« L’intelligence artificielle ne remplace pas l’humain, elle le complète », estime Caroline Aubé d’HEC Montréal

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Propos recueillis par Damien Lepetitgaland - 06 oct. 2025 à 20:00 | mis à jour le 10 oct. 2025 | Le Progres

Alors que l’intelligence artificielle (IA) redéfinit les métiers et les modes d’apprentissage, le Québec s’impose comme un modèle d’innovation responsable.

En visite à Lyon pour les Entretiens Jacques-Cartier, Caroline Aubé, directrice de la recherche à HEC Montréal, détaille comment son école prépare les entreprises et les étudiants à cette révolution technologique sans perdre de vue l’éthique et les valeurs humaines…

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Propos recueillis par Damien Lepetitgaland - 06 oct. 2025 à 20:00 | mis à jour le 10 oct. 2025 à 11:11 - Temps de lecture : 5 min

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« L’IA générative fait désormais partie du monde du travail. Refuser son usage serait une erreur », confie Caroline Aubé, directrice de la recherche et du transfert à HEC Montréal. Photo Damien Lepetitgaland

« L’IA générative fait désormais partie du monde du travail. Refuser son usage serait une erreur », confie Caroline Aubé, directrice de la recherche et du transfert à HEC Montréal. Photo Damien Lepetitgaland

Que représentent pour vous les Entretiens Jacques-Cartier ?

 

Caroline Aubé : « C’est un lieu d’innovation et de partage. L’événement alterne chaque année entre Lyon et le Québec, et permet de croiser les expertises des chercheurs, des entreprises et des institutions. C’est un espace où naissent des idées, où se créent des liens durables ente nos deux territoires, autour de sujets communs comme l’intelligence artificielle. »

Les liens entre la France et le Québec restent forts…
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