Directrice, Communications et Marketing, EVLO, vincent.anne@evloenergy.com, 450 400-2415

Profil de l'entreprise

Hydro-Québec

Hydro-Québec fournit une alimentation électrique fiable et des services de qualité adaptés aux besoins de ses clients, à des prix concurrentiels. En exploitant des sources d’énergie propres et renouvelables, Hydro-Québec contribue à la richesse collective du Québec tout en...

Autres communiqués de la compagnie

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​​ par AMANDA STEPHENSON I LA PRESSE CANADIENNE

(Calgary) Le premier parc éolien en mer à échelle commerciale de France, développé par le géant canadien de l’énergie Enbridge en partenariat avec EDF Renouvelables et l’Office d’investissement du Régime de pensions du Canada (OIRPC), a officiellement été mis en service mercredi.

 

PHOTO CHRISTOPHE BEYSSIER, LA PRESSE CANADIENNE

Le parc éolien de Saint-Nazaire, d’une capacité installée de 480 mégawatts, se compose de 80 éoliennes au large des côtes de la Loire-Atlantique, en France. Il devrait alimenter annuellement l’équivalent de 400 000 foyers, soit 20 % de la consommation électrique de la Loire-Atlantique.

(Calgary) Le premier parc éolien en mer à échelle commerciale de France, développé par le géant canadien de l’énergie Enbridge en partenariat avec EDF Renouvelables et l’Office d’investissement du Régime de pensions du Canada (OIRPC), a officiellement été mis en service mercredi.

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AMANDA STEPHENSONLA PRESSE CANADIENNE

Le parc éolien de Saint-Nazaire, d’une capacité installée de 480 mégawatts, se compose de 80 éoliennes au large des côtes de la Loire-Atlantique, en France. Il devrait alimenter annuellement l’équivalent de 400 000 foyers, soit 20 % de la consommation électrique de la Loire-Atlantique.

Le projet de deux milliards d’euros a été développé dans le cadre de l’objectif du gouvernement français de développer le secteur de l’énergie renouvelable du pays. Le président français, Emmanuel Macron, a affirmé que la France visait à avoir environ 40 gigawatts de capacité éolienne en mer en service d’ici 2050, ce qui correspondrait à environ 50 parcs éoliens.

Enbridge, établie à Calgary, qui détient une participation de 25,5 % dans le projet de Saint-Nazaire, souhaite également développer son portefeuille d’énergie éolienne. Depuis 2015, l’implication de la société dans l’énergie éolienne en mer européenne a considérablement augmenté et comprend des participations dans le projet éolien en mer Rampion en Angleterre et les projets éoliens Hohe See et Albatros, au large des côtes allemandes.

Enbridge est également partenaire de trois autres projets éoliens français — Fécamp, Calvados et Provence Grand Large — qui sont actuellement en construction.

La société a indiqué mercredi, dans un communiqué, qu’elle était ravie de voir le parc éolien de Saint-Nazaire mis en service à un moment où la crise énergétique mondiale souligne l’importance d’une énergie fiable et sûre, en particulier en Europe.

« Enbridge se réjouit de l’arrivée du premier projet éolien (en mer) à l’échelle commerciale en France, le parc éolien (en mer) de Saint-Nazaire, et de notre rôle de leader de la transition énergétique mondiale », a déclaré Matthew Akman, vice-président d’Enbridge responsable de la stratégie, de l’énergie et des nouvelles technologies, dans un communiqué de presse.

 

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Entreprise dans cette dépêche : (TSX : ENB)

Canada à la COP15


La 15e Conférence des Parties (COP15) à la Convention sur la diversité biologique (CDB) (en anglais seulement) des Nations Unies est une rencontre internationale qui rassemblera des gouvernements du monde entier. Les participants définiront de nouveaux objectifs et élaboreront un plan d’action pour la nature au cours de la prochaine décennie. La conférence se tiendra du 7 au 19 décembre 2022, à Montréal, au Québec, siège du Secrétariat de la CDB des Nations Unies.

La COP15 sera axée sur la protection de la nature et les moyens de mettre un terme à la perte de biodiversité partout dans le monde. La priorité du gouvernement du Canada est de faire en sorte que la COP15 donne les résultats souhaités pour la nature. Les partenaires internationaux doivent de toute urgence mettre fin à l’alarmante perte de biodiversité dans le monde et renverser la vapeur.

Notre objectif

Le Canada continuera de plaider en faveur d’une collaboration internationale à l’égard d’un ambitieux cadre mondial pour la biodiversité pour l’après-2020, qui visera notamment la protection de 30 p. 100 des terres et des océans d’ici 2030. Mettre un terme à la perte de biodiversité et renverser la vapeur sont des objectifs qui exigeront de véritables collaborations et partenariats, notamment avec les peuples autochtones, qui ont été les premiers gardiens du territoire. Ces objectifs exigeront aussi un véritable changement transformationnel, des innovations et une prise en compte adéquate de la vraie valeur de la nature dans les prises de décisions dans tous les secteurs.

Histoire

La Convention sur la diversité biologique (CDB) a été signée pour la première fois par 150 chefs de gouvernement lors du Sommet de la Terre de Rio en 1992. Ses principaux objectifs sont la conservation de la diversité biologique, l’utilisation durable de ses éléments constitutifs, et la répartition juste et équitable des avantages découlant de l’exploitation des ressources génétiques. La CDB a pour vocation de promouvoir le développement durable, et la Convention reconnaît que la diversité biologique va bien au-delà des plantes, des animaux et des micro-organismes ainsi que de leurs écosystèmes. Elle concerne aussi les êtres humains qui ont besoin de sécurité alimentaire, de médicaments, d’air et d’eau purs, d’abris, et d’un milieu de vie propre et sain. Le Secrétariat de la CDB est situé à Montréal, au Québec

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Thomas Baïetto I France Télévisions I Publié Mis à jour 

Publié Mis à jour 

 Temps de lecture : 6 min.

 
La COP15 de Montréal doit aboutir à un accord sur de nouveaux objectifs pour protéger les espèces animales, végétales et les écosystèmes naturels. (ASTRID AMADIEU / FRANCEINFO) La COP15 de Montréal doit aboutir à un accord sur de nouveaux objectifs pour protéger les espèces animales, végétales et les écosystèmes naturels. (ASTRID AMADIEU / FRANCEINFO)

L'événement consacré à la crise de la biodiversité s'ouvre mercredi. Les observateurs espèrent que ce sommet crucial accouchera de l'équivalent pour la biodiversité de l'accord de Paris sur le climat.

C'est l'autre rendez-vous crucial de l'année pour l'environnement, quelques semaines après la Conférence des Nations unies sur le climat. Les pays membres de la Convention sur la diversité biologique se réunissent du mercredi 7 au lundi 19 décembre à Montréal (Canada) pour la COP15.  L'érosion de la biodiversité, une crise aussi dangereuse pour les sociétés que le réchauffement climatique, figure au cœur des sujets sur la table. Franceinfo vous résume les enjeux autour de cette conférence en répondant à quatre questions.

Pourquoi faut-il se préoccuper de la biodiversité ?

La biodiversité recouvre l'ensemble des organismes vivants et des milieux naturels. La situation est grave. Un million d'espèces sont menacées d'extinction et 75% des espaces naturels sont altérés par les activités humaines, selon la plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (Ipbes), l'équivalent du Giec sur les questions de biodiversité. Les principales causes de cette situation sont l'expansion des terres agricoles et urbanisées, la pêche, la chasse, la récolte de bois, le réchauffement climatique, les pollutions, notamment aux pesticides et les espèces invasives. 

>> Chardonneret, chat forestier, tortue… Découvrez les espèces menacées près de chez vous avec notre inventaire de la biodiversité en danger

"Nous sommes en train de tuer une bonne partie des êtres vivants sur la planète alors que nous en dépendons complètement pour énormément de services", résume Tatiana Giraud, biologiste à l'université Paris-Saclay et professeure au Collège de France. Ils permettent ainsi aux êtres humains de se nourrir, de boire une eau potable, de respirer un air sain et d'être en bonne santé. Ils constituent également des alliés précieux dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Pour le moment, la communauté internationale a échoué à enrayer cette crise. Aucun des objectifs fixés à Aichi (Japon) en 2010 n'a été tenu, expliquait le cinquième rapport sur les Perspectives mondiales de la diversité biologique (PDF) publié par les Nations unies dix ans plus tard.

Quels sont les objectifs des négociations ?

Les négociations doivent à aboutir à des accords sur trois grands dossiers :

Le cadre global. Il doit prendre le relais des objectifs d'Aichi pour la période 2020-2030. Ces objectifs sont déclinés en une vingtaine de cibles, parmi lesquelles on retrouve notamment la mise en place de zones protégées sur 30% du globe, la restauration de 20% des espaces dégradés ou encore la diminution des subventions néfastes à la biodiversité, comme celles qui financent le recours aux pesticides dans l'agriculture ou la pêche industrielle.

"Ce cadre a été bien travaillé, nous attendons les arbitrages finaux. Nous souhaitons que cet accord soit l'équivalent de l'accord de Paris pour le climat", explique Sébastien Moncorps, directeur du comité français de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Pour Paul Leadley, écologue à l'université Paris-Saclay et habitué des négociations internationales depuis 2010, il est essentiel de prendre des mesures plus larges que la création de zones protégées. "Nous avons mis beaucoup de choses en place ces dernières années, mais il y a eu une augmentation de toutes les pressions : habitats détruits, changement climatique, pesticides, espèces invasives", déplore-t-il.

Au-delà de la définition des objectifs, les observateurs seront particulièrement attentifs à la précision des critères retenus et aux moyens mis en place pour les contrôler. Comme pour le climat, ces accords sont non contraignants, pour des raisons de souveraineté nationale. "Côte scientifique, nous mettons beaucoup d'espoir dans un meilleur suivi. Nous espérons qu'il y aura, comme pour la Convention climat, des indicateurs et des observations pour voir si nous sommes sur le bon chemin", confie Paul Leadley. "Même si les négociations se déroulent comme dans un rêve, il y aura toujours cette interrogation sur la mise en œuvre", affirme Philippe Grandcolas, écologue et directeur de recherche au CNRS.

Le partage des avantages. Derrière cette formule se trouve une épineuse question. Aujourd'hui, les séquences génétiques de certaines espèces sont utilisées par des entreprises, souvent venues de riches pays développés, pour fabriquer des médicaments, des cosmétiques et d'autres produits. L'objectif de cette négociation est de trouver un moyen de partager les bénéfices avec les pays où vivent ces espèces animales ou végétales, en majorité des pays pauvres. Outre l'aspect marchand, il existe aussi un enjeu scientifique d'accès aux données.

Moins central, le débat sur le partage des avantages n'en reste pas moins important. "Pas mal de pays conditionnent leur accord sur le cadre global à un accord sur ce sujet", relève Paul Leadley.

Les financements internationaux. Enfin, comme pour le climat, le sujet des financements sera l'une des clefs des négociations. Aujourd'hui, les principales réserves de biodiversité se trouvent dans les pays en voie de développement. "Vous retrouvez, comme dans les COP climat, un clivage Nord-Sud où les pays du Sud disent : 'On veut bien faire des efforts mais nous n'avons pas vos moyens financiers", résume Sébastien Moncorps, de l'UICN.

Le projet d'accord prévoit une enveloppe de 200 milliards de dollars par an (192 milliards d'euros), même si les besoins sont estimés par la Fondation pour la recherche sur la biodiversité à 850 milliards (PDF) (820 milliards d'euros). Des chiffres à comparer avec la somme que nous coûteraient les services rendus par les écosystèmes (pollinisation, régulation du climat, purification de l'air et de l'eau, etc.) selon l'OCDE (contenu en anglais) : entre 125 000 et 140 000 milliards de dollars (120 à 135 000 milliards d'euros).

Secrétaire exécutive de l'IPBES, Anne Larigauderie résume : "Il faut un accord ambitieux, chiffré, avec des moyens pour aider les pays en voie de développement et une diminution des incitations néfastes pour la biodiversité."

Pourquoi aucun chef d'Etat n'a-t-il été invité ?

Cette COP15 est organisée dans des conditions très particulières. Si elle devait avoir lieu en 2020 à Kunming, en Chine, la pandémie de Covid-19 a provoqué son report à deux reprises. La Chine, qui préside toujours l'événement, a refusé de l'organiser sur son sol en raison de sa politique drastique de lutte contre la pandémie. L'événement se déroulera donc à Montréal, où se trouve le siège de la Convention sur la diversité biologique.

Toutefois, le dirigeant du pays organisateur ne sera pas présent. Les relations entre le Canada et Pékin sont plutôt fraîches, tandis que Xi Jinping rechigne quitter son pays depuis 2020. Dès lors, aucune invitation n'a été adressée aux autres chefs d'Etat.

Les négociations ont-elles une chance d'aboutir ?

Les blocages constatés dans les sessions de négociations en amont de Montréal ont de quoi en refroidir plus d'un. "C'est difficile en ce moment avec l'Ukraine, qui nous focalise sur l'énergie", reconnaissait en octobre la secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, Bérangère Couillard. Celle qui représentera la France à Montréal avec le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, regrette également l'absence des chefs d'Etat, dont la présence permet "d'aboutir à des choses plus ambitieuses en général".

Impliquée dans les négociations préalables, Anne Larigauderie estime qu'"il est difficile d'être optimiste""au vu du document tel qu'il existe aujourd'hui""Tout est discuté de manière très âpre, avec des propositions contradictoires. Beaucoup de pays sont opposés aux objectifs chiffrés", commente la secrétaire exécutive de l'Ipbes, qui rappelle que ces négociations menacent "des intérêts financiers très importants" sur les questions agricoles et alimentaires.

Pour Paul Leadley, l'issue de cette COP est "très imprévisible""Il y aura un accord. Sera-t-il ambitieux et bien chiffré ? Nous craignons que les ambitions du cadre global soient fortement diminuées, avec une disparition des objectifs chiffrés", poursuit l'écologue américain. Si la tendance n'est pas inversée, "le nombre d'espèces va continuer à décroître et la planète ne sera plus vivable, même pour nous", avertit Tatiana Giraud.

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Par Banque Transatlantique I Publié , mis à jour 

 

David Eap, directeur du bureau de représentation Banque Transatlantique à Montréal Banque Transatlantique


Filiale de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, la Banque Transatlantique est la banque privée de référence des Français vivant à l'étranger. Présente à Montréal depuis 2012, elle a développé une offre de gestion financière singulière en s'associant au Mouvement Desjardins, première institution financière au Québec. Ensemble, ils ont créé Desjardins Transatlantique – Gestion privée.
 

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SOMMAIRE

Entretien avec David Eap, directeur du bureau de représentation de la Banque Transatlantique au Canada et vice-président du développement de Desjardins Transatlantique - Gestion privée.

Quelle est l'histoire de la banque avec les Français expatriés ?

Les Français de l'étranger constituent un marqueur de l'identité de la Banque Transatlantique depuis sa création en 1881. Ils représentent aujourd'hui un quart de notre clientèle : des diplomates en poste en France et à l'étranger, des cadres dirigeants, entrepreneurs et investisseurs. Nous leur proposons une approche globale de leur patrimoine : gestion multi-devises, conseil en investissement et sur l'actionnariat managers, droit et fiscalité du patrimoine, financement. La Banque Transatlantique se démarque par un réseau de 10 bureaux et filiales dans le monde, situés dans les principales villes où réside la communauté française. Elle entretient également des liens de longue date avec les institutions qui contribuent au rayonnement économique et culturel de la France, ou encore les associations défendant les intérêts des expatriés français. Pour aller au-delà dans la connaissance de nos compatriotes expatriés, elle a créé L'Observatoire de l'expatriation, une consultation annuelle réalisée en partenariat avec Opinionway et l'Union des Français de l'étranger.

Comment accompagne-t-elle les Français vivant au Canada ?

La Banque Transatlantique vient de fêter ses 10 ans de présence à Montréal sous la forme d'un bureau de représentation, qui a un rôle d'agent de liaison. En effet, nous travaillons en synergie avec les équipes dédiées aux non-résidents et les experts (ingénierie patrimoniale, immobilier, épargne financière, etc.) à Paris, dans le but de garantir une continuité de services à nos clients établis au Canada. En 2017, elle s'est associée au Mouvement Desjardins, première institution financière au Québec, pour élargir son offre de gestion. Préserver et transmettre un patrimoine à long terme dans un environnement fiscal et juridique maîtrisé est la priorité commune de la Banque Transatlantique et de Gestion privée Desjardins. Et c'est ce qui a présidé à la création de la division Desjardins Transatlantique – Gestion privée. Nous aidons ainsi nos clients à organiser leur patrimoine transatlantique, en tenant compte de leur statut fiscal et des spécificités de leurs projets.

À qui s'adressent les services de Desjardins Transatlantique – Gestion privée ?

La division Desjardins Transatlantique – Gestion privée a été créée pour des clients français en mobilité professionnelle et des investisseurs à la recherche d'opportunités au Canada et en Europe. Les clients expatriés au Canada bénéficient de solutions patrimoniales adaptées au contexte franco-canadien et un accès direct au marché financier nord-américain. Les investisseurs canadiens et européens ont, eux, la possibilité d'être accompagnés sur les deux continents et dans plusieurs devises. C'est une solution unique et distinctive au Canada.

La Banque Transatlantique en quelques chiffres :

  • 10 implantations dans le monde (Boston, Bruxelles, Genève, Hong Kong, Londres, Luxembourg, Montréal, New York, San Francisco et Singapour), en complément du siège parisien
  • 55 milliards d'euros d'encours (au 30/06/2022)
  • 429 collaborateurs

Nous contacter : +1 514 985-4137

btmontreal@banquetransatlantique.com

www.banquetransatlantique.com

www.gestionpriveedesjardins.com/fr/transatlantique

 

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Le ministre délégué chargé de l’Industrie porte une vision positive de l’immigration, via l’intégration économique par la formation et le travail

  Roland Lescure 09/12/2022 Lhaik Ministre délégué chargé de l'Industrie, Roland Lescure connaît le modèle d'immigration du Canada pour avoir vécu plusieurs années ans ce pays. Sipa Press :

Les faits - 

Le 6 décembre, un débat sans vote a eu lieu à l’Assemblée sur le futur projet de loi sur l’immigration. Le 13 décembre, ce sera le tour du Sénat. Le texte du projet, porté par Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, et Olivier Dussopt, ministre du Travail, sera présenté en Conseil des ministres entre la fin de janvier et le début de février.

A-t-on besoin de faire venir des travailleurs étrangers en France ?

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Alain Jeannin • 

transition énergétique

canadaMineurs de l'industrie du nickel dans une mine souterraine de Sudbury au Canada • ©AFP

Une tradition bien ancrée. C’est au Canada que furent conçus les plans des usines de nickel calédoniennes du Nord et du Sud. Dans des bureaux d'études de Toronto. C'est à Sudbury, la capitale minière du pays, que furent ensuite formés de nombreux opérateur calédoniens des deux usines de nickel de la Nouvelle-Calédonie.

Le Canada, riche en matières premières, veut accélérer sa production de minéraux en simplifiant notamment l'accès des entreprises minières à ces ressources dans l'optique de devenir un "fournisseur vert mondial de premier choix", selon une nouvelle stratégie dévoilée vendredi.

"Ces minéraux représentent pour le Canada l'occasion d'une génération", écrit Jonathan Wilkinson, ministre des Ressources naturelles, en préambule de la stratégie, soulignant la polyvalence canadienne dans ce domaine qui va de "l'exploration" au "recyclage" de ces ressources.

 

CanadaVue en coupe du projet minier souterrain d'Eagle's Nest au Canada • ©Noront Resources

 

Le document de 61 pages précise notamment que le pays abrite de vastes gisements inexploités de minéraux dits "critiques" tels que le lithium, le graphite, le nickel, le cobalt, ou encore le cuivre.

Mais dans les conditions actuelles, il faut de cinq à 25 ans pour que de nouvelles mines soient approuvées et opérationnelles, indique toutefois le document qui reconnaît la présence de "processus complexes de réglementation et de délivrance de permis" pouvant entraver la "compétitivité économique du secteur" et freiner les investissements.

Le gouvernement de Justin Trudeau prévoit donc de simplifier ce processus, notamment en éliminant les doubles examens aux niveaux fédéral et provincial et en assurant une consultation et un engagement préalables des autochtones.

"Il n'y a pas de transition énergétique sans minéraux critiques", indique pour sa part, le ministre de l'Innovation, François-Philippe Champagne, en soulignant qu'ils sont "indispensables à notre vie quotidienne (...) notamment pour la production d'éoliennes, de batteries pour véhicules électriques, de panneaux solaires et de semi-conducteurs".

 

CanadaLe grand site minier de Voisey's Bay dans la Province de Terre-Neuve-et-Labrador. Eagle's Nest serait son pendant dans l'Ontario • ©Vale Canada

 

La demande mondiale étant appelée à monter en flèche et la Chine contrôlant une grande partie des approvisionnements existants, le ministre estime que le "Canada est très bien positionné pour en tirer parti" alors que les Etats-Unis et ses alliés cherchent de plus à plus à s'émanciper du monopole chinois.

Ottawa espère notamment harmoniser "la réglementation avec (ses) partenaires américains", lit-on dans le document sans donner de précisions.

Il évoque également le besoin de nouvelles infrastructures telles que des routes et des ports afin d'accéder aux gisements et de les exploiter.

La nouvelle stratégie ne s'accompagne d'aucun nouveau financement, mais dans son budget 2022, le gouvernement fédéral a affecté 3,8 milliards de dollars canadiens (2,6 milliards d'euros) sur huit ans au secteur - y compris un crédit d'impôt de 30% pour stimuler l'exploration.

 

sudburyUne pièce géante de 5 cents en nickel, symbole de la ville de Sudbury en Ontario au Canada • ©AFP

 

Fin octobre, le Canada avait déjà renforcé ses règles en matière d'investissement afin de rendre plus difficile l'accès des entreprises d'État étrangères à son secteur des minéraux essentiels, en réponse à une levée de boucliers contre les investissements chinois.

Il a également ordonné récemment à trois entreprises chinoises de céder leurs participations dans des entreprises canadiennes du secteur.

Le Canada hésite encore à se lancer dans l'exploitation des nodules polymétalliques, bien qu'il dispose d'une compagnie d'exploration et d'extraction minière sous-marine dont le siège està Vancouver. 

 

Navire d'exploitation et d'extraction des nodules polymétalliques. La société canadienne Deep Green basée à Vancouver affirme s'inscrire dans une logique d'industrie verte • ©Deep Green/The Metals Company

 

Par Charles-Edouard Ama Koffi  le 02.01.2023 à 17h10  I CHALLENGES

Le tirage au sort du programme de Permis Vacances-Travail canadien va avoir lieu le 9 janvier. 

Le tirage au sort du programme de Permis Vacances-Travail canadien va avoir lieu le 9 janvier. Avant de décoller, il faut avoir plusieurs milliers d'euros d'économies.

Aéroport international Pierre-Elliott Trudeau à Montreal en décembre 2022

Aéroport international Pierre-Elliott Trudeau à Montreal en décembre 2022

ANDREJ IVANOV / AFP

La date du lundi 9 janvier est inscrite dans l'agenda de milliers de candidats au départ vers le Canada. C'est à cette date que débute le premier des tirages au sort des dossiers pour participer au programme Permis Vacances-Travail (PVT) destiné aux 18-35 ans. Cette année, la saison d'expérience internationale Canada (EIC) dont le PVT fait partie augmente de 20% ses admissions, ce qui concerne au total environ 90.000 personnes, selon les chiffres du ministère de l'immigration canadien.

Pour les PVT, les Français bénéficient de 7.100 places et 750 pour les Belges. Cela permet aux jeunes étrangers de bénéficier d'un visa au Canada pendant deux ans leur permettant de travailler et de voyager librement sur l'ensemble du territoire. "En donnant aux jeunes la possibilité de vivre des expériences de travail et de voyage à l'étranger, nous renforçons notre économie et aidons les entreprises d'ici à réussir, notamment dans les régions comme Banff, qui ont besoin de travailleurs saisonniers", a notamment réagi Sean Fraser, ministre de l'Immigration canadien, en décembre dernier.

LIRE AUSSI COMMENT DEMANDER LE PVT CANADA?

La constitution des dossiers d'admission est déjà possible, avant le premier tirage au sort, le 9 janvier. Une sélection toutes les semaines pendant environ dix mois vient ensuite compléter le dispositif. Pour participer, il faut se rendre sur le site du gouvernement canadien. Avant de pouvoir candidater, il faut s'assurer d'avoir un passeport valide, de ne pas avoir déjà avoir été sélectionné dans le passé pour un PVT au Canada et avoir quelques économies en poche. 

"Le coût de la vie est très cher à Toronto!"

Avant de partir, il faut être certain de pouvoir financer vos premiers jours sur place sans emploi et pouvoir financer votre billet retour. C'est la raison pour laquelle le gouvernement impose d'avoir au moins 2.500 dollars canadiens sur votre compte avant le départ et un billet retour ou à défaut, le montant de votre billet aller sur votre compte pour financer le retour vers la France, précise le site spécialisé pvtistes.net. Un contrôle peut être effectué à votre arrivée sur le sol américain.

Anne-Lise, qui a rejoint l'équipe de ce site en tant que community manager a vécu pendant un an et demi au Canada entre janvier 2018 et juin 2019. "Je suis arrivée à Toronto avec environ 3.000 euros sur mon compte et un logement pour 2 semaines. Je ne le conseille pas. Toronto est une ville très chère et les prix ont apparemment explosé depuis mon séjour en 2018. Les loyers sont chers, les transports sont chers, la nourriture est chère, les sorties sont chères", témoigne-t-elle. 

Pour elle, il vaut mieux avoir "au moins 5.000 euros" sur son compte si l'on souhaite poser ses valises dans une grande ville comme Montréal, Vancouver ou bien Toronto. "Pour deux et en vivant dans un appartement d'environ 40 m2 dans le centre de Toronto, on dépensait environ 3.500 euros de manière mensuelle les mois où on ne faisait rien "d'exceptionnel" c'est-à-dire sans week-end hors de la ville, ni de gros concerts..."

Fort de son expérience d'ancien Parisien, Antoine, arrivé au Canada au début de l'année 2020 avec sa compagne Delphine, estime que le coût de la vie est assez cher à Montréal. "Il faut un gros budget là-bas. Pour quelqu'un qui part à Toronto ou Vancouver, je pense que le niveau de vie est 20 à 30% plus cher encore." 

"Il y a une crise du logement à Montréal"

En plus de son billet aller, il a payé 240 euros pour son visa et 750 euros pendant deux ans pour l'équivalent d'une assurance maladie en France. "Quand on est arrivé, nous étions chez des amis pendant deux semaines et ensuite dans des Airbnb où il fallait compter entre 40 et 60 euros la nuit. Il y a une crise du logement à Montréal, il y a peu de logements vacants", constate-t-il. Mais la chance leur sourit et ils finissent par trouver un appartement à louer dans un premier temps puis sont devenus récemment propriétaires d'un appartement de 105 m2 dans un quartier de l'est de Montréal pour 3.100 euros du mètre carré. Antoine et Delphine ont trouvé un emploi stable et sont restés au Canada à l'issue de leur PVT.

Une expérience qui n'est pas à la portée de tout le monde. Depuis le 1er janvier au Canada, les étrangers n'ont plus le droit d'acheter de logements et ce pour les deux prochaines années. Cette interdiction est destinée à lutter contre la pénurie de maisons et appartements dans le pays. Des exceptions sont prévues pour les réfugiés ou les résidents permanents, et la loi ne s'applique qu'aux résidences en ville et pas aux structures touristiques, comme les chalets d'été.

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Fawzi OUARETH
Président
ADAMING

17 janvier 2023
Windsor (Ontario)

Qu’il s’agisse de l’exploitation minière, de la production ou de la recharge, les entreprises et les travailleurs du Canada attirent des investissements sans précédent dans la chaîne d’approvisionnement de véhicules électriques.

Lorsque les véhicules électriques sont construits au moyen de minéraux canadiens, assemblés par des travailleurs du secteur canadien de l’automobile et alimentés à des bornes de recharge fabriquées au Canada, nous protégeons et créons des emplois, nous faisons croître notre économie et nous maintenons la qualité de l’air d’aujourd’hui et de demain.

Le premier ministre Justin Trudeau a visité aujourd’hui les installations du fabricant automobile Stellantis N.V. à Windsor, en Ontario. L’an dernier, le gouvernement du Canada a fait l’annonce d’un investissement pouvant atteindre 529 millions de dollars dans le financement de projets pour Stellantis. Ainsi, il garantira le maintien de milliers d’emplois bien rémunérés en finançant la modernisation des usines de montage et de production de véhicules électriques de l’entreprise. Ces investissements collaboratifs dans le secteur automobile canadien renforcent les chaînes d’approvisionnement mondiales de VE et positionnent le Canada parmi les chefs de file mondiaux de l’innovation en matière de VE.

Durant son passage à Windsor, le premier ministre a aussi visité le Centre for Hybrid Automotive Research and Green Energy (CHARGE) Lab (laboratoire du centre de recherche sur les véhicules électriques et l’énergie verte) de l’Université de Windsor, pour discuter de son centre de recherche et de développement sur les batteries pour véhicules électriques, qui favorise le perfectionnement des batteries pour véhicules électriques fabriquées au Canada.

Les travailleurs et les entreprises du Canada sont déjà à l’avant-garde sur les plans de l’énergie, des technologies propres et des éléments qui les composent. Comme la demande continue de croître, le fait de positionner le Canada comme un fournisseur fiable permettra de créer encore plus d’emplois canadiens, de faire croître notre économie et de réduire la pollution pour nous aider à lutter contre les changements climatiques.

Citations

« Depuis des décennies, les travailleurs canadiens de l’automobile contribuent à bâtir une économie canadienne solide. Aujourd’hui, ils montrent la voie à suivre pour qu’elle le reste durant des décennies à venir. Nous serons aux côtés des travailleurs à chacune des étapes. En faisant du Canada un chef de file mondial en matière de véhicules électriques, notamment dans le domaine de la fabrication, nous sécurisons les emplois, faisons croître notre économie et gardons notre air pur pour nos enfants. »

Le très hon. Justin Trudeau, premier ministre du Canada

« Au moment où les Canadiens sont de plus en plus nombreux à adopter les véhicules électriques, nous travaillons fort pour nous assurer que ces véhicules sont fabriqués ici même, au Canada. Grâce à notre solide partenariat avec Stellantis, le Canada consolide sa position de chef de file mondial dans la chaîne d’approvisionnement de VE. Cela favorise la création de bons emplois pour les travailleurs canadiens, un avenir plus propre et une économie plus forte et plus résiliente. »

L’hon. François-Philippe Champagne, ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie

Faits saillants

  • La visite d’aujourd’hui intervient au deuxième jour de la tournée du premier ministre visant à mettre en valeur la solide chaîne d’approvisionnement de véhicules électriques du Canada, de l’étape de l’exploitation minière à celle de la fabrication. Hier, le premier ministre a rencontré les travailleurs de l’usine de Saskatoon de Vital Metals, le premier producteur de terres rares du Canada, afin de souligner le rôle de premier plan du Canada au chapitre des composantes de base – les minéraux critiques – des technologies propres.
  • L’an dernier, le gouvernement du Canada s’est réjoui d’un investissement important de plus de 5 milliards de dollars de la part de Stellantis et de LG Energy Solution, l’une des principales entreprises de fabrication de batteries au monde, afin de créer une coentreprise pour la fabrication de batteries pour véhicules électriques au Canada. Cette coentreprise prévoyait la construction d’une nouvelle installation à Windsor, en Ontario, pour approvisionner les usines Stellantis de Windsor et de toute l’Amérique du Nord. L’installation devrait être opérationnelle d’ici 2025.
  • Le mois dernier, le gouvernement du Canada a publié un projet de règlement qui fixe des objectifs de vente de véhicules zéro émission (VZE) pour les fabricants et les importateurs de véhicules de passagers, de VUS et de camionnettes neufs. Selon le règlement, au moins 20 % des nouveaux véhicules vendus au Canada d’ici 2026 devront être des véhicules zéro émission. Ce pourcentage devra atteindre au moins 60 % d’ici 2030 et 100 % d’ici 2035. Ces objectifs permettront d’augmenter l’offre pour que davantage de Canadiens puissent acheter ce type de véhicules.
  • Pour aider un plus grand nombre de Canadiens à acheter un VZE, le gouvernement investit 1,7 milliard de dollars pour prolonger le programme d’Incitatifs pour les véhicules zéro émission (iVZE) jusqu’en mars 2025 et élargir la gamme de modèles de véhicules admissibles au programme pour englober plus de modèles de fourgonnettes, de camions et de VUS. Ce programme offre jusqu’à 5 000 $ de rabais pour l’achat ou la location d’un VZE. À ce jour, plus de 185 160 incitatifs ont été offerts aux Canadiens et aux entreprises.
  • Le secteur canadien de l’automobile soutient près de 500 000 travailleurs au Canada, contribue pour 16 milliards de dollars par année au produit intérieur brut du Canada et est l’une des plus importantes industries d’exportation du pays.

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Pièce de théâtre “Les Conquérants “ à France-Amériques

Lundi 13 février 2023 à 19h – Accueil à partir de 18h30
9, avenue Franklin D. Roosevelt – Paris 8ème

La représentation sera suivie d’un verre amical.

France-Amériques rend hommage aux femmes et aux hommes d’exception qui ont fait au XVIIème siècle « l’Amérique française » avec la présentation de la pièce de théâtre “Les Conquérants” !

C’est une plongée historique au temps où, la Nouvelle-France s’étendait d’Est en Ouest, de Terre-Neuve à la Région des Grands Lacs mais aussi du Nord au Sud, de la Baie d’Hudson jusqu’au Golfe du Mexique soit plus du tiers de la surface du continent nord-américain !

Quand la pièce commence, nous sommes à Québec en 1672 peu après la nomination par Louis XIV
du Comte de Frontenac au poste de Gouverneur général de la Nouvelle- France. Ce mousquetaire auréolé́ de gloire militaire devient ainsi le représentant du Roi sur le continent. Très vite, son ambition, sa soif de conquêtes et ses méthodes tant guerrières que diplomatiques vont se heurter aux autorités religieuses et notamment jésuites incarnées par Monseigneur Laval, premier évêque de la Nouvelle-France. Ces hommes que tout oppose vont s’affronter jusqu’à la rupture, durant près d’un quart de siècle sous le regard d’une pionnière du Canada, « mère » de Montréal, Marguerite Bourgeoys.

Auteur : Jean-Mathieu Deschenes
Mise en scène : Patrice Carpuat
Interprétation : Patrice Carpuat, Florence Cabes et Alain Dubos

Durée : 1h30

Réservation ici 

En partenariat avec l’association Amitiés France-Acadie qui oeuvre à travers ses actions à faire connaître auprès du plus grand nombre, tant en France qu’au Canada, notre histoire commune.

LA PRESSE

Nathaëlle Morissette NATHAËLLE MORISSETTE

La Cage ouvrira une première succursale à Bordeaux.

La Cage débarque en France. Ses classiques ailes de poulet et ses burgers seront servis dès juin à Bordeaux dans une première succursale hors Québec. La brasserie sportive québécoise n’en restera pas là, puisque d’autres restaurants apparaîtront dans le paysage français et même jusqu’en Belgique.

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

La Cage ouvrira une première succursale à Bordeaux.

La Cage débarque en France. Ses classiques ailes de poulet et ses burgers seront servis dès juin à Bordeaux dans une première succursale hors Québec. La brasserie sportive québécoise n’en restera pas là, puisque d’autres restaurants apparaîtront dans le paysage français et même jusqu’en Belgique.

 

L’odeur du maïs soufflé au beurre, les écrans géants qui diffusent les parties de la Ligue nationale de hockey et l’offre de bières : La Cage version française sera identique en tout point à sa cousine québécoise, a assuré son président, Jean Bédard, au cours d’une entrevue accordée à La Presse dans l’un de ses restaurants, situé à Brossard.

La Cage – qui fait maintenant partie du groupe de restaurateurs Grandio – atterrira en France grâce à un partenariat avec Boulangerie Ange. L’annonce sera faite ce jeudi.

 

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

De gauche à droite : François Bultel, fondateur de Boulangerie Ange avec qui La Cage a conclu un partenariat, Olivier Brouzet, le premier franchisé de France, et le grand patron de La Cage, Jean Bédard

Pourquoi le grand patron a-t-il décidé d’exporter son concept de brasserie sportive dans l’Hexagone alors que de son propre aveu, il avait toujours joué de prudence lorsqu’il était question du développement de La Cage à l’extérieur du Québec ?

Depuis 25 ans, j’ai des demandes chaque année pour des franchises en France.

Jean Bédard, président de La Cage et chef de la direction du Groupe Grandio

« Tout le monde me demandait : pourquoi tu ne vas pas en Floride ? Pourquoi tu ne vas pas à Toronto ? J’ai toujours pensé qu’on était plus européens que nord-américains quand on parle de restauration. » Et il y a aussi le nombre grandissant d’employés français à La Cage qui ont souvent demandé à leur patron pourquoi la chaîne ne s’installait pas dans leur pays d’origine.

Il y a plusieurs années, l’entreprise avait même signé un accord pour l’ouverture d’une Cage à Nantes, qui, à la demande des partenaires français, se serait appelée Ma cabane au Canada, raconte Jean Bédard un sourire dans la voix. Le projet a finalement avorté, La Cage n’était « pas prête », soutient-il.

« Le bon partenaire »

Mais cette fois, elle l’est, assure-t-il. « Ça prenait le bon partenaire dans le bon temps. » La Cage fera son entrée en France grâce à un partenariat conclu entre l’entreprise québécoise et Boulangerie Ange, un réseau français qui compte 230 établissements dans l’Hexagone et qui est établi au Québec depuis quelques années.

Lorsqu’il est entré dans une Cage – Brasserie sportive pour la première fois avec sa fille, François Bultel, cofondateur et président de Boulangerie Ange, a littéralement eu un coup de cœur. « Ça n’existe pas en France, ce concept-là », souligne M. Bultel, installé à une banquette de La Cage, au côté de M. Bédard.

 

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

La Cage ouvrira une première succursale en France en juin.

Les deux hommes se sont ensuite rencontrés par l’intermédiaire d’un ami commun. De fil en aiguille, ils ont décidé de travailler ensemble. Le restaurant de Bordeaux, où ils ont trouvé un franchisé, devait ouvrir en septembre 2020. La pandémie a retardé le projet. La première Cage française ouvrira finalement en juin avec le franchisé Olivier Brouzet, ancien joueur de rugby professionnel, aux commandes. L’établissement de 7000 pi⁠2, un peu à l’image de ce que l’on retrouve au Québec, aura besoin d’une cinquantaine d’employés.

Par ailleurs, des équipes de La Cage ont traversé l’Atlantique à plusieurs reprises pour faire des tests et des dégustations. « On veut faire exactement pareil, insiste François Bultel. On veut un morceau du Québec. Le blitz burger – l’un des plats signatures – doit avoir le même goût. » Arriver à reproduire le même menu n’a toutefois pas été une mince tâche. « La première fois que j’ai goûté aux ailes, j’ai dit à mon chef : ça ne marche pas pantoute », raconte Jean Bédard en riant.

Sur les écrans géants, on diffusera évidemment des matchs de sports très populaires à Bordeaux comme le rugby et le soccer, explique Olivier Brouzet. Mais, histoire de respecter le concept, les clients français qui viendront prendre une bière et manger des frites pourront également voir des parties de la Ligue nationale de hockey ou encore du basketball.

« C’est vrai que voir du sport américain sur ces écrans-là, ça sera très singulier, mentionne M. Brouzet. Ça n’existe pas en France », répète-t-il à son tour.

Après l’ouverture de Bordeaux, d’autres pourraient être annoncées en France et même en Belgique. « C’est ça l’idée, affirme M. Bultel, qui gérera l’expansion de la chaîne en Europe. On commence par là où ça parle français. »

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Nelson Michaud et Benoît Pelletier I LE DEVOIR I 17 février 2023

« Cette complicité entre le Québec et la France est des plus précieuses; elle doit aujourd’hui être redynamisée », notent les auteurs.

« Cette complicité entre le Québec et la France est des plus précieuses; elle doit aujourd’hui être redynamisée », notent les auteurs.
Photo: Jean-Nicolas Nault Getty Images « Cette complicité entre le Québec et la France est des plus précieuses; elle doit aujourd’hui être redynamisée », notent les auteurs.

Lors d’un récent événement organisé par le Conseil des relations internationales de Montréal, la ministre des Relations internationales et de la Francophonie, Martine Biron, a présenté sa vision des relations internationales québécoises sous le thème « Avoir de l’ambition pour faire rayonner le Québec sur la scène internationale ». Ses priorités se déploient sous les axes de la diplomatie économique, de la diplomatie d’influence et de la diplomatie identitaire.

Ce retour à l’« ambition » plus affirmée de « faire rayonner le Québec sur la scène internationale » est de bon augure. Déjà, lors du sommet de la Francophonie tenu à Djerba en Tunisie en novembre dernier, la ministre avait relancé l’idée d’une année (2023) consacrée aux relations franco-québécoises sous le thème de l’innovation — essentiellement économique — et de la reprise des visites alternées des premiers ministres français et québécois, interrompues depuis 2018. Nous devons saluer ces initiatives et engagements.

Car, si le Québec doit rayonner de par le monde, ce n’est pas être nostalgique que de placer la relation franco-québécoise au premier rang. Ce navire amiral de la diplomatie québécoise peut facilement se gouverner en fonction des trois axes privilégiés par la ministre. Il peut aussi servir de pont ou de tremplin pour des partenariats qui mènent vers d’autres horizons. Enfin, il s’agit d’une relation véritablement bilatérale : certaines des plus belles percées du Québec sur la scène mondiale ont été réalisées avec le concours de la France et, en retour, cette dernière peut compter sur le Québec pour assurer l’essor de la francité.

Cette complicité entre le Québec et la France est des plus précieuses ; elle doit aujourd’hui être redynamisée.

Bâtir sur des succès probants

Déjà, l’Accord-cadre franco-québécois sur la reconnaissance des diplômes et la validation des études de 1996 ou encore l’Entente France-Québec sur la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles de 2008 ont consolidé la relation entre ces deux partenaires. La collaboration a mené à l’adoption de la Convention sur la protection, et la promotion de la diversité des expressions culturelles par l’UNESCO s’est inscrite dans l’Histoire.

Il est plus que temps que d’autres gestes dans le même sens surviennent, car au fil des ans, la relation France-Québec a semblé s’essouffler. Il faut lui donner une nouvelle vigueur, et ce, bien au-delà des questions de nature strictement économique.

Bien que le gouvernement Legault ait imposé un important virage économique aux relations internationales du Québec au cours de son premier mandat, l’affirmation d’un éventail plus complet d’actions internationales par la ministre Biron laisse entrevoir des engagements complémentaires à l’économie, voire en soutien vital et nécessaire à celle-ci. Les défis d’intérêt commun sont en effet nombreux, et les voies de collaboration sont dynamiques et mutuellement fructueuses, surtout si elles embrassent des enjeux modernes.

Quatre défis contemporains

Bien entendu, la collaboration entre la France et le Québec dans le dossier de la francophonie et dans celui de la promotion de la diversité culturelle à l’ère du numérique doit demeurer névralgique. Ainsi en est-il pour l’intelligence artificielle, un domaine où le Québec possède une expertise de calibre international. Toutefois, les développements en cette matière ne doivent pas reposer — pour des raisons économiques — que sur la logique qu’induit la langue de Shakespeare.

Le niveau de nuance que permet le français ne peut que contribuer à un enrichissement du domaine. Ici, la coopération France-Québec pourrait bénéficier de la mise en place de groupes de recherche conjoints ou de la création d’un Institut mondial francophone en intelligence artificielle.

La protection du pouvoir d’achat et la lutte aux inégalités sociales sont un autre secteur où les actions de la France et celles du Québec reposent sur des valeurs communes. La nécessaire réflexion autour de solutions aux problèmes mondiaux posés par une démographie mouvante au gré des migrations ou du vieillissement des populations gagnerait sans doute à être nourrie par une expertise franco-québécoise. Ainsi, la France et le Québec pourraient se mobiliser au sein de l’UNESCO, notamment par l’entremise de l’Institut de la statistique basé à Montréal, pour développer des données probantes permettant de mieux accomplir cette exigeante analyse.

Les changements climatiques et la biodiversité, la décarbonation de l’économie et la transition énergétique nous interpellent. Le Québec, avec la Californie, est un chef de file en Amérique du Nord, mais beaucoup reste à faire ; en France, l’Accord de Paris et la Stratégie nationale bas-carbone, adoptée pour la première fois en 2015 et révisée en 2018-2019, maintiennent des objectifs ambitieux. Une relation France-Québec renouvelée permettrait à l’un et à l’autre de bénéficier de plus de ressources et, surtout, de partager leur lecture respective de leurs engagements, afin d’en faciliter le respect.

Enfin, l’autosuffisance et la sécurité alimentaires sont des domaines où le Québec et la France — territoires agricoles de première importance — peuvent partager leurs savoir-faire, tout en orientant leurs priorités dans le cadre plus large des pays de la Francophonie. Plusieurs connaissent toujours des difficultés à produire suffisamment de denrées pour subvenir aux besoins de leur population et assurer une base de commerce solide pour ce qui est de certains produits précis. Le Québec et la France pourraient ainsi être les fers de lance d’un nouvel opérateur relevant de l’Organisation internationale de la Francophonie et dédié à l’alimentation et à la résorption des famines.

Les relations entre la France et le Québec ont connu leur âge d’or. À la lumière des nombreux secteurs où un partage renouvelé et enrichi peut être bénéfique aux deux partenaires, nous appelons de nos voeux la manifestation d’une volonté politique ferme qui favorisera l’émergence d’échanges tournés vers la très large diversité des défis nouveaux et redéfinis.

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Destination Canada

Après Destination Canada Forum Mobilité en novembre 2022 axé sur l’information et le réseautage, en ce début 2023 l’accent est mis sur l’emploi.

Après Destination Canada Forum Mobilité en novembre 2022 axé sur l’information et le réseautage, en ce début 2023 l’accent est mis sur l’emploi.

Des activités de recrutement ciblant différents secteurs mettent en contact des candidats francophones et bilingues avec des employeurs canadiens. Ces activités sont gratuites et se déroulent entièrement en ligne.

Les employeurs canadiens avec des postes à pourvoir dans les secteurs identifiés, dans les provinces et territoires autres que le Québec, sont invités à communiquer leurs postes.

Lors de l’inscription, les candidats se présentent aux employeurs en complétant un formulaire, en identifiant le code CNP de leur profession, en téléchargeant leur CV bilingue en format canadien et en enregistrant une courte vidéo de présentation. Si le profil intéresse un employeur canadien participant, le candidat sera contacté pour un entretien qui aura lieu en ligne.

En parallèle des entrevues entre candidats et employeurs, un forum virtuel d'information sera organisé afin de fournir un aperçu du secteur et des explications sur les options en matière d'immigration.

Calendrier 2023

Destination Canada - Technologies de l’information et des communications

Inscriptions employeurs : 30 janvier au 16 février

Inscriptions candidats : 17 février au 5 mars

Entrevues : 20 février au 31 mars

Forum virtuel d’information : 14 mars

Destination Canada – Tourisme–Hôtellerie–Restauration

Inscriptions employeurs : 30 janvier au 16 février

Inscriptions candidats : 17 février au 5 mars

Entrevues : 20 février au 31 mars

Forum virtuel d’information : 20 et 21 mars

OUVERTURE DES INSCRIPTIONS LE 17 FEVRIER 2023

Les employeurs canadiens qui souhaitent participer peuvent écrire à l’équipe de Destination Canada.

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Jeanne Corriveau I16 février 2023 I Transports / Urbanisme I Le Devoir

Une entente de gré à gré est intervenue entre la STM et Ivanhoé Cambridge en ce qui concerne la détermination du périmètre de terrain exproprié qui permettra la construction de la future station de métro sur le site des Galeries d’Anjou ainsi que d’un édicule pour la station d’autobus.

Une entente de gré à gré est intervenue entre la STM et Ivanhoé Cambridge en ce qui concerne la détermination du périmètre de terrain exproprié qui permettra la construction de la future station de métro sur le site des Galeries d’Anjou ainsi que d’un édicule pour la station d’autobus.
Marie-France Coallier Archives Le Devoir Une entente de gré à gré est intervenue entre la STM et Ivanhoé Cambridge en ce qui concerne la détermination du périmètre de terrain exproprié qui permettra la construction de la future station de métro sur le site des Galeries d’Anjou ainsi que d’un édicule pour la station d’autobus.

La Société de transport de Montréal (STM) s’est finalement entendue avec Ivanhoé Cambridge au sujet de l’expropriation d’un terrain situé sur le site des Galeries d’Anjou qui servira à la construction d’une station de la ligne bleue du métro.

En 2020, la STM avait fait parvenir un avis d’expropriation à Cadillac Fairview et à Ivanhoé Cambridge, alors propriétaires des Galeries d’Anjou. La société de transport réquisitionnait un terrain de 70 000 mètres carrés pour la construction d’un terminus dans le cadre du projet de prolongement de la ligne bleue. Les propriétaires s’étaient alors adressés aux tribunaux pour contester l’avis.

Les procédures judiciaires avaient cependant été suspendues lorsqu’en 2021, Cadillac Fairview avait cédé à Ivanhoé Cambridge sa part sur la propriété des Galeries d’Anjou.

Une entente de gré à gré est finalement intervenue entre la STM et Ivanhoé Cambridge en ce qui concerne la détermination du périmètre de terrain exproprié qui permettra la construction de la future station de métro ainsi que d’un édicule pour la station d’autobus.

« Les deux organisations marquent ainsi le début d’une période de collaboration fructueuse, au bénéfice des deux entités, et conviennent de l’importance capitale du prolongement de la ligne bleue pour promouvoir une offre commerciale attractive et diversifiée pour les résidents de l’est de Montréal », précisent les deux partenaires dans un communiqué conjoint.

Jeudi, la STM n’a pas été en mesure de préciser la superficie visée par l’opération. Elle a toutefois indiqué que deux commerces devraient être relocalisés.

Conformément à l’entente intervenue, les lots seront cédés en mars 2024. Rappelons que la mise en service du prolongement de la ligne bleue est prévue pour l’automne 2029 et que le coût du projet devrait atteindre 6,4 milliards de dollars.

« Une excellente nouvelle pour le prolongement de la ligne bleue ! » a écrit la mairesse Valérie Plante sur Twitter.

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SOURCE  Air Canada  21 février 2023

 

Dans le cadre d’un projet pilote en cours, l’identification numérique d’Air Canada est maintenant accessible à l’embarquement pour les clients qui voyagent à bord de certains vols pour Winnipeg (YWG) au départ de l’aéroport international de Vancouver (YVR), et aux clients admissibles qui souhaitent accéder au Café Air Canada à l’aéroport international Toronto Pearson (YYZ). (Groupe CNW/Air Canada)

Air Canada lance l'identification numérique et devient la première société aérienne à faire l'essai de la technologie de reconnaissance faciale pour la vérification de l'identité au Canada.

Dans le cadre d’un projet pilote en cours, l’identification numérique d’Air Canada est maintenant accessible à l’embarquement pour les clients qui voyagent à bord de certains vols pour Winnipeg (YWG) au départ de l’aéroport international de Vancouver (YVR), et aux clients admissibles qui souhaitent accéder au Café Air Canada à l’aéroport international Toronto Pearson (YYZ). (Groupe CNW/Air Canada)

Projet pilote en cours à Vancouver pour certains vols à destination de Winnipeg, et au Café Air Canada à l'aéroport Toronto Pearson

  • Identifiants numériques chiffrés en toute sécurité dans l'application mobile Air Canada
  • Amélioration de l'expérience pour les passagers aux aéroports grâce à une option d'embarquement sans tracas et sans papier

À l'attention des rédacteurs en chef : Voyez comment fonctionne l'identification numérique à l'aide de la présente vidéo.

MONTRÉAL, le 21 févr. 2023 /CNW/ - Air Canada a annoncé le lancement de l'identification numérique, devenant ainsi le premier transporteur aérien canadien autorisé à offrir aux clients la sécurité et le confort d'une nouvelle option qui utilise la technologie de reconnaissance faciale pour confirmer l'identité. Dans le cadre d'un projet pilote en cours, l'identification numérique d'Air Canada est maintenant accessible à l'embarquement pour les clients qui voyagent à bord de certains vols pour Winnipeg (YWG) au départ de l'aéroport international de Vancouver (YVR), et aux clients admissibles qui souhaitent accéder au Café Air Canada à l'aéroport international Toronto Pearson (YYZ). Pendant cette phase pilote, Air Canada compte instaurer l'identification numérique dans certains aéroports canadiens et dans les salons Feuille d'érable.

Dans le cadre d’un projet pilote en cours, l’identification numérique d’Air Canada est maintenant accessible à l’embarquement pour les clients qui voyagent à bord de certains vols pour Winnipeg (YWG) au départ de l’aéroport international de Vancouver (YVR), et aux clients admissibles qui souhaitent accéder au Café Air Canada à l’aéroport international Toronto Pearson (YYZ). (Groupe CNW/Air Canada)

« Plusieurs de nos clients utilisent déjà les identifiants numériques pour simplifier leurs activités quotidiennes, comme déverrouiller leur téléphone cellulaire, accéder aux lieux de travail et faire vérifier leur identité pendant une transaction, a indiqué Craig Landry, vice-président général et chef des opérations, d'Air Canada. Nous sommes très heureux d'affirmer notre position de chef de file au Canada et de faire l'essai de l'identification numérique au moyen de la technologie de reconnaissance faciale afin de valider l'identité des clients rapidement, en toute sécurité et avec exactitude à certains moments d'interaction clientèle à l'aéroport. La participation à l'identification numérique se fait sur une base volontaire. Les clients qui souhaitent y prendre part profiteront d'un processus simplifié et sans tracas à la porte d'embarquement ou à l'entrée des salons Feuille d'érable. »

« Notre gouvernement et les transporteurs aériens et aéroports canadiens sont impatients d'aller de l'avant avec des solutions et des technologies innovatrices visant à moderniser l'expérience des voyageurs dans les aéroports de tout le pays, ce qui permettrait de bénéficier d'un réseau de transport aérien plus transparent et plus efficace, a déclaré l'honorable Omar Alghabra, ministre des Transports du gouvernement du Canada. Le projet pilote d'Air Canada va accélérer les processus à YVR et dans les autres aéroports où il sera implanté, tout en respectant de robustes mesures de protection de la vie privée et normes de sécurité. Ce projet promet vraiment de faciliter et d'accélérer l'embarquement des voyageurs au Canada, et ce, sans le moindre compromis aux solides mesures de sécurité en place. »

Les clients autorisés à accéder au Café Air Canada à Toronto, et ceux qui voyagent à bord de certains vols Vancouver-Winnipeg recevront une invitation pour utiliser l'identification numérique, ainsi que des instructions pour créer en toute sécurité leur empreinte faciale numérique avant de se présenter à l'aéroport.

Les clients qui ne souhaitent pas utiliser l'identification numérique embarqueront comme ils l'ont toujours fait, en présentant leur carte d'accès à bord et une carte d'identité avec photo délivrée par le gouvernement pour la vérification manuelle de leur identité. De même, ils pourront toujours passer leur carte d'accès à bord au lecteur optique, comme ils le font actuellement, pour accéder au Café Air Canada à l'aéroport Toronto Pearson.

Une fonctionnalité d'inscription unique permet de créer son identification numérique dans l'application Air Canada. Les données biométriques sont chiffrées puis stockées uniquement sur le téléphone mobile du client. Les clients doivent fournir un consentement supplémentaire pour les données qui seront utilisées le jour du voyage et conservées pour un maximum de 36 heures, conformément aux normes rigoureuses d'Air Canada en matière de protection des renseignements personnels. Cliquez ici pour en savoir davantage sur l'identification numérique.

L'identification numérique à Air Canada est un programme strictement facultatif, fondé sur le consentement. Elle n'est liée à aucun programme parrainé par un gouvernement comme NEXUS, Global Entry ou l'application Mobile Passport Control (MPC) du Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis.

À propos d'Air Canada

Air Canada est la plus importante société aérienne du Canada, le transporteur national du pays et un membre cofondateur du réseau Star Alliance -- le plus vaste regroupement mondial de sociétés aériennes. Les lignes passagers régulières d'Air Canada relient sans escale 51 aéroports au Canada, 51 aux États-Unis et 88 sur le reste du globe. Air Canada détient la cote quatre étoiles de Skytrax. Le programme Aéroplan d'Air Canada est le principal programme de fidélité du Canada en matière de voyages. Il offre à ses membres la possibilité d'accumuler ou d'échanger des points auprès du plus grand réseau mondial de transporteurs partenaires, au nombre de 45, et contre un éventail considérable de primes -- marchandises, séjours hôteliers ou locations de véhicules. Air Canada Cargo, division fret d'Air Canada, dispose de la capacité d'emport et de la connectivité pour desservir des centaines de destinations sur six continents au moyen des vols passagers d'Air Canada et des vols tout-cargo de sa flotte d'avions-cargos 767-300 de Boeing. Air Canada s'est fixé un objectif de carboneutralité de toutes ses activités à l'échelle mondiale d'ici 2050.

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Immétis I Équipe Immétis - 02/24/2022

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Nouvelle liste des professions admissibles au traitement simplifié du Québec

 

Équipe Immétis - 02/24/2022

Liste des professions admissibles au traitement simplifié du Québec

Chaque année, le 24 février est une date attendue par de nombreux employeurs en pénurie de main-d’œuvre.

Elle marque la publication de la liste des professions en demande dans la province, éligibles à des démarches simplifiées pour l’obtention d’un permis de travail.

Les employeurs souhaitant embaucher des travailleurs étrangers temporaires dans ces professions peuvent recourir à une EIMT sous le processus simplifié du Québec. Explications.


En quoi consiste la liste des professions admissibles au traitement simplifié ?

La liste des professions admissibles au traitement simplifié est établie par Emploi-Québec en collaboration avec le Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI).

Elle est révisée annuellement, pour considérer l’évolution des besoins en main-d’œuvre de l’ensemble des régions du Québec. Ainsi, la liste regroupe différentes professions en pénurie et/ou besoin de main-d’œuvre dans l’ensemble de la province.

La nouvelle liste de 306 professions, est entrée en vigueur ce 24 février 2023.

Par souci d’équité, et comme chaque année, une période transitoire d’un mois, jusqu’au 24 mars 2023 inclusivement, est accordée aux employeurs. En d’autres termes, les demandes reçues par le Ministère ou par Emploi et Développement social Canada (« EDSC ») durant cette période pourront être examinées sur la base de l’ancienne liste, dans le cas où la profession visée n’apparaîtrait pas sur la nouvelle liste en vigueur.

Un outil pour recruter plus facilement des travailleurs étrangers

La pénurie de main-d’œuvre freine de nombreuses entreprises dans leur croissance, faute de pouvoir recruter du personnel qualifié. Pour y faire face, un nombre croissant d'entreprises franchit le pas du recrutement à l'international chaque année.

On retrouve cette tendance dans l'évolution du nombre de professions admissibles au traitement simplifié au cours des dernières années. Alors qu'on recensait 226 professions sur la liste en 2020, puis 181 en 2021 (du fait de la pandémie), ce nombre est remonté à près de 300 pour l'année 2022.

Les changements

Pour 2023, la liste recense 306 professions. Sans surprise, la liste 2023 recense de nombreuses professions toujours en demande, dans des secteurs d'activité divers. Parmi les professions qui demeurent sur la liste, citons :

- Les Chefs de cuisine et Cuisiniers Expérimentés
- Les serveurs
- Les enseignants de niveau collégial, secondaire ou primaire
- Les professions de la santé, incluant les infirmiers et les préposés aux bénéficiaires
- Les professions techniques, telles que les électromécaniciens, les mécaniciens d’équipements lourds, ou automobiles
- Les manutentionnaires.

La nouvelle liste est marquée par le retrait d'une vingtaine de professions, là-aussi dans des secteurs divers. Parmi les professions qui ne sont plus éligibles au processus simplifié, nous pouvons citer :

- Les gestionnaires en agriculture et les gestionnaires en horticulture
- Les réceptionnistes
- Les pompiers
- Les journalistes

Enfin, on constate l'ajout de pas moins de 36 professions, là encore dans secteurs d'activités divers. Nous pouvons notamment citer :

- Les maîtres d'hôtel (uniquement cette appellation)
- Les réceptionnistes d'hôtel (uniquement cette appellation)
- Les ébénistes
- Les monteurs d'aéronefs et contrôleurs de montage d'aéronefs
- Les infirmiers praticiens
- Les ingénieurs en aérospatiale
- Les superviseurs des ventes en commerce de détail

En quoi cette liste peut faciliter l’embauche d’un travailleur étranger au Québec ?

Répondre aux besoins de la province

Pour combler les besoins en personnel dans les professions figurant à la liste, certains employeurs font le choix de l’international.

Dans le cadre du Programme des Travailleurs Étrangers Temporaires (PTET), les employeurs recrutant des talents étrangers doivent généralement, par le biais d’une Étude d’Impact sur le Marché du Travail (EIMT), démontrer avoir fait des efforts de recrutement en vue de combler le poste par un Canadien. L’affichage du poste comporte d’ailleurs certaines règles précises à respecter.

Le processus simplifié ne dispense pas l’employeur de l’obligation de postuler pour une EIMT. Toutefois, si l’emploi offert correspond à l’une des professions de cette liste, il n’est pas nécessaire d’afficher le poste. Cette démarche simplifiée permet ainsi de réduire les délais de traitement, et les différentes formalités à accomplir.

Attirer et retenir les talents

Le processus simplifié du Québec, en plus de permettre des démarches facilitantes pour l’embauche d’un travailleur étranger sous permis de travail, constitue un outil d’attraction efficace des talents au sein de la province.

En effet, les travailleurs présentant une demande de permis de travail suivant l’obtention d’une EIMT/CAQ sous le processus simplifié du Québec peuvent se voir délivrer un permis de travail d’une durée de 36 mois.

Une durée supérieure à celle des permis de travail délivrés sous Expérience Internationale Canada par exemple.

Également, et lorsque vient le temps de la rétention, il est souvent plus aisé pour un travailleur sous permis de travail d’une durée de 36 mois d’entamer des démarches visant à l’obtention de la résidence permanente sans avoir à renouveler au préalable son statut.

Les travailleurs bénéficiant d’un permis de travail d’une durée de 24 mois doivent quant à eux généralement avoir le soutien de leur (ou d’un nouvel) employeur pour renouveler leur permis de travail, avant de lancer leurs démarches de résidence permanente.

Plus concrètement, les employeurs peuvent sauver les coûts de renouvellement d’un permis de travail, et les délais associés, lorsque leurs talents détiennent un permis de travail initial d’une durée de trois ans.

Les démarches de l'employeur

Obligation générales

Sous ce programme, l’employeur devra néanmoins apporter la preuve :

– Qu’il a fait des efforts de recrutement pour embaucher un travailleur Canadien ou résident permanent ;

– Que le travailleur étranger répond aux exigences du poste en termes de diplômes et d’expérience notamment ainsi qu’aux exigences de la Classification nationale des professions ;

– Que le salaire horaire offert répond bien au salaire médian de la profession et par intervalle selon les quartiles au Québec, le tout tel qu’établi par Emploi-Québec.

Obligation pour certaines professions à bas salaires

Notons également que dans le cadre d'une demande d'EIMT, le salaire médian de la province est à considérer. Au Québec, il est établi à 25 $ / heure. Toute profession rémunérée au-delà de ce salaire est considérée comme à haut salaire. En deça, elle est considérée comme à bas salaire.

Les employeurs qui embauchent des travailleurs étrangers temporaires dans une profession à bas salaire, y compris sous le processus simplifié du Québec, doivent respecter certaines obligations, en addition des obligations de conformité habituelles :

- Prendre en charge les billets d’avion aller / retour du travailleur ;

- S’assurer que le travailleur dispose d’un logement décent, en accord avec ses moyens ;

- S’assurer que le travailleur dispose d’une couverture maladie tant qu’il n’est pas éligible à l’assurance maladie provinciale

Nouvelle liste des professions admissibles au traitement simplifié, en vigueur au 24 février 2023

Code CNP 2021 Appellation (2021)
10010 Directeurs financiers/directrices financières
10011 Directeurs/directrices des ressources humaines
10012 Directeurs/directrices des achats
10020 Directeurs/directrices des assurances, de l'immobilier et du courtage financier
10021 Directeurs/directrices de banque, du crédit et d'autres services de placements
10022 Directeurs/directrices de la publicité, du marketing et des relations publiques
10030 Directeurs/directrices d'entreprises de télécommunications
20010 Directeurs/directrices des services de génie
20011 Directeurs/directrices des services d'architecture et de sciences
20012 Gestionnaires des systèmes informatiques
30010 Directeurs/directrices des soins de santé
40021 Directeurs/directrices d'école et administrateurs/administratrices de programmes d'enseignement aux niveaux primaire et secondaire (uniquement pour les établissements d’enseignement désignés et reconnus par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur ou un autre ministère ou un organisme mandataire de l'État)
40030 Directeurs/directrices des services sociaux et communautaires (uniquement cette appellation)
50011 Directeurs/directrices - édition, cinéma, radiotélédiffusion et arts de la scène
50012 Directeurs/directrices de programmes et de services de sports, de loisirs et de conditionnement physique
60010 Directeurs/directrices des ventes corporatives
60030 Directeurs/directrices de la restauration et des services alimentaires
60031 Directeurs/directrices des services d'hébergement
70010 Directeurs/directrices de la construction
70011 Gestionnaires en construction et rénovation domiciliaire
70020 Directeurs/directrices des transports
80010 Directeurs/directrices de l'exploitation des ressources naturelles et de la pêche
90010 Directeurs/directrices de la fabrication
90011 Directeurs/directrices des services d'utilité publique
11100 Vérificateurs/vérificatrices et comptables
11101 Analystes financiers/analystes financières et analystes en placements
11103 Agents/agentes en valeurs, agents/agentes en placements et négociateurs/négociatrices en valeurs
11102 Conseillers financiers/conseillères financières
11200 Professionnels/professionnelles en ressources humaines
11201 Professionnels/professionnelles des services-conseils en gestion aux entreprises
11202 Professionnels/professionnelles en publicité, en marketing et en relations publiques
12010 Superviseurs/superviseures de commis de bureau et du personnel de soutien administratif
72025 Superviseurs/superviseures de services postaux et de messageries
12013 Superviseurs/superviseures du personnel de coordination de la chaîne d'approvisionnement, du suivi et des horaires
13100 Agents/agentes d'administration
12100 Adjoints/adjointes de direction
12101 Agents/agentes des ressources humaines et de recrutement
13101 Agents/agentes de gestion immobilière
12102 Agents/agentes en approvisionnement aux achats
12103 Planificateurs/planificatrices de congrès et d'événements
13110 Adjoints administratifs/adjointes administratives
13111 Adjoints administratifs juridiques/adjointes administratives juridiques
13112 Adjoints administratifs médicaux/adjointes administratives médicales
12110 Sténographes judiciaires, transcripteurs médicaux/transcriptrices médicales et personnel assimilé
12111 Personnel en gestion de l'information sur la santé
12112 Techniciens/techniciennes à la gestion des documents
12113 Agents/agentes de statistiques et professions connexes du soutien de la recherche
12200 Techniciens/techniciennes en comptabilité et teneurs/teneuses de livres
12201 Experts/expertes en sinistres et rédacteurs/rédactrices sinistres
12202 Assureurs/assureures
14201 Commis de banque, d'assurance et d'autres services financiers
74101 Facteurs/factrices
14400 Expéditeurs/expéditrices et réceptionnaires
14401 Magasiniers/magasinières et commis aux pièces
13201 Coordonnateur/coordonnatrice de la logistique de la production et du transport
14403 Commis aux achats et au contrôle de l'inventaire
14404 Répartiteurs/répartitrices
14405 Horairistes de trajets et d'équipages
21100 Physiciens/physiciennes et astronomes
21101 Chimistes
21102 Géoscientifiques et océanographes
21110 Biologistes et personnel scientifique assimilé
21111 Professionnels/professionnelles des sciences forestières
21112 Agronomes, conseillers/conseillères et spécialistes en agriculture
21300 Ingénieurs civils/ingénieures civiles
21301 Ingénieurs mécaniciens/ingénieures mécaniciennes
21310 Ingénieurs électriciens et électroniciens/ingénieures électriciennes et électroniciennes
21320 Ingénieurs chimistes/ingénieures chimistes
21321 Ingénieurs/ingénieures d'industrie et de fabrication
21322 Ingénieurs/ingénieures métallurgistes et des matériaux
21330 Ingénieurs miniers/ingénieures minières
21331 Ingénieurs géologues/ingénieures géologues
21390 Ingénieurs/ingénieures en aérospatiale
21311 Ingénieurs informaticiens/ingénieures informaticiennes (sauf ingénieurs/ingénieures et concepteurs/conceptrices en logiciel)
21200 Architectes
21201 Architectes paysagistes
21202 Urbanistes et planificateurs/planificatrices de l'utilisation des sols
21203 Arpenteurs-géomètres/arpenteuses-géomètres
21210 Mathématiciens/mathématiciennes, statisticiens/statisticiennes et actuaires
21222 Spécialistes en informatique
21220 Spécialistes de la cybersécurité
21221 Spécialistes des systèmes commerciaux
21223 Analystes de bases de données et administrateurs/administratrices de données
21211 Scientifiques de données
21231 Ingénieurs/ingénieures et concepteurs/conceptrices en logiciel
21230 Développeurs/développeuses et programmeurs/programmeuses de systèmes informatiques
21232 Développeurs/développeuses et programmeurs/programmeuses de logiciels
21233 Concepteurs/conceptrices Web
21234 Développeurs/développeuses et programmeurs/programmeuses Web
22100 Technologues et techniciens/techniciennes en chimie
22101 Technologues et techniciens/techniciennes en géologie et en minéralogie
22110 Technologues et techniciens/techniciennes en biologie
22111 Inspecteurs/inspectrices des produits agricoles et de la pêche
22112 Technologues et techniciens/techniciennes en sciences forestières
22114 Techniciens/techniciennes et spécialistes de l'aménagement paysager et de l'horticulture
22300 Technologues et techniciens/techniciennes en génie civil
22301 Technologues et techniciens/techniciennes en génie mécanique
22302 Technologues et techniciens/techniciennes en génie industriel et en génie de fabrication
22303 Estimateurs/estimatrices en construction
22310 Technologues et techniciens/techniciennes en génie électrique et électronique
22312 Techniciens/techniciennes et mécaniciens/mécaniciennes d'instruments industriels
22313 Mécaniciens/mécaniciennes, techniciens/techniciennes et contrôleurs/contrôleuses d'avionique et d'instruments et d'appareillages électriques d'aéronefs
22210 Technologues et techniciens/techniciennes en architecture
22211 Designers industriels/designers industrielles
22212 Technologues et techniciens/techniciennes en dessin
22213 Technologues et techniciens/techniciennes en arpentage
22214 Personnel technique en géomatique et en météorologie
22230 Vérificateurs/vérificatrices et inspecteurs/inspectrices des essais non destructifs
21120 Professionnels/professionnelles de la santé et sécurité publique et environnementale
22232 Spécialistes de l'hygiène et de la sécurité au travail
22233 Inspecteurs/inspectrices en construction
72600 Pilotes, navigateurs/navigatrices et instructeurs/instructrices de pilotage du transport aérien
72601 Contrôleurs aériens/contrôleuses aériennes et personnel assimilé
72602 Officiers/officières de pont du transport par voies navigables
72603 Officiers mécaniciens/officières mécaniciennes du transport par voies navigables
22220 Techniciens/techniciennes de réseau informatique et Web
22221 Agents/agentes de soutien aux utilisateurs
22222 Évaluateurs/évaluatrices de systèmes informatiques et l’appellation testeur/testeuses de jeux vidéo
31300 Coordonnateurs/coordonnatrices et superviseurs/superviseures des soins infirmiers
31301 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées et infirmiers psychiatriques autorisés/infirmières psychiatriques autorisées
31100 Spécialistes en médecine clinique et de laboratoire
31101 Spécialistes en chirurgie
31102 Omnipraticiens/omnipraticiennes et médecins en médecine familiale
31110 Dentistes
31103 Vétérinaires
31111 Optométristes
31201 Chiropraticiens/chiropraticiennes
31302 Infirmiers praticiens/infirmières praticiennes
31120 Pharmaciens/pharmaciennes
31121 Diététistes et nutritionnistes
31112 Audiologistes et orthophonistes
31202 Physiothérapeutes
31203 Ergothérapeutes
32120 Technologues de laboratoires médicaux
33101 Assistants/assistantes de laboratoires médicaux et préposés/préposées techniques reliés
32104 Technologues en santé animale et techniciens/techniciennes vétérinaires
32103 Inhalothérapeutes, perfusionnistes cardiovasculaires et technologues cardiopulmonaires
32121 Technologues en radiation médicale
32124 Techniciens/techniciennes en pharmacie
33103 Assistants techniques/assistantes techniques en pharmacie et assistants/assistantes en pharmacie
32111 Hygiénistes et thérapeutes dentaires
32112 Technologues et techniciens/techniciennes dentaires
32100 Opticiens/opticiennes d'ordonnances
32101 Infirmiers auxiliaires/infirmières auxiliaires
32102 Personnel ambulancier et paramédical
33109 Assistants/assistantes dentaires et auxiliaires dans les laboratoires dentaires
33102 Aides-infirmiers/aides-infirmières, aides-soignants/aides-soignantes et préposés/préposées aux bénéficiaires
41200 Professeurs/professeures et chargés/chargées de cours au niveau universitaire
41201 Assistants/assistantes d'enseignement et de recherche au niveau postsecondaire (uniquement pour les établissements d’enseignement désignés et reconnus par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur ou un autre ministère ou un organisme mandataire de l'État)
41210 Enseignants/enseignantes au niveau collégial et autres instructeurs/instructrices en formation professionnelle (uniquement pour les établissements d’enseignement désignés et reconnus par le ministère de l’Éducati